A Love of Mafia (Bientôt En Réécriture)

Chapitre 40

Blake

J'ai accepté seulement sa demande par ce que j'avais tout de même un peu peur qu'elle mette à exécution son chantage car la connaissant elle en est vraiment capable et je ne l'aurai pas supporter et elle non plus, je pense. Elle ne pourrait pas résisté au désir qu'elle ressens pour moi.

Ce n'est pas pour autant que je vais la laisser faire comme ça plus longtemps, sinon je vais me faire passer pour une frappe qui succombe devant les chantages d'une fille.

Lucy arriva, toute souriante avec un sac en bandoulière. Sous les rayons du soleil, sa peau, son visage, ses cheveux se reflète. Elle est resplendissante comme ça et le meilleur c'est qu'elle m'appartient complètement, aucun n'autre salop ne pourra la toucher.

Elle monte dans la voiture et je démarre le moteur pour conduire jusqu'en ville. Le trajet ce fais en silence, aucun de nous n'ouvre la bouche. Je pose ma main sur sa cuisse, elle frisonne à ce contact mais ne fait aucun mouvement pour la dégage alors je l'a laisse comme ça sans aller plus loin.

Je brise le silence en lui disant:

- Tu n'as pas trop mal ? Par rapport à cette nuit.

- Euh... Non merci, c'est gentil de demander, me dit-elle avec un sourire.

Ce sont les seuls qu'on ce dis jusqu'à arriver à un parking un peu plus loin du centre commercial, je me gare, on descend de la voiture, j'enfile des lunettes de soleil et marche avec elle jusqu'à l'entrée.

- Qu'est-ce que tu veux faire ici ?

- Je dois m'achète deux ou trois habits puis on va faire les courses parce qu'il n'y a rien à manger chez toi.

- Faire des courses pour finir par tomber malade avec ta cuisine de merde, non merci.

En disant cela je fais référence à son gâteau immangeable et pourtant je l'avais tout fini. Je sais vraiment pas comment pour avoir la force de manger ce truc et d'être encore vivant.

- Si tu fais référence à mon gâteau, je sais qu'il n'était pas bon.

Elle se dirige vers un magasin de vêtements basique. Elle va dans un rayon et fouille dedans. Je la suis de très près, je ne veux que aucun connard ne l'a colle.
Plusieurs femmes sont entrain de m'observe avc des yeux de merlan frit, personne ne peut savoir qui je suis derrière mes lunettes.

- Tu sais que si tu me demandais, je pourrais t'acheter tout ce que tu veux.

- Oui mais non, je n'en est pas besoin. J'ai mon propre argent.

Elle prend un pull et un jean elle me les montre et me demande mon avis.

- Tant que c'est pas moulant et vulgaire, ça me va.

Elle souffle va vers la caisse. Au moins, elle est rapide. Au même moment je reçois un appel. Je m'éloigne et répond.

- Qu'est-ce que tu veux ?

- Doucement mon pote, c'était pour te dire que ta mère est ici, à l'agence et elle veut te voir immédiatement. C'est urgent.

J'allais lui répondre quand j'entend le caissier dire à Lucy.

- Je suis sur que ses vêtements vous irons à ravi, sur un aussi jolie corps que  le vôtre.

Je rêve ou ce connard est entrain de la draguer. Lucy ne dis rien, non à la place cette idiote rigole.

- Dis lui que je viendrais après.

Je m'approche de Lucy et passe un bras possessif autour de sa taille et l'embrasse. Elle hoquet de surprise. Je passe ma langue dans sa bouche, et caresse sa langue de la mienne. Je l'embrasse ainsi pendant plusieurs minutes. Je relâche ses lèvres mais garde toujours mon bras. Le gars devant moi, qui soit disant passant est 2 fois plus petit que moi, nous regard mal à l'aise comme tout les clients de la boutique.