40 - Retour à la réalité

763 48 47
                                    

Nda : Aujourd'hui c'est Al Green avec une chanson de 1972 que j'ai découverte dans Ally McBeal mdr bref écoutez et kiffez.

Les paroles sont adaptés a ce que je vous ai écris plus bas. Pour info il reste une vingtaine de chapitres max avant la fin du tome 1.

Traduction des paroles :

« Je peux penser à des jours plus jeunes quand je vis pour ma vie

Tout ce qu'un homme pouvait vouloir faire

Je ne pourrais jamais voir demain, mais on ne m'a jamais parlé du chagrin

Et comment pouvez-vous réparer un cœur brisé ?

Comment pouvez-vous empêcher la pluie de tomber ?

Comment pouvez-vous empêcher le soleil de briller ?

Qu'est-ce qui fait tourner le monde ?

Comment pouvez-vous réparer un homme brisé ?

Comment un perdant peut-il gagner ?

S'il vous plaît, aidez-moi à réparer mon cœur brisé et laissez-moi vivre à nouveau

Je peux encore sentir la brise qui brille à travers les arbres

Et des souvenirs brumeux des jours passés

Nous ne pourrions jamais voir demain, personne n'a dit un mot sur la douleur

Et comment pouvez-vous réparer un cœur brisé ?

Comment pouvez-vous empêcher la pluie de tomber ?

Comment pouvez-vous empêcher le soleil de briller ?

Qu'est-ce qui fait tourner le monde ?

Comment pouvez-vous réparer cet homme brisé ?

Comment un perdant peut-il gagner ?

S'il vous plaît, aidez-moi à réparer mon cœur brisé et laissez-moi vivre à nouveau »

N'hésitez pas a commenter, voter, voir mp si  vous le souhaitez. En vous souhaitant une bonne lecture et merci de votre fidélité (ce n'est pas toujours facile de vous écrire certaines scènes passées)













Quelques instants plus tard



Idir me sers fort dans ses bras. Je suis surpris, je lui ai autant manqué que ça ?

Moi : Tu... tu m'empêche de respirer, avec tes gros bras...

Il me relâche et je reprends mon souffle.

Idir *gêné* : Désolé pti reuf.

Moi : Ce n'est rien, mais toi aussi contrôle ta force, toujours dans l'excès dans cette famille.

Idir : Je n'y peux rien si tu m'as manqué.

Putain, il a le même regard... Je crois que je suis condamné à devoir faire avec.

Moi : Ne me regarde pas comme ça Idir, s'il te plait.

Il détourne le regard. Je crois qu'il ne s'en rends même pas compte... Sur ça, on se ressemble beaucoup. Je prends le temps de l'observé, il est encore plus beau que la normale, avec son bronzage. Je secoue la tête, pour m'enlever cette pensée.

Idir : Désolé, je ne le fais pas exprès. *il pose son regard émeraude dans le miens*

Moi : Je ferais avec.

Il a changé ma vieWhere stories live. Discover now