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Je sors de la salle de bain avec une belle robe blanche le long du corps. J'ai foncée dans la salle de bain en rentrant de la plage, je déteste avoir du sable sur le corps, ça frotte contre la peau c'est tellement désagréable. Après ma discussion avec Tarik au bord de la plage nous avons rejoins Alba et Samy et nous sommes rentrés à peine une heure après.
Je dévale les escaliers, il y a un de ces silences dans la maison, j'en déduis qu'ils sont dehors à la piscine. J'ouvre la baie vitrée et en effet, ils sont tous là.
Lucas : Aïda attention j'arriveeeee!! Il dit en me fonçant dessus pour me faire un câlin, un câlin mouillé.
Aïda : Je frisonne en sentant les gouttes d'eau glisser le long de ma peau. Imbécile ! Je lui frappe l'épaule.
Mon frère, qui se trouvait assis sur une chaise autour de la table me fait un signe de la main pour me dire de le rejoindre. Je m'assois sur la chaise à côté de lui, sous son regard.
Eylam : On retourne en boîte ce soir, tu vas venir ?
Aïda : Hum, tu sais, la dernière fois ça m'a fait réalisé que je n'aime pas trop ce genre d'endroit. Je pense que je vais rester ici. Je souris.
Eylam : Tout le monde vient, tu vas rester seule ? Il fait une mine triste.
Aïda : Oui oui ne t'inquiète pas, tu sais que ça ne me dérange pas d'être seule.
Eylam : Ca m'fais chier pour toi j'aimerais que tu profites aussi, on part bientôt.
Aïda : Mais je m'éclate Eylam, tu vois bien que je passe mes après-midi à la plage ou bien à la piscine ! Je dis en tentant de le rassurer.
Eylam : J'espère bien ! Au fait, il prend un air plus sérieux, j'ai eu le centre médical au téléphone. Je hoche lentement la tête en attendant la suite. Papa c'est pas trop ça, son état a empiré un peu.
Aïda : J'essaie de ne laisser transparaître aucune émotion dans le ton de ma voix. On s'y attendait, on en avait parlé...
Eylam : Ouais, c'est vrai... Faudra qu'on l'appelle, il doit se sentir tellement seul là-bas, il aurait voulu revenir avec nous.
Aïda : On l'appellera. Je lui tapote l'épaule et dépose un bisou sur sa joue avant de rejoindre Alba sur les transats.
Elle était plongée dans un livre, en voyant une ombre au dessus de celui-ci elle relève la tête et me sourit tendrement.
Alba : Comment tu vas meuf ?
Aïda : Ca va, ça va et toi ?
Alba : Elle fronce les sourcils. Toujours pas décidée à dire ce qui ne va pas à ce que je vois. Tant pis... Moi oui ça va, j'ai trop hâte d'être à ce soir on va trop s'amuser !
