La Reine Des Favelas [Tome 1]

Chapitre 13

{NDA : Scène de cul pendant tout le chapitre, vous êtes prévenu 😉}

Pdv de Hailey :

Ils ne m'ont pas donner à manger depuis que je suis arriver et je crève la dalle. J'ai les lèvres sèches, des bleus sur les bras et les côtes et du sang sécher sur le visage avec un cocard à l'oeil droit qui commence à un peu dégonfler. Je veux sortir j'en peux plus mes muscles me font mal et me brûle, mes yeux aussi à cause du manque de sommeil. Je veux partir j'ai l'impression qu'on me torture depuis une éternité.

Aidez moi, Craine, Kris j'ai besoin qu'on vient me chercher. Ils ne vont peut être jamais venir et je vais finir par mourir sous les coups d'Alvaro et de ses hommes. Je suis allonger sur le côté les yeux embués de larmes à deux doigts de craqué. J'entend pour la énième fois les bruits de pas de l'extérieur se rapprocher de la porte. L'angoisse me monte à la tête et je ne peux m'empêcher de respirer irrégulièrement.

La porte s'ouvre je ne regarde que les pieds des trois personnes qui rentre dans la pièce. Sûrement encore venu me défiguré pour leurs propre plaisir. L'un d'eux me prend par le col pour me redresse et Alvaro me regarde droit dans les yeux. Je lui dis alors la voix cassante mais essayant du mieux que je peux de ne pas déraillé.

- Pourquoi vous faites ça ?

Il s'approche vers moi se penche et me chuchote à l'oreille.

- Parce que tu es importante pour lui et je détruirai tous ce qui est important à ses yeux.

Il se redressa un sourire de sadique sur les lèvres puis tourna les talons en faisant un signe à ses hommes. Non pas encore... je serre les dents et pinces mes lèvres pour m'empêcher de le supplier d'arrêter.

Les deux hommes qui étaient avec lui commence à prendre un couteau pour me faire des entailles. Pendant que Alvaro ferme la lourde porte en fer derrière lui. Je me débat du peu de force qu'il me reste pour que l'autre ne pose pas ses sales mains sur moi. Mais je ne peux rien faire. L'un me tiens pendant que l'autre commence à tracer une ligne verticale au couteau sur mon bras. Je serre les dents pour ne pas crier mais je ne pas me retenir, mes poings sont serrer et les larmes coulent d'elles même.

Venez m'aider...

J'allais perdre connaissance lorsque qu'un énorme bruit sourd fit arrêter les deux hommes qui me torturer. Ils me lâchent rapidement et sorte de la pièce me laissant m'écroulé sur le sol froid. Des coups de feu retentissent derrière la porte et je ne peux m'empêcher de regarder la porte devant moi à la recherche d'espoir.

Qu'est ce qui se passe dehors ?

Le sang coule le long de mon bras et je n'ai presque plus la force de garder les yeux ouvert. Lorsque j'entendis des pas se rapprocher de la porte. Elle s'ouvrit avec fracas et je fus soulager de voir qui se trouver derrière celle ci.

- Craine.

Il me regarda de haute en bas et un voile de colère passa sur son visage. Je dois être horrible à ses yeux comme ça. Je baissa la tête puis il vient vers moi et me prit dans ses bras et me détacha. Je le regarda les yeux mis clos puis lui dis avant de tomber dans un sommeil profond.

- Tu es enfin venu me chercher, merci.

~Plusieurs heures plus tards~

J'ouvre les yeux difficilement pour voir ou je me trouve. Ce n'est que quand je sent l'odeur de son parfum que j'arrive à savoir que je suis dans le lit de Craine. Mais il ne n'est pas à côté de moi. J'ai une poche de glace sur mon oeil enrouler avec un bandage et je remarque que je suis en sous vêtement avec un tee shirt blanc et des bandages sur les bras. Je remarque par la luminosité de la pièce et les rayons de la lune, que nous sommes la nuit.