𝐈𝐛𝐫𝐚𝐡𝐢𝐦 & 𝐒𝐚𝐧𝐚𝐚 : « 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐧.»
S A N A A
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hier donc mardi je suis pas partie en cours parce que j'avais mes règles et que j'en pouvais plus, ma mère m'a rien dit parce qu'elle c'est que quand j'ai mes règles c'est pas rien du tout, aujourd'hui on est mercredi et je compte bien retourner même si j'ai encore mal sa va par rapport à hier.
J'ai mis un legging noir et un sweat à capuche bleu foncé, tout mes sweat et pull sont long enfin ils sont long jusqu'à en dessous de mes fesses c'est pour ça que je me permet de mettre des leggings surtout que j'ai besoin d'être alaise, je suis partie à pied, écouteur au oreille.
Mes journées de cours on rien d'exceptionnel en réalité, vous savez comment une classe de fou fonctionne quand même, j'ai fini à 13h en sortant devant le lycée y'avais les mousquetaires, Jibril me fait signe de venir vers eux c'est ce que je fais.
Jibril : tu vas où ?
Moi : chez moi.
Driss : t'a quoi à faire aujourd'hui ?
Moi : rien.
Jibril : vazy passe la journée avec nous.
Moi : hum hum ou ça ?
Driss: fait nous confiance, nous trois on te fait confiance pour te ramener avec nous alors fait nous confiance.
Jibril : y'a rien de bizarre t'es notre petite y'a rien.
Moi : sa va, je rentre d'abord par contre.
Driss t'habite ou ? On vient te chercher.
Je leur dit ou et je trace jusqu'à chez moi, j'ai posé mes affaires, je me suis démaquillé pour me remaquiller parce que j'aimais pas du tout mon maquillage, j'ai pris mon sac à bandoulière et j'ai mis ce qui faut dedans, j'ai envoyé un message à mes parents vue qu'ils sont au travail et je suis descendu quand les garçons étaient en bas.
J'ai croisé mon cousin Ahmed je sens qu'il vas me soûler, il me surveille comme si j'étais sont gosse et entre nous c'est soûlant, j'ai fait comme si je l'avais pas vue et je me suis avancé devant la voiture.
Ahmed : tu vas où la ?!
Moi : quelque part.
Ahmed : toi t'es parents ils sont pas là tu fait la folle ?! sa y'es Fouad a pris sa maison tu sort avec des gars comme ça ? On verra quand je vais l'appelé.
Moi : ok.
J'ai continué ma route et je suis monté dans la voiture, Ibrahim a accéléré et j'ai soufflé.
Jibril : c'était qui ?
Moi : mon cousin.
