69. beauxbatons & durmstrang

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 La cloche sonna, nous libérant de la terrible emprise de Severus Rogue

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 La cloche sonna, nous libérant de la terrible emprise de Severus Rogue. La plupart se sont précipités vers leurs dortoirs, ce qui me laissait le temps de fumer une dernière cigarette avant le début des festivités. Une fois mon sac déposé et ma cape sur les épaules (Pansy a confisqué mes affaires moldues pour l'occasion), je suis revenue vers le hall d'entrée où les responsables de maison nous forçaient à nous mettre en rang comme de bons petits soldats.

– Black ! s'est exclamé Rogue. Par pitié, arrangez votre uniforme, il est d'un vulgaire ! Et rabattez votre cape afin de cacher vos horribles cheveux roses !

– Je pense que mes cheveux roses feront meilleure impression que vos cheveux gras, ai-je répliqué en croisant les bras.

– Black...

Heureusement, avant qu'il ne puisse terminer, il fut appelé par le professeur Dumbledore qui souhaitait certainement éviter une énième dispute.

– Les premières années, passez devant !

La soirée était fraîche et lumineuse et le jour tombait lentement, laissant apparaître une lune si pâle qu'elle en semblait transparente qui brillait déjà au-dessus de la Forêt interdite. Nous avons scruté le parc qui commençait à s'obscurcir, mais rien ne bougeait. Tout était tranquille, silencieux et presque comme d'habitude. Et il faisait terriblement froid.

– Black ! Rangez ce livre !

– Oh c'est bon, il n'y a personne ! ai-je lancé, les yeux rivés sur sa lecture du moment.

– Ah ! Si je ne m'abuse, la délégation de Beauxbâtons arrive ! a lancé Dumbledore, qui était au dernier rang avec les autres professeurs.

– Où ? ont demandé avidement plusieurs élèves en regardant dans toutes les directions.

– Là-bas ! s'est écrié un élève de sixième année en montrant la Forêt interdite.

Les yeux plongés dans mon livre, je ne faisais guère attention à ce qu'il se passait autour de moi et je n'en avais aucune envie ! Sauf que Tracy estimait que s'iel devait supporter cette épreuve, alors moi aussi... Du coup elle n'a rien trouvé de mieux à faire que de me prendre mon livre des mains, ce qui, aux vues de ma journée, était une très mauvaise idée. Heureusement pour elle, quelque chose de très grand, beaucoup plus grand qu'un balai volant - ou même que cent balais volants - approchait du château, dans le ciel d'un bleu sombre. On voyait sa silhouette grandir sans cesse.

– C'est un dragon ! a hurlé une élève de première année, prise de panique.

La gigantesque forme noire qui avançait au-dessus de la cime des arbres fut peu à peu éclairée par les lumières du château et ils distinguèrent alors un immense carrosse bleu pastel tiré par des chevaux géants. Le carrosse avait la taille d'une grande maison et volait vers eux, tiré dans les airs par une douzaine de chevaux ailés, tous des palominos, chacun de la taille d'un éléphant. Les élèves des trois premiers rangs reculèrent en voyant le carrosse descendre du ciel à une vitesse terrifiante. Enfin, dans un fracas si impressionnant que Neville Londubat fit un bond en arrière et retomba sur les pieds d'un Serpentard de cinquième année.

WHAT IF.... || LIVRE IWhere stories live. Discover now