Chapitre 4

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Ils n'ont pas tenu deux seconde, ont ne l'ai a pas tuer ont l'ai a juste immobilisés avec quelques balles et des coups de pieds bien placés. Ils n'avaient même pas d'arme en plus de sa la marchandise était dans l'une des caisses derrière eux. On a tout reprit vite fait bien fait et maintenant on est dans la voiture pour aller voir mon frère.

Nous sortons de la voiture à l'entrer des favelas et les deux colosses restent pour surveiller la voiture. Je le comprend j'aimerai pas me faire voler une si belle voiture.

Juste avant de rentrer dans les favelas Mathèos me prend par le bras et me dit très sérieusement.

- Derrière cette limite les règles ne sont plus les mêmes, préoccupe toi des autres et tu pourrais t'attirer des problèmes. Marche derrière moi et ne te fais pas remarquer.

Je lui fais un simple hochement de tête pour lui montrer que j'ai bien assimilé ces deux trois conseils.

Nous avançons de plus en plus dans les favelas, malgré que je sois derrière lui tous les regards sont braqués sur moi. Peut être parce que je suis presque blanche comme neige et mes cheveux blond n'arrange pas beaucoup ma discrétion. Comparer aux nombreuse personnes avec le teint mat et hâlé je fais tâche.

J'ai demander à Mathèos de me prêter ses lunettes de soleil parce que mes yeux gris n'apprécient pas trop la lumière du soleil.

Nous marchons encore et encore sous les regards des gens alentours à la fin je ne sais même pas si ils me regardent moi ou Mathèos. Des enfants m'ont demandaient de l'argent mais je n'en est donner que à un qui sembler malade avec un enfant dans ses bras. C'est triste de dire ça mais si je commence à en donner au premier venu j'ai pas finis. La chaleur me semble de plus en plus insoutenable au fur et à mesure que nous avançons.

Nous arrivons enfin devant une maison beaucoup plus grande que les autres avec 3 hommes devant celle ci des armes à la main, scrutant les alentours. On dirait qu'on est arriver.

Mathèos se retourna pour voir si je le suivais toujours puis nous franchissons trois marches en pierre pour arriver devant la porte d'entrée. Deux hommes me regardèrent d'un yeux mauvais mais je ne soutenu pas longtemps leurs regards lorsque je rentra dans la maison.

L'intérieur de celle ci sembler très moderne comparer à ce que l'on pourrait croire en voyant l'extérieur. Juste en rentrant se trouver un salon avec deux canapés, une télé et une table basse sur laquelle se trouver plusieurs dizaines de liasse de billets. Sur le canapé deux hommes. L'un d'eux se leva en nous voyant et salua Mathèos.

- Salut Connord j'ai régler le problème, tiens ta marchandise. Lui dit il en jetant le paquet sur la table.

- Obrigado meu amigo ! Qui est cette jeune est ravissante femme ? Dit il en me regardant avec un accent portugais.

- Um amigo. Dis je.

- Ou sont Kris et le Boss ? Continu Mathèos.

- En haut il discute comme d'habitude.

Mathèos partit vers des escaliers et je le suivis après avoir fais un petit sourire à Connord. Nous allons dans la directions des escaliers puis nous montons les marches avant d'arriver dans un long couloir.

Il frappa à une porte attendant une réponse, une voie que je ne croyais jamais entendre et qui mettais très familière se fit entendre.

Enfin je te retrouve.

L'énervement que j'avais garder pour moi durant toutes ces années commence à remonter. Il m'a laisser seule sans famille, il ne m'a même pas donner de nouvelle pendant quatres putain d'années. Alors j'ai largement de quoi être énervée contre lui et si il ne me donne pas de bonne explications qui me conviennent je le tue.

Je ne laisse pas le temps à Mathèos d'ouvrir la porte et je le fais moi même. Je rentre dans la pièce déterminer et me stop quand le regard de mon frère croisa le miens.

Il a changer, trop changer, 3 tonnes de muscles en plus et beaucoup plus viril qu'avant. La seule chose qui n'a pas changer c'est ses yeux de la même couleurs que les miens. Ceux ci s'agrandir quand il me reconnu et il commence à enfin parler.

- Hailey ?

Je m'avance lentement jusqu'à lui et le gifle de toutes mes forces, lui faisant tourner la tête sur le coté.

- Putain qu'est ce que ça fait du bien !

Mathèos retenu un petit rire pendant qu'un autre gars nous regardait assis sur le canapé lit en fronçant les sourcils.

- Alors toi espèce de connard de frère ! Qu'est ce qui ta pris de de partir à l'autre bout de l'Amérique, comme ça sans rien dire ! Me laissant seule du jour au lendemain ! Avec tes histoires de gang de merde ou de je ne sais quoi à me dire que je suis trop petite pour comprendre ! Tu n'es qu'un lâche qui ne m'a donner aucune réponse à mes questions ! Alors tu as intérêt à me trouver une très bonne excuse et de me donner des réponses sinon je te jure que je vais te pourrir l'existence jusqu'à la fin de ta vie !

L'atmosphère est devenue beaucoup plus lourde et sérieuse, mon frère me regardant droit dans les yeux. Je sais qu'il ne va pas s'excuser et si il me sort un "c'étais pour ton bien" ou je ne sais quoi je jure que je lui en remet une.

- Je suis désoler H' mais c'était pour ton bien...

Je ne le laisse pas finir et lui met une deuxième gifle sur l'autre joue il se fou vraiment de ma gueule !

- Pour mon bien ! Me laisser seule, pour mon bien ! Mais putain Kris si tu avais des problèmes du aurais du m'en parlais au lieu de fuir espèce de crétin !

- Arrête de gueuler putain !

Je lève ma main pour lui en mettre une deuxième mais il m'arrêta avec sa main droite. J'allais lui en donner une avec la main gauche mais il m'arrêta avec son autre main. Je lâche un juron puis serre les dents et les doigts.

- Lâche moi ...

- J'ai changé frangine, je ne...

- Tu ne traîne plus dans des affaires louches, vu ta tête sa m'étonnerait alors ne dis pas que tu as changé.

Il me regarda de travers, les sourcils froncées et énervé de mon attitude.

- Arrête tu vas avoir des rides et moi aussi j'ai changé, frangin. De toute façon j'ai pris ma décision je reste.

- Non repart à New York, c'est trop dangereux ici.

- Et toi ?

- Je n'est plus rien à faire là bas.

- Surtout que tu n'en as plus rien à faire de moi.

- Ce n'est pas ça et tu le sais très bien.

Je sentis ses mains relâcher leurs emprises alors je tira sur mes mains me dégageant puis je lui donna un coup dans sa jambes droite. Quand on était ados il sait casser la jambe à cette endroit depuis il est toujours un peu faible à sa jambe. Il tomba par terre avec fracas.

- Putain tes sérieuse !

Je m'accroupi à côté de lui et lui fis un sourire de sadique.

- Ne me défis pas je pourrais te surprendre frangin.

Il ne répondit pas me faisant encore plus sourire puis l'autre mec qui était assis sur le canapé lit se leva et venu à côté de moi. Je me leva à mon tour pour paraître un peu plus grande, juste un peu.

- Alors c'est toi Hailey.

- Tes qui toi ?

*****

La Reine Des Favelas [Tome 1]Where stories live. Discover now