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C'est là où je la trouvais. Étendu sur le lit, dépourvu de maquillage et de vêtements aguicheurs mais avec un T-Shirt et un shirt de pyjama elle était magnifique avec ses cheveux étendu comme un îlot sur les draps imprégnés de son odeur.

Je me penchais doucement et posais mes doigts contre son poignée vérifiant sa vitalité. Elle était encore en vie. Fort heureusement. Je vérifiais bien qu'elle soit profondément endormi pour m'asseoir à côté d'elle. Sa poitrine s'affaisait faiblement au rythme de sa respiration. J'aurai du le remarquer plus tôt.  Je glissai mon regard jusqu'à son visage, puis ses lèvres retenant une envie de l'embrasser. J'embrassai chaque endroit de la pièce me familiarisant au charme de l'appartement. Mes yeux s'arrêtèrent sur une photo déchirée en deux. J'attrapai les morceaux sur la table de cheveux et avec mon mobile, utilisais la faible luminosité pour l'observer. C'était deux enfants.
Au dos était marqué un mot. Signé par Maxence:

[À ma soeur Katherine,  ne change jamais. Reste tel que tu es. Je serai toujours là à veiller sur toi.
             
                Maxence, ton frère qui t'aime.]

Je regrettais désormais amèrement les mots horribles ayant franchis le seuil de mes lèvres.

J'étais persuadé que je n'étais pas amoureux car je sais que je pourrais pas non plus faire n'importe quoi pour elle comme donner ma vie ce que je trouve parfaitement stupide d'ailleurs. C'est même pas éprouvé des sentiments amoureux mais de la stupidité. J'éprouvais de l'attirance physique oui mais sinon ça n'allait pas plus loin.

Je reportais de nouveau mon champs de vision sur elle. Je fus de nouveau attiré par ses lèvres.

Je passais mon pouce légèrement dessus pour ne pas la réveiller et me levais emportant la photo dans son salon.

Je partis en quête de colle dans les tiroirs et en trouvais avant de recollais les morceaux recréant une photo quasiment intact et l'ammenai vers sa chambre en la replaçant dans le cadre.
Je me tournais vers Katherine, m'appuyant sur un cote du lit et déposais un baiser sur son front que j'attardai volontairement conscient qu'il n'y aurait pas d'autre occasion de le faire. Je passais mes mains dans ses mèches de cheveux pour dégager son visage et repartais jusque ma villa en prenant soin de refermai la porte, emportant toute trace de mon passage -hors mi la photo- avec moi.

My new boss Where stories live. Discover now