𝑫𝒐𝒏'𝒕 𝒇𝒐𝒓𝒈𝒆𝒕 𝒘𝒉𝒐 𝑰 𝒂𝒎 {𝕸𝖆𝖙𝖙𝖍𝖊𝖔 𝕽𝖎𝖉𝖉𝖑𝖊}

{29}

COUCOUUUUU! Alors alors. Pour ceux qui ne suivent pas mon compte et qui lisent rarement mes annonces de fin de chapitre, vous n'êtes surement pas au courant du pourquoi je n'est pas posté depuis un mois déjà. Et bien c'est parce que je suis en pose enfaite. Je poste ce chapitre parce que j'ai demandée a mes abonnés si ils voulaient un nouveau chapitre, ils ont dit oui.
————————————————-

Matthéo avait toujours sa tête sur mon épaule. Il n'avait pas bougé, et moi, j'essayais toujours de comprendre le sens de ses paroles. Il me disait différente, mais en quoi? En quoi étais je suis différente pour lui? En quoi étais-je si spécial?

-Je...Je dois y aller. Pansy et Daphné doivent m'attendre...

Il soupira une nouvelle fois.

-T'es vraiment obligé d'y aller?

Je réfléchis longuement, mais fus coupé dans ma réfléction.

-Reste avec moi ce soir. murmura-t-il dans mon oreille.

Je frissona, et murmura à mon tour:

-Je vois pas pourquoi je ferais ça.

Il posa ses mains sur mes hanches, et traça lentement mes courbes avec celle ci.

-Parce que je vais te faire beaucoup de bien, et je sais que t'en meurt d'envie.

C'était trop pour moi, je me jeta littéralement sur ses lèvres, les dévorants a pleine bouche. Je posa mes mains sur sa nuque pour m'assurer qu'il ne s'écarte pas, parce que c'était vital pour moi. Ses lèvres m'était vital.

Au file du temps, elles étaient devenus mon oxygène. Je sentis ses lèvres s'étirer dans un rictus. Il me souleva avec force, et partie en direction de son dortoir, sans rompre notre baisé passionné.

Ses mains pressait mes fesses avec force, tendis que mes jambes était enroulé autour de son corps.

Mais soudain, il me reposa en quelque seconde et s'essuya les lèvres. Je suivis la direction de son regard, et je tomba sur le professeur Dumbledore, nous regardant en train d'essayer de cacher ce que nous faisions, en vain. Il se racla la gorge, et pris la parole d'un ton calme comme a son habitude.

-Monsieur Riddle, Mademoiselle Coper, je vous cherchais justement.

Je m'essuya les lèvres à mon tour, et lui demanda pourquoi d'un aire pas très sur de moi.

-Pour ce que je viens d'interrompre, justement.

Je jeta un regard à Matthéo, qui paraissait aussi confus que moi.

-Suivez moi, mes enfants.

On le suivit en silence, et je sentis une main se placer autour de ma taille. C'était, sans surprise, celle de Matthéo. Il me lança un regard furtif, plein de sous-entendu. Je lui tapa l'épaules, ce qui le fit ricaner silencieusement.

Le vieille homme nous conduit jusqu'à son bureau. Il s'installa sur sa chaise, et observa son griffon, en silence avant de nous regarder chacun notre tours.

-Mademoiselle Coper, savez vous que votre père m'a envoyé une lettre, aujourd'hui?

Je fronça les sourcils, et secoua ma tête de manière négative.

-Avez vous une idée de ce qu'il aurait pue me dire?

Encore une fois, je secoua la tête, l'aire confuse.

Il me tendis un bout de papier, qui me cloua sur place.

Cher Professeur Dumbledore,

Je souhaitais vous parlez de ma fille. Elle est devenus insolente depuis l'arrivé de Monsieur Riddle. J'aimerais que vous fassiez tout ce qui est en votre pouvoir pour qu'ils ne puissent même pas s'apercevoir de près où même de loin.

Je vous prie d'agréer, cher Mr Dumbledore, l'expression de mes sentiments distingués.

G.Coper

J'étais tout bêtement bouche bée que mon père ai envoyé cette lettre. C'était horrible de me faire ça. Dumbledore me repris la lettre des mains, et repris.

-J'ai été moyennement surpris de recevoir cette lettre, venant de votre père, Miss. Ne vous inquiétez pas, je ne vais rien faire, mais j'ai un question pour vous. Est-ce que cela en vaut la peine?

J'étais incapable de répondre à cette question.

-Je m'attendais à cette réaction de votre pars.

Il attrapa ma main ainsi que celle de Mattheo, qui ne pue retenir une grimace, avant de se défaire automatiquement de ce contact

-Mes enfants, réfléchissez bien a ce que vous êtes en train de faire, cela peut avoir un impacte sur notre destin a tous, pas que le votre.

-C'est inutile de réfléchir professeur. J'en ai absolument rien a foutre de son père. Un claquement de doigt de ma part et il s'envole vers le paradis. marmonna Matthéo en m'attrapant la taille d'un geste possessif, ce qui me fit pouffer de rire malgré moi.

Dumbledore eu l'aire surpris du geste de Matthéo, comme ci il s'attendait a ce que moi et Matthéo ne soyons seulement des plans cul. En même temps, je ne peux pas le blamer, qu'est-ce qu'on est au juste?

-Bien, cela étant dit, vous pouvez disposé.

Des que nous fumes sortie, et a l'abri des regards, Matthéo pressa avec envie ses lèvres sur les miennes.

-Tu me rends fou, Hanna.