Chapitre 62

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Lucy

J'ai eu du mal à m'échapper de cette villa bunker mais j'ai réussi, je suis fière de moi. Enfaîte ça a été simple. Il fallait seulement que j'attire l'attention des hommes de Blake en provoquant un incident.

Je ne savais pas comment faire jusqu'à ce que je rentrais dans le garage. J'ai trouvée un bidon d'essence que j'ai ensuite pris et renverser dans le jardin. J'avais mis le feu à l'essence et attendu que tout brulais dehors. Ce qui à brillamment réussi, j'avais hurlé  ils se sont tous précipite dessus et j'en est profiter pour partir sans me faire voir. J'avais même prévu un taxi. J'ai été intelligente sur le coup.

Si je me suis enfuis, c'est pour 2 raisons. Premièrement Adelyn m'a appeler, elle voulait qu'on se voit pour qu'on puisse parler. Je ne voulais pas que ses hommes s'en mêle ou vont lui rapporter, d'où mon idée. Ensuite, c'est parce que je veux lui montrer qu'il ne pas me retenir avec lui contre mon gré. Il faut qu'il comprend une bonne fois pour toute que je suis prête à tout pour mon indépendance !

Le taxi me pose dans le centre-ville, je me dépêche de marcher pour la rejoindre devant le café qu'elle m'a dit. Il fait énormément chaud pour un mois de mai, j'ai bien fait de mettre une robe pour aujourd'hui, le seul problème c'est qu'elle est noir et elle me colle presque la peau. Foutu couleur sombre.

Je rentre dans le café, j'aperçois Adelyn assise un peu plus loin un verre de café à la main. Je me dirige vers elle et m'installe en face d'elle.

- Salut.

Elle me répond. Une serveuse vient me voir et je lui commande un muffin et du jus d'orange.

- Tu voulais me parler à quel sujet ?

- Et bien, la dernière fois quand on était dans cet hôtel, l'homme qui était avec toi, est-ce que ce mec est ton petit-ami ?

Je ne sais pas moi même ce que Blake est pour moi ni ce que je suis pour lui. C'est assez confus entre nous. Si je dis oui, c'est comme si je confirmer sa question mais si je dis non, elle va trouver ça bizarre. Si tout était plus simple avec lui, ça serait bien. Mais au fond de moi, je sais que une relation simple, normal, sans problème serait d'un ennui mortel. Je suis bizarre, je sais.

- On peut dire ça.

Je croque dans mon muffin qu'on servit. Pour une fois qu'on sent que c'est fait maison et pas industrielle.
Après l'avoir avaler en entier, je le sens remonte dans ma gorge, il ne faut surtout pas que je vomis, ça serait la honte total.

- Tu vas bien ? Tu es devenu pale d'un coup.

- Oui ça va, je ne me sens pas bien depuis quelque temps mais ce n'est rien de grave.

Je pose ma main sur ma bouche comme si ça allait empêcher de vomir, ce qui ne marche pas du tout. Je demande un verre d'eau et je le bois à grande gorger. Ma nausée passe et je me sens un peu mieux. Je sais vraiment pas ce qui m'arrive.

- Dis je voulais te demander autre  chose ?

- Oui ?

Elle se racle la gorge, un peu gêné.

- Est-ce que les mafieux sont tous célibataire ?

J'aurais jamais penser qu'elle puisse me poser ce genre de question. Je n'en sais rien moi, je ne reste jamais avec eux, je ne connais ni leur vie ni leur prénom. Ce que je devrais commencer à faire.

- Pendant que tous les garçons se faisais amener 3 mafieux nous on garder nous les filles. Et parmi l'un d'entre eux, il y en a un avec qui j'ai beaucoup discutée pendant ma "captivité". En seulement une discussion, il reussi à me captivé de sa personne.

A Love of Mafia (Bientôt En Réécriture)Where stories live. Discover now