Le Harem de Sar Ka Ha

• La Perfection de L'Esclave

Après son deuxième orgasme de la soirée, une fois ses esprits retrouvés, Sar Ka Ha battit Nejanne encore un peu, à coup de gifles et de ceintures sur tout son corps. Il se plaisait à, comme il le disait souvent, attendrir la viande. Elle ne criait plus, trop épuisée, presque évanouie.
Alors qu'elle était à peine consciente, étalée sur le sol carrelé, il posa un genoux à terre près d'elle et la retourna sur le dos. Elle se laissa faire comme une poupée de chiffon.
Il écarta les cuisses de la jeune fille nue et glissa sa main sur son intimité. Il se mit à la caresser doucement tandis que Nej était trop dans les vapes pour comprendre ce qui lui arrivait. Il fit des petits mouvements circulaires, et augmenta la vitesse contre son clitoris. Au bout de quelques minutes il arrêta et glissa son majeur contre sa fente avant de regarder ses doigts. Ils étaient humides. Il sourit, satisfait.
Il ne lui donnerait pas d'orgasme ce soir, elle ne le méritait pas encore. Et n'avait pas assez souffert pour les associer par la suite à la douleur.
C'est ainsi qu'il rendait ses esclaves masochistes, dociles et totalement dévouées. Plus il les battait durement, plus l'orgasme qu'il leur offrait était puissant.
Les battre énormément les premières fois. Puis leur offrir beaucoup d'orgasmes les fois suivantes. Et plus le temps passait, plus les orgasmes se faisaient rare, plus elles devaient le mériter, plus elles devaient souffrir pour les obtenir et se montrer absolument obéissantes et aimantes. Parce que oui, ses esclaves l'aimaient. Celles qui survivaient du moins. Elles l'aimaient plus qu'elles ne s'aimaient elles-mêmes. Et Sar Ka Ha se délectait plus que tout d'être ainsi aimé, et qu'elles le supplient qu'ils les battent et les torturent toujours plus durement. Bien-sûr, plus il était aimé, plus son intérêt pour elles se dissipait, parce que cela devenait ennuyant. Mais il n'avait jamais perdu espoir de trouver une véritable perle rare.
Voilà pourquoi il aimait temps acquérir des esclaves jeunes et vierges. Pas encore modelées, pas encore perverties au sexe, elles étaient plus faciles à sculpter à son image. Mais jusqu'ici, aucune n'avait tenu le coup assez longtemps pour devenir ce qu'il aurait souhaité.
Mais celle-ci, celle qui était affalé à ses pieds, dont il ne connaissait même pas le prénom et dont le physique était tout à fait banal, celle-ci il ne voulait pas la gâcher. Car en plus d'être vierge, elle était tout à fait innocente. Elle ne connaissait rien d'impur, il pouvait donc tout lui inculquer comme lui le souhaitait.

Il se releva et appela les gardes.

-Ramenez-la avec les autres.

Cette nuit avait été plus longue que la précédente, mais encore bien courte pour lui. Mais il ne voulait pas la tuer. Il se devait de la préserver un minimum pour qu'elle survive jusqu'à la nuit suivante. Car lui qui aimait changer régulièrement de partenaire, il ne comptait se consacrer qu'à celle-ci pendant un moment, pour ne jamais relâcher la tension, ne jamais lui permettre de reprendre son souffle. La mettre au bord du précipice. Et soit elle tomberait et s'écraserait, soit elle réussirait à s'accrocher.