Mat and Max [terminé]

La chaleur de Max

Pour une expérience un peu plus immersive, voici une ambiance de tempête de neige ^^

Bonne lecture mes amis xoxoxxoo

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(PDV de Max)

La neige qui s'accumule rapidement sur les routes rend la circulation assez difficile et dangereuse. Ma mère roule prudemment. Nous revenons de chez le docteur et la seul et unique chose que j'ai envie de faire, c'est foncer chez Mat et le câliner toute la soirée .C'est fou ce qu'il m'as manquer. Une seule journée, et j'en peu plus. Il est devenue le centre de mon univers, mon ami, mon copain, ma fierté. Il à tellement progressé depuis que je l'ai rencontré. Il est moins nerveux, un peu plus confiant, plus souriant surtout. Je finis par reconnaître les maisons de notre petite rue bien tranquille. Je trépigne d'impatience. Presque aussitôt le moteur éteint, je saute de la voiture et fonce vers la maison voisine. Le vent souffle fort et la visibilité est quasi nul. Je cogne trois bon coup à la porte et Jenna ouvre. Elle me regarde avec u drôle d'air, les sourcil froncé, l'air de ce demander ce que je fais la planter comme un con devant l'entrée. 

-Max, tu n'est pas avec Mat?

-Heu non, je revient tout juste de mon rendez vous chez le docteur. Il n'est pas là?

-Bien non justement il est supposément avec toi, dans votre cabane. Il à dis qu'il reviendrais pour le dîner, mais cela fait déjà presque 15 minutes de retard. Je dois avouer que l'on commençait à s'inquiéter.

D'un coup, les paroles de Josh me revienne à l'esprit comme une douche glaciale. Une douche qui givre mes os un pas un. Mon cœur ce serre et prit de panique je m'élance dans les bois à ce recherche. Je prend tout de même la peine de demander à Jenna d'appeler les secours, car  j'ai un très mauvais pré sentiment.  Je lui mentionne le nom de Josh Hunter et je disparaît dans la noirceur. 

Le vent siffle et la neige me griffe le visage. Je cours le plus vite que je peux à travers les sapins. Je ne vois plus de traces de pas. Je hurle son nom à plein poumon. 

-MATHIAS !!!!!!! RÉPOND MOI C'EST MAX !!!

Je hurle plusieurs fois sans aucun réponse. Cette forêt, je la connais par cœur, hiver comme été. Je repère le petit ruisseau gelé et je sais alors que j'approche de notre lieu de paix, à présent souillée par les conneries de ce gros tas de merde. J'allume la lumière de mon téléphone me cachant un peu le visage, plissant les yeux dans l'espoir de distinguer un petit Mat pas très loin. Je m'avance encore plus loin, la neige jusqu'au genoux. Je ne renonce pas je vais le trouver. Je ne peux pas le laisser, je lui est promis....

Les larmes commence à couler. Je l'est essuie rageusement. Je dois le trouver, je sais qu'il est vivant, il ne peut pas mourir... non... il ne peut pas.... pas mon Mathias...

Je m'enfonce encore plus profondément dans les bois et en plissant les yeux, je distingue une petite montagne de neige fait sur le long... 

-Merde !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je m'élance vers cette petite montagne, la morve au nez, le coeur saignant et je déneige cette petite montagne. Je déneige d'abord sa tête et je l'extirpe de la neige. Il est congelé. La neige qui la recouvert n'était pas aussi abondante qu'au sol puisqu'il s'est caché sous un arbre. 

-Je suis là bébé, c'est finis okay...

Je tremble tellement et je lâche un crie de rage et de désespoirs qui s'étouffe avec le vent. Je détache mon manteau et retire ma chemise. La neige ne me fait absolument rien sur ma peau à cause de l'adrénaline et même sans, je m'en fou royalement. je remet mon manteau et le referme sur nous. Je met mon bonnet sur sa tête et je me relève, avec ma fierté dans les bras.

Je cours à m'en brûler les poumons. Le vent me perce les oreilles. Je suis mord de froid, mais je dois sortir d'ici. 

Une dizaine de minutes plus tard, je retrouve enfin la sortis. Mat est aussi froid que la neige. Ses lèvre son bleu et sa peau tellement pâle que l'on dirait de la porcelaine. 

Les urgences ce précipites sur nous. Ils me demande de leur confier Mat. Je l'abandonne à contre cœur au soin des infirmiers. lls l'enroulent dans de grosses couvertures spéciales et l'embarque dans l'ambulance. Je pique un sprint et j'embarque avec Carmen. 

Nous sommes en route vers l'hôpital. Carmen serre l'infirmer à ses côté en pleur, et je fixe le vide. Je n'ai pas d'émotion, je ne sais pas comment d'écrire ça. C'est comme si mon cœur avait gelé dans la tempête. La rage , les pleurs, la haine et un immense tristesse. Voilà ce que j'ai ressentis en l'espace de 30 minutes.

-Ses signes vitaux sont faibles madame. Mais je crois qu'il va s'en sortir sans trop de mal. 

Carmen hoche la tête sans montrer aucune joie. Elle est vidée, tout comme moi. Cinq minutes plus tard, nous arrivons à l'hôpital. Les urgences le prennent tout de suit en mains. Je le vois nous quitter sur la civière, blanc comme neige. Mat, si tu meurt par sa faute....

-Madame, monsieur, nous allons vous donner des nouvelles lorsqu'il sera stable. Ne perdez pas espoir, nous allons tout faire pour le garder avec nous. 

Nous hochons de la tête et elle quitte rejoindre l'équipe qui s'occupe de Mat. Il sera branché à plein de machines qui font des bruits énervant. 

Carmen s'effondre sur une chaise de la salle d'attente et fixe le vide, les yeux rouges. Je suis tenter de faire comme elle, mais je suis trop agité. 

-Tu sais Max, t'es la meilleur chose qui soit arrivé à mon fils depuis longtemps. Je te remercie de tout mon cœur pour tout ce que tu as fais pour lui. Je sais à quoi tu penses, mais ne le pense pas veux-tu?

Ses paroles m'achève. Je craque et je fond en larme. Je m'écrase contre le mur et j'attend... j'attend...

j'attend 

et j'attend....

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woosh 1005 mots sddhnchrgrgrugherre

j'espère que vous avez aimé ce chapitre ^^

bisous mes chatons et mon dragon,