Chapitre 4

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Je préviens, TW : agression sexuelle en FIN de chapitre, passez la fin si vous ne vous sentez pas, prenez soin de vous <3


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Je me réveille, difficilement après la sale nuit que je viens de passer. Les garçons sont restés chez nous jusqu'à très tard hier, ce n'est pas que leur présence me dérange ou que je ne les apprécie pas, j'aimerais juste pouvoir dormir tranquillement. Heureusement qu'on est samedi et que je n'avais pas cours aujourd'hui. Hier j'ai eu le droit aux cris de rage parce qu'ils perdent sur la play, à leurs fous rires qui ne s'arrêtent jamais, leurs grosses voix même quand ils essaient de chuchoter. On a mangé mcdo tous ensembles, c'était assez bizarre dans un sens dans ma tête vu qu'on ne se connait que depuis hier justement... Mais bon, vu que ce sont des amis aux deux frères, ils sont certainement de confiance.

Ce soir il y a la soirée, on doit y être pour 20 heures, tout le monde m'accompagne. J'avais peur que ça pose un soucis, après tout Soléa n'est même pas au courant qu'on arrive en bande comme ça, mais les garçons ont insistés et m'ont dit qu'ils connaissent les soirées de Soléa, tout le monde ramène d'autres personnes qui ne sont pas invités.

Je sors de ma chambre, et à ma grande surprise je vois mon père entrain de préparer à manger. Je me précipite vers lui et le serre dans mes bras.

Gilberto : Oh Mi angel, je suis content de te voir aujourd'hui. Regarde, je prépare ton plat préféré, du Sancocho. Il dit en me faisant un bisou sur le front.

Je souris, le Sancocho c'est une soupe typique que l'on peut manger en Colombie. C'était un plat que ma maman nous faisait à moi et à Eylam quand nous étions petits.

Aïda : Je suis contente aussi papa. Merci, c'est super !

Je m'assois sur une chaise pendant que mon père continu de faire à manger. Je remarque qu'il a un énorme bleu au niveau de la nuque. Je n'ose pas lui poser la question du pourquoi du comment il a ce bleu. Il ne veut jamais rien nous dire, ou du moins à moi. En Colombie, c'était pareil. Il rentrait que très rarement à la maison et revenait toujours avec des blessures, des bleus... Je voyais bien que maman était très inquiète du travail à papa, mais on ne pouvait rien faire. Le bruit de la porte de la chambre de mon frère me sort de mes pensées. Il nous rejoint.

Eylam : J'ai reconnu l'odeur du Sancocho direct. Il dit en s'asseyant sur la chaise à côté de moi.

Gilberto : Ah toi quand il s'agit de nourriture tu te lèves vite de ton lit.

Combler nos vies avant de tomberDonde viven las historias. Descúbrelo ahora