La Reine Des Favelas [Tome 1]

Chapitre 18

/!\ Je préviens scène chaude /!\

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Pdv de Hailey :

Nous sommes de retour à la casa et il n'y a que Craine et moi, tous les deux coller l'un à l'autre. Il me prend par la taille me soulevant facilement et j'enroule mes jambes autour de lui. Il m'embrasse en même temps je passe mes bras derrière sa nuque enroulant mes doigts dans ses cheveux en bataillent. Il plaque ses mains contre mes fesses me collant un peu plus à lui tout en montant les escaliers. Arriver en haut il me plaque contre le mur dans le couloir et retire ma robe en faisant tomber les bretelles. Je fais pareil avec sa chemise que j'ouvre d'un coup et nous reprenons notre baisé torride. Il pose une main sur ma joue pendant que les miennes parcour ses abdos et son torse musclé. Je lui mord la lèvre dans notre baisé ce qui lui fit lâcher un grognement terriblement sexy. Il passe sa langue la ou je l'ai mordu et bordel je pourrais jamais le nier, il est sexy à souhait. Il me prend par les fesses sans aucune retenue pour me coller à son érection que je sens à travers son pantalon. Je me mord la lèvre et vu que je suis plus petite que lui j'enfuis ma tête dans son cou et le mord. Il ne se laisse pas faire, ce dont je me douter, en prenant mes deux poignés dans une seule main et les mettant au dessus de ma tête contre le mur derrière moi. Il m'embrassa en me faisant lever le menton avec son autre main libre. Je n'aime pas qu'il me contrôle comme ça aussi facilement avec juste des baisés et des gestes aussi simples, pas que ça me déplaise mais bon. Je fronce les sourcils quand il me mord la lèvre inférieur la faisant un peu saigné puis passant sa langue dessus. Même si je n'aime pas le fait que se soit lui qui domine je dois avouer que ses gestes ne me laisses pas indifférente. Me tenant toujours fermement il fait glissé les doigts de son autre main le long de mon cou puis entre ma poitrine ce qui me donne des frissons incontrôlable. Il tire du bout des doigts sur mon soutiens gorge puis descend encore sur mon ventre pour arriver à ma petite culotte. Il va se dépêcher j'en peux plus moi il met trop de lenteur à faire ça, sa me rend folle. Je ferme les yeux et me mord la lèvre quand ses doigts rentrent sous le tissu fin. Pendant qu'il passe ses doigts sur ma partie sensible je serre les jambes de plaisir et fait tout pour que mes jambes ne lâchent pas. Ma respiration devient saccadée lorsqu'il augmente la rapidité de son geste. Je rouvre les yeux et croise ceux de celui qui me torture avec un sourire malicieux. Mes joues me brûlent comme tout mon corps enfaite surtout le bas de mon ventre. Je lâche un gémissement incontrôlé ce qui le fait se stopper. Je me sens tellement impusante. Il lâcha mes poignés et m'embrassa tendrement en possant une main sur ma joue. Ses gestes étaient devenues lents et doux, des gestes que je n'avais jamais vue chez lui. Il détacha ses lèvres des miennes et me regarda avec toute la tendresse du monde. Je ne l'ai jamais vue comme ça, il m'inquiéte presque.

- Hailey...

- Oui ?

- Je t'aime.

Mon coeur rate un battement et mon souffle se coupa. Le beau et mystérieux Craine des favelas, chef de gang amoureux d'une fille aussi banale que moi. Même si je le savais déjà le fait qu'il le dise a haute voix me fait plaosir plus que tout au monde. Je lui souris avec des yeux doux et lui dis en prenant sa tête entre mes mains ou il ferma les yeux.

- Moi aussi. Lui répondis je.

Je l'embrassa calmement et sensuellement dans le calme de la nuit dans ce monde si bruyant. J'avais enfin trouver ma paix et je pense que lui aussi. Il me serra dans ses bras et tous ses gestes si tendres me paresser irréelle. Il m'emmène dans notre chambre en prenant soin de fermé la porte. Il m'embrassa sensuellement tout en me faisant tomber doucement dos contre le lit. Son corps musclé au dessus de moi avec ses deux avant bras de chaques côtés de mon visage. Je passa mes mains sur son corps musclés comme si je redécouvrée chaque forme de son corps parfaitement sculpté. Il me regarda de haut en bas, regardant les peux de tissues qui restés sur moi en se mordant la lèvre. Je fis descendre ma main sur la bosse de son pantalon touchant toute la longueur de celle ci. Il lâcha un soupire presque inaudible à mon contact. Je passe cette main sous son caleçon prenant en main son engin. Quand je toucha ce point sensible il lâcha un autre soupire de plaisir cette fois bien audible. Qu'est ce qui lui arrive ce soir, en plus il se laisse faire comparer aux autres fois. Je profite de cette occasion pour le retourner et me mettre à califourchon au dessus de lui en plaquant ses mains de chaque côtés de sa tête lui arrachant une grimace. Je l'embrasse pour la faire disparaître et descends mes lèvres dans son cou en me frottant à son entre jambe. Dans un mouvement long il allait lâcher ce qu'on pourrait appeler un gémissement mais il se morda la lèvre pour se retenir. Je m'en amuser et lui chuchote à l'oreille d'une voix suave.

- Alors le dominateur perd ses moyens.

- Je ne perd r...

Je le coupe dans sa phrase en redonnant un coup de bassin long et appyuer sur sa bosse ce qui lui coupe le souffle. Un sourire de satisfaction apparu sur mes lèvres puis je descend mes lèvres dans son cou, sur ses abdos puis je retira son caleçon et commença mon affaire. Quelques minutes plus tard il me ramena à son visage pour l'embrasser et il reprit très vite le contrôle en se remettant au dessus de moi. Il enfuit sa tête dans mon cou et commence à me faire de petites traces suivit de baisé. Il me fait fissoner puis il retire tous ce qui nous reste et le regarde encore une fois entièrement. Gêner je cache ma poitrine mais il retire mes bras et me dit.

- Tu es magnifique tu n'as pas à te cacher.

Il m'embrassa puis commença des vas et vient.

~Le lendemain~

Les premiers rayons du soleil caresse mes joues ce qui me réveille doucement. Repensant à la veille je regarde à côté de moi mais personne ne si trouve. Puis en entendant l'eau de la douche couler je souris en imaginant mon beau Apollon sois la douche. Tout en étant toujours allonger sur le lit je récupère ma petite culotte un short et un tee shirt. J'ai mal au dos et je le remarque surtout lorsque je sors de mon lit et m'écroule par terre. J'entend la porte de la salle de bain s'ouvrir et je tourne ma tête vers Craine. Il me regarde une serviette autour de la taille un sourire en coin.

- Arrête de rire. Lui dis je.

- Désoler c'est trop tentant. Dit il en me relevant en princesse.

Il me fait un bisous sur le front et je rougis instantanément. Il est tellement virile et à la fois doux je sais pas comment mieux décrire ça. Il me repose à terre puis je lui vole un baisé avant de descendre dans la cuisine. Elisa est à table et semble préoccuper en tournant sa cuillère dans son café.

- Ça va ? Lui demandais je en touchant son épaule.

Elle sursaute légèrement mon contact. Elle me sourit et me dit complètement différente.

- Oui oui ça va et toi ?

- Oui très bien...

Je pense à ce qui c'est passer hier et franchement j'espère qu'ils n'ont rien entendu. Je demande alors à celle ci un peu confuse.

- Vous êtes rentrer à qu'elle heure ?

- Minuit et si tu veux savoir on a entendu quelques trucs.

- Ah bon... Quel genre de trucs ? Dis je en me frottant l'arrière de la tête avec un sourire forcé.

- Du genre le lit qui tape contre le mur, et quelques fois de cris.

Mes joues s'enflamme complètement et je me retourne dans le frigo pour qu'elle ne le voit pas. Mon frère et Craine arrive à leur tour et Kris à l'air bizard. Du genre gêner avec les joues embourbés.

- Ça va Kris ?

- Ouai enfin si j'avais bien dormis ça serai mieux parce que franchement entendre sa soeur crier dans la chambre d'à côté c'est pas la meilleure des choses.

Putain ils ont tous entendu ce qu'on faisait ou quoi ? Craine arrive derrière moi me prend par les hanches et colle sans faire exprès je crois son entre jambe contre mon dos. Je tressaille et il regarde par dessus mon épaule le verre que je prend.

- Tu peux m'en servir un ? Me demande t-il.

Kris et Elisa nous regarde les sourcils levés. Puis mon frère prend la parole.

- Euh... ou est passer le Craine dangereux et criminel.

- T'inquiète pas que demain il sera bien présent.

Soudain l'ambiance devint pesente et Craine reserra sa prise sur mes hanches le regard durcit. Kris et Elisa regardent dans le vide eux aussi préoccuper.

- Qu'est ce qui se passe demain ? Demandais je inquiète.

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