Il a changé ma vie

4 - Révélation

Nda : Pour rappel je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez ;-)

Quelques secondes plus tard

Je suis dans les bras de Mehdi et je suis sous le choc, c'est la première fois qu'un homme dit tenir à moi. Je ne sais pas pourquoi mais ses mots ont l'effet d'un électrochoc et je sens déjà mon excitation se réveiller... Vite il faut que trouve une parade, sinon il va sentir que je bande... Mais... Je ne suis pas le seul a bander ou quoi ?! C'est quoi ce que je sens contre ma jambe.

Immédiatement je me recul et je ne peux pas m'empêcher de regarder au niveau de sa teub... Il ne fait pas semblant et la nature a clairement été généreuse avec lui, si on en croit ce que je vois, mon regard ne reste que 2 ou 3 secondes sur son entre jambe mais évidement quand la personne se trouve a 30 centimètres de vous bah on ne peut être que grillé... Il me sourit mais je décide de prendre la parole avant lui.

Moi : Pourquoi tu me dis ça, et désolé d'avoir maté, c'est toi aussi tu te colles contre moi normal.

Mehdi : Wesh ne soit pas gêné, tu me fais de l'effet, je n'y peu rien... Et je vois que moi aussi je te fais de l'effet. *il me sourit grandement avant de désigner la bosse qui déforme mon jean*

Je ne sais clairement plus où me mettre et fini par dire.

Moi : On devrait peut-être bouger non ?

Mehdi me regarde puis remarque en suivant mon regards que nous ne sommes pas seul même s'il n'y a que quelques personnes autour de nous c'était déjà beaucoup plus que ce que j'aurais pu imaginer et aux yeux de tous pour le moment on était juste deux potes dont l'un a prit l'autre dans ses bras même si cela peut paraître étrange quand on voit nos habits et attitudes.

Il acquiesce et on décide de bouger, je suis en jean donc je peux plus facilement cacher mon érection mais Mehdi, le pauvre, oui je dis le pauvre, est en jogging et on ne voit que ça... Il cale son sac devant lui comme si de rien n'était, je suis obligé de rigoler de la situation.

On commence à marcher en silence sur le chemin qui nous ramène vers le lycée, il décide de briser le silence à mi-chemin.

Mehdi : Tu sais... Je suis sincère quand je te dis que tu me plais.

Je m'arrête et le regarde droit dans les yeux.

Moi : Je ne sais pas ce que je ressens de mon côté, dire que tu ne me plais pas serait faux, mais j'ai besoin de temps car tout cela est nouveau et la dernière chose que je veux c'est faire du mal.

Mehdi *affiche un beau sourire* : Tu ne veux pas me faire du mal... Tu tiens alors à moi sinon tu t'en foutrais. Mais je comprends, ne t'en fais pas, je patienterais le temps qu'il faut.

Moi : Merci Mehdi, tu es vraiment gentil.

On fini le trajet normalement et je préciserais que nos teub ont reprit leurs places naturellement en marchant, heureusement.

On se sépare et je fini par rejoindre mes potes avant de retourner en classe mais le problème c'est que je reste fixé toute l'après-midi sur deux choses. La première, vient de ce qu'il m'a avoué plus tôt et la seconde... C'est plutôt une image et bordel que ça me donne chaud que j'y repense, il faut que j'arrête de penser a ça, je suis en train de me torturer au point où je ne calcule plus rien autour de moi.

Guillaume *chuchote* : Il t'arrive quoi ?

Moi : Hein ?

Guillaume : Je ne sais pas tu ne dis plus rien et t'es rouge.