𝐈𝐛𝐫𝐚𝐡𝐢𝐦 & 𝐒𝐚𝐧𝐚𝐚 : « 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐧.»
S A N A A
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Moi : vous connaissez quoi vous ? C'est toujours la même chose « je vous comprend » pour qu'après je finisse ma vie ici ?
Psychologue : je ne suis pas comme l'autre psychologue qui a très mal fait sont travail, mon bute c'est de vous faire sortir d'ici.
Moi : je suis folle.
Psychologue : nan et vous la saviez très bien, une personne folle ne dira pas qu'elle est folle.
Moi : on me le répète à longueur de journée donc je commence à m'y faire maintenant.
Psychologue : vous avez arrêtez de vous battre pour sortir ?
Moi : évidemment sa vas faire un ans et demi que je suis ici et on m'a jamais laisser voir le jour, même quand fallait allé à l'extérieur j'avais pas le droit à cause de l'autre.
Psychologue : qui ?
Moi : mon éducatrice.
Psychologue : -fronce les sourcils- vous êtes sur ?
Moi : bien sur ! Vous la connaissez pas ? Adeline Martinez.
Psychologue : elle vous a déjà montrer une carte ou quoi que ce soit ?'
Moi : une fois.
Psychologue : -me montre sont téléphone- sa ressemblait à quelque chose comme ça ?
Moi : nan.
Psychologue : alors a quelque chose comme ça ?
Moi : oui.
Psychologue : -soupire- je vais vous faire sortir d'ici et on ira porter plainte parce que depuis je ne sais combien de temps on vous ment ! Elle n'est pas éducatrice. Votre éducatrice doit faire en sorte que vous allez mieux et vous aidez dans cette épreuve elle doit faire en sorte de ne pas vous faire entrer ici. Elle a pas le droit de vous arrachez de votre famille si vous étiez vraiment un danger l'école ne vous auriez pas accepter. Je sais pas qu'elle baratin elle a put vous sortir mais sachez que c'est faux.
Moi : -passe mes mains sur mon visage- j'en est marre.
Psychologue : je sais que c'est pas facile du tout ! Mais...-soupire- on parlera de ça à votre sortie, je m'occupe de votre avocat et de payer les frais, surtout après tout ce que vous avez vécu normalement on vous versera une somme parce que vous êtes victimes et c'est très grave. On vous a quand même fait rentrer dans un hôpital psychiatrique alors que vous n'êtes pas folle.
Moi : je suis juste malade...
Psychologue : j'ai vue ça et c'est encore plus grave parce que c'est de l'abus sur personne malade, ils savaient que sa allait pas très bien et que vous aviez des problèmes donc ils ont utilisé sa pour faire tout ça.
Moi :
Psychologue : je reviendrais demain pour te sortir d'ici d'accord ?
Moi : -hoche la tête- je sais pas si je dois vous faire confiance ou nan, mais j'ai besoin de sortir de cette endroit ! Alors s'il vous plaît aider moi et me laisser pas mourir ici.
Psychologue : je vous promet de revenir ! Vous avez aucun problème à vous faire.
Je suis retourné dans ma chambre que j'appelle cellule parce que je suis vraiment enfermé ! Je m'ennuie tellement ici et en plus sa passe doucement ! En plus je mange trop mal. Je vais « mieux » dû sans où je prend un peut moins mes médicaments après j'ai pas à faire au gens donc voila.
Je suis très renfermée sur moi même, là seul chose que j'ai pas lâcher c'est la prière, depuis la dernière fois que j'ai étranglé l'autre j'ai pas essayé de me suicider parce que y'a rien pour le faire mais j'en avais bien envie en tout cas.
Lendemain.
Je prend mon sac et sort suivie de ma psychologue qui a tenue sa promesse, le soleil tape sur mon visage, on est au mois de Mars donc il fait assez frais quand même, c'était vide en même temps l'hôpital et bien loin de tout pour pas que ceux qui s'échappent arrive à atteindre des gens etc, je suis monté à l'avant et j'ai commencé doucement à stresser quand on arrivait plus dans le centre ville.
Psychologue : on vas se tutoyez d'accord ? Je m'appelle Alya. On vas d'abord aller chez moi pour que tu prennes ta douche et que tu te repose au moins une voir deux heures, j'ai déjà déposé la plainte hier soir donc on a juste à attendre, je t'emmène manger parce que sa doit pas être terrible ce que vous mangez.
Moi :
Psychologue : et ensuite on ira t'acheter des vêtements pour terminer. Tu peux rentré chez toi quand tu veux, soit tu attend qu'on clôture cette histoire pour être sûr de ne pas les croiser ou alors tu rentre et on espère que tu l'es croisera pas.
Moi : j'attend qu'on fini tout.
Psychologue : sa me vas, je vais déposé mes jours pour qu'on s'occupe seulement de ton histoire et de rien d'autre !
Moi : d'accord merci beaucoup.
Psychologue : c'est mon travail, tais sur que tu veux pas parler ?
Moi : je veux juste retrouver ma familles.
Elle me sourit, on est arrivé quelque heures plus tard chez elle, j'ai pris une douche ! Vous avez pas idée sa ma tellement fait du bien, une fois finit ma douche je me suis habillé, j'ai regardé mes cheveux, j'ai pris des ciseaux et je l'ai est coupé jusqu'à ma poitrine, ils sont tellement abimé. Sa me fait bizarre de ne plus avoir les cheveux longs mais bon.
Psychologue : je suis descendu te prendre un point b j'ai pris plein, plein de truc donc tu peux tout manger.
Je suis vite partie, je vous jure que j'étais dans un autre monde, y'avai plein de menu, j'ai pratiquement tout manger en lui racontant ma vie, il reste deux trois truc que j'ai mis au frigo, mon bute était de re rentrer dans du 38 et re avoir mes kilos perdu. Puis après je suis partie me coucher parce que j'en pouvais plus.
J'entend mes oreilles sifflée , je sais que ça parle dans mon dos
A suivre...
