34 - Sans âme

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Nda : Encore un titre mythique qui corresponds bien à la situation dans quelques parties de se chapitre.

Chapitre un peu plus long que la normal.




Quelques secondes plus tard


Je suis sous le choc, Olivier marche vers nous son visage est couvert d'hématome, il a des bleus partout et sur ses bras. Mais étonnement, il marche calmement.

Olivier : Yo les gars... Martin ? Je peux te parler ?

On le dévisage tous.

Moi : Viens.

On s'éloigne sous le regards des mecs, de ma classe. Guillaume et Seb sont repartis dans leur conversation, mais Samir a se regards énervé. Quand il est comme ça, je sais qu'il peut partir en couilles, très rapidement.

Olivier : Tu dois avoir des questions, mais déjà t'inquiète... j'ai fais beaucoup plus de mal, que ce que j'ai reçu.

Moi : C'est ton frère ?

Olivier : Indirectement oui.

Moi : Indirectement ? Comment ça ?

Olivier : Des potes à mon reuf, m'ont tendus une embuscade... trois contre un. Il n'a même pas les couilles, de le faire lui-même...

Moi : Chaud... tu as besoin d'aide ou quoique ce soit ?

Olivier : Moi non, je m'en fou, mais je flippe pour Kévin.

Moi : Il est au courant de se qu'il t'ai arrivé ?

Olivier *triste* : Oui, il est grave inquiet...

Moi : Je le comprends, t'es un beau mec mais là, tu fais peur, sans vouloir te blesser. Oli, ton père est au courant ?

Olivier : Non pas encore... sa réaction risque d'être hard. Je suis aller chez Kévin, hier soir... je sais que je lui ai fais mal en me présentant, comme tu vois... avec le sang, en plus.

Je le regarde quelques secondes. Il me fait de la peine, j'espère vraiment que cela va s'arranger, pour lui.

Moi : Oli ?

Olivier : Oui ?

Moi : Viens là mon frère.

Je m'approche de lui et l'enlace doucement, en essayant de ne surtout pas toucher ses blessures. Je vois de la surprise sur son visage, mais il fini par lever ses bras, puis de poser ses mains dans mon dos.

Moi : Je suis là si tu as besoin et Samir aussi. Compte sur notre soutient et appel si tu as besoin.

Olivier : Merci frérot, heureusement que vous êtes là, vous.

Je fini par relâcher mon étreinte et me recul.

Moi : Je te laisse, sinon Samir va péter son câble.

Olivier : T'inquiète.

Je me tourne vers Samir qui me regarde bizarrement, je lève les yeux au ciel.

Samir : Pourquoi tu le prends dans tes bras ? Il n'y a que moi qui ai le droit.

Moi : Ne saoul pas avec ta jalousie mal placé, je réconforte un ami, c'est chaud ce qui lui arrive.

Samir : Ils ne l'ont pas ratés...

Moi : Trois contre un apparemment, et lié à son reuf.

Il a changé ma vieWhere stories live. Discover now