A Love of Mafia (Bientôt En Réécriture)

Chapitre 5

Franchement, je croyais qu'il avait pire dans la vie mais non, le mec qui doit, soit disant "surveillé" sous les ordres de son patron, a raconté à tout la classe que j'ai son amie d'enfance alors que je le connais à peine depuis hier. 

Il me colle au basquet depuis le début de la semaine au lycée, que ce soit en classe, dans la recréation, dans la cantine même quand je vais au toilette, l'endroit le pus intime qui existe, heureusement il ne rentre pas dedans mais tout de même. Quand je sors je vois qu'il m'attendait encore devant ce qui commence un peu à m'agace.

- Tu n'as pas autre chose à faire que de me suivre même jusque ici, lui dit je sur un ton qui contraste avec mon énervement.

- Si j'ai plein de chose a faire comme essayer de draguer des filles par exemple mais je peux pas te lâcher. Ce sont les ordre du patron et on doit obéir à ce qu'il dit si non on est mort et c'est pas au sens figuré, répondit-il avec un haussement d'épaule.

-Alors tu doit me suivre seulement à cause de lui... parce qu'il te la ordonné.

Il me répond avec un hochement de tête. Non mais j'hallucine, il se prend pour qui; d'accord c'est un mafieux mais je ne le connais pas et je n'ai pas envie de le connaitre. Ça m'apprendra de rentrer tard dans la journée, je ne referais plus jamais cette erreur.

En plus, je suis assez grande pour me protège si j'ai des problèmes et puis en plus j'en veux pas de son cadeau surtout si c'est pour ne plus avoir d'intimité. Je n'aime ce genre de personne qui impose leur décision sans prendre en compte l'avis des autres.  

- Emmène-moi voir ton abruti boss, dit-je en croisant les bras et prenant un ton assez autoritaire pour avoir l'air convaincante et qu'il accepte.

A la place, il se met à rire. Est-ce que il se moquerai de moi ? Je le fusille du regard pour qu'il arrête mais il continue encore plus. Je ne vois même pas ce que j'ai fais ni dis qui soit drôle. Il se stoppe après quelques minutes.

-  C'était tellement drôle de te voir comme ça, ça ne te va pas de jouer le rôle de la fille autoritaire mais sinon je peux savoir pourquoi tu veux le voir ?

-Eh bien... Pour aller lui dire c'est quatre vérité comme : que tu n'as pas besoin de me surveiller et puis je dois lui dire autre chose aussi.

-C'est une mauvaise idée, une très mauvaise idée, répondit-il en secouant la tête.

- Pourquoi ? demandai-je curieuse.

-Parce que j'ai pas envie de mourir car si il voit que je te ramène avec moi l'organisation, je vais me faire massacre peut-être pire.

-Je lui dirait que c'est moi qui t'as forcée.

Je le voit hésité alors j'utilise la methode des enfants comme quand ils veulent un jouet.

- S'il te plaît! S'il te plaît!  S'il te plaît! le suppliai-je

J'attends quelques seconde en continuant pour voir si il va accepter ou pas puis quand je le vois soupirer, je comprendre qu'il veut bien.

-D'accord, d'accord, je t'emmènerai le voir après la fin de cours mais si ils nous arrivent quelque chose je te nomme responsable des dégâts. OK ? répond t-il tout en me pointant du doigts.

Je lui lance un sourire en guise de remerciement, la cloche sonne l'heure de retourné en cours.

J'ai un petit sourire sur les lèvres.

J'ai hâte de revoir ce type pour lui dire ce que je pense de son "cadeau" qui me vaut des rumeurs sur mon dos au lycée avec ce gars qui me suit jusque dans les toilettes, un endroit très intime pour tout le monde, surtout pour une fille.

Il ne veut pas que je viens mais je vais comme même venir. Tu vas voir mon petit mafieux...

***

La fin des cours à sonné et l'heure de ma visite imprévu aussi.

J'ai hâte le revoir, je sais pas pour quoi mais depuis tout à l'heure, il est dans mon esprit et ses paroles de la dernière fois où on c'est vu aussi, comme si ma conscience voulais me rappelle comment il est beau et bien foutu 

"Ne le nie surtout pas et puis avoue que tu t'es bien rincée yeux la dernière fois", me souffle ma conscience.

Je me met à rougir en me souvenant de cette nuit.
Une voix m'extirpe de mes pensées:

-Prête à te faire massacrée ? me dit Mike qui est prêt du voiture un peu tape à l'oeil.

- Et comment! répondit je sur un ton ironique.

Je monte avec lui dans la voiture, avec et toujours sous le regard des autre aux élèves, qui je sais à quoi ils pensent. J'envoie un message à mes parents en leur disant que je vais rentrer un peu tard, je ne voudrais surtout pas les inquiété.

Après environ 1 heure de route et de  discussion- où j'ai appris un peu de truc sur Mike qui au final est beaucoup plus sympa de l'autre- on arrive devant une immense batisse un peu éloigné de la ville.

Mike gare sa voiture dans un parking sous-terrain où plusieurs voiture repose, ont sortent de l'automobile et dirige vers l'ascenseur il appuie sur le bouton du dernier étage c'est à dire le 60 ème.

Plus l'ascenseur monte, plus je commence un peu à paniquer et être moins sur de moi maintenant, le ding de l'ascenseur retenti, les porte s'ouvre et on longe un long couloir qui mène vers une porte que je suppose être le bureau de Blake, deux homme sont poster de chaque extrémité de la porte.

- Le boss est occupé ? demande Mike à un des hommes

- Négatif, répond l'homme telle un automate.

Mike toc à la porte et j'entends sa voix grave et rauque qui lui dit de rentrer.

- Attends la deux minutes, me dit il en ouvrant la porte et la referme.

Je regarde autour de moi pour faire passer le temps: le couloir est coloré seulement de couleur sobre et sombre aucune couleur vif, cela fait un peu triste, je trouve. Après je comprend, on est dans un repère de mafieux. J'attends plusieurs minutes jusqu'à ce que je vois la poignée de la porte s'affaisse et voit Mike en sortir, vivant.

-Tu peux rentrer.

Je hoche la tête et le remercie, mon coeur bat à 100 à l'heure, mes mains sont moites, j'avance doucement vers la porte du bureau moins confiante que tout à l'heure.

Je referme la porte quand je me retourne je le voit de dos il est face à une grande baie vitrée, grand et imposant tout comme son prioritaire.

-Alors, comme ça tu voulais me parler dit-il une voix rauque qui me fait tressaillir.

Il se retourne pour me faire face, soudain je n'ai plus aucune confiance notamment quand je vois dans ses yeux de l'énervement, de la colère mais aussi un pointe d'amusement.

Je ne sais pas pourquoi mais je sens que cette discussion va être longue et perturbante.

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Voilà le chapitre 5.

J'espère que vous avez aimez :) ?

Comment pensez-vous que la confrontation va se passer ?

Bisous à tous

Ely