IL PITORE

Chapitre 20

- J'aime l'art depuis mon enfance. J'ai commencer à peindre lorsque j'avais au moins 13 ans.

- Attendez une seconde, cela vous était permis? Et avant tout, votre famille a-t-il toujours...été euh... je veux dire....

- Oui! Depuis l'époque de mon arrière grand-père.

- Ehh! S'étonna la jeune femme en écarquillant les yeux.

- Mon père me laissait pratiquer l'art comme je le voulais.

- Qu'est-ce qui vous inspirait ?

- La nature, la beauté, la passion.

- Waw !

- Pour l'école, c'est venue un peu plus tard à la mort de quelqu'un qui m'étais chère.

- Je suis navrée.

- D'ailleurs c'est à cause d'une erreur que vous et votre groupe êtes la. D'habitude c'est pour les étudiants modestes.

- Ahn, donc les étudiants riches sont relégués au second rang? Je suis déçue !

- Il faut dire que je ne pensais pas à mal. Je voulais juste aider les plus faibles.

- Bien, sur je comprend.

- Et vous Mazhéla, qu'est-ce qui vous a pousser vers l'art ?

- C'est quelque chose d'inexplicable. Depuis toute petite j'aimais la peinture. Je me souviens que je salissais toujours les murs de ma chambre avec de la peinture voler dans le garage lorsque j'étais plus petite. Mon père se mettait dans tous ses états;

Ils éclatèrent de rire suite à cette phrase.

Enfin détendu.

- Mais papa voulait que je devienne médecin, surtout lorsqu'il a su que mon QI était supérieur à la norme. Je l'ai écouté, j'ai étudié dans un premier temps à Harvard puis j'ai changé d'université un peu plus tard. J'ai fait des stages un peu partout dans le monde et j'ai ouvert ma propre clinique. J'étais heureuse mais pas tout à fait voyez-vous, car je sentais qu'il me manquait quelque chose. C'est là que je me suis inscrit dans une école d'art sans l'avis de mes parents bien sûr. Ils l'ont su un peu plus tard et à ma grande surprise il m'ont soutenu.

On leur avait apporté leur plats , risotto alla milanese, des lasagnes à la bolognaise et le tiramisus.

Ils discutèrent d'autres choses comme de la vie en Italie, l'évolution de l'art au cours des dernières années, la naissance de prodige artistique.

- J'ai été heureux de dîner avec vous signorina Cross; pour une fois que vous n'avez pas chercher à m'étriper !

Mazhéla éclata de rire, un rire radieux qui illumina ses pupilles tamarins.

- Vous avez beaucoup de chance ce soir signore Bartolozzi, je suis d'humeur paisible.

Alonzo la conduisit à sa voiture et se mit en route pour le campus.

- Il est déjà minuit ! S'étrangla Mazhéla.

Elle n'avait même pas vu l'heure passé.

- Oui belissima, y a-t-il un problème ?

- Non, c'est juste que signore Bartolozzi m'avais récemment fait comprendre qu'à partir de 10 heures, tout étudiant devrait se trouver dans leur chambre.

- Et bien il y a eu exception à la règle pour cette fois Signorina Cross.

- J'espère que je ne recevrai pas les foudres du signore !

- En aucun cas tesoro en aucun cas! Dit Alonzo de plus en plus amusé.

Un silence gagna l'habitacle et Mazhéla en profita pour consulter son téléphone. Il y avait encore des messages de la part de Nyla qui l'a menaçait de l'étrangler si elle ne répondait pas à ses appels.