𝐈𝐛𝐫𝐚𝐡𝐢𝐦 & 𝐒𝐚𝐧𝐚𝐚 : « 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐧.»
I B R A H I M
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Papa : tu veux pas nous dire c'est qui ?
Maman : nan parce que vous allez faire n'importe quoi.
Moi : -m'énerve- je comprend pas ! Tu te retrouve à l'hôpital plâtrée et tu continue à défendre le mec qui t'a fait ça ?! C'est bien d'être gentille mais faut arrêter au bout d'un moment.
Maman :
Moi : quand il vas revenir pour te tuer tu vas faire quoi ? Vazy dit nous puisque tu cherche à te protéger toute seul dit le nous.
Papa : doucement Ibrahim.
Moi : nan ! Sa m'énerve sa fait 3 jours qu'on force pour la même chose ! Je suis entrain de serrer dans ma tête y'a rien à défendre là ! Sa fait combien de temps qu'il te fait la misère ?
Maman : deux ans.
Moi : et à chaque fois qu'il te fait quelque chose tu nous dit que t'es tomber, que tu t'es cognée mais c'est fini de nous pour des cons ! Au bout d'un moment faut lâché les noms.
Ayman : sur ça il a pas tord mama' t'abuse quand même, on vas pas le tuer.
Maman : c...c'est mon cousin Hicham.
Papa : on y vas, ta sœur arrive.
Maman : Isaac ! Tes le plus grand et tes leur père les laisses pas faire n'importe quoi s'il te plaît je t'en supplie faite attention à vous.
On lui fait un bisou sur le front et on sort, déjà que lui et c'est fils je peux pas me les voire on est pas partie directement on a pris des armes etc et on est partie. Quand j'étais petit et que je trainais avec mon frère il faisait ses affaires avec moi à côté, il m'a appris à tirer, à me battre a plein de truc qu'un homme a besoin pour pas se faire baiser.
Si je suis l'homme que je suis aujourd'hui c'est simplement grâce à mon frère et mon père après je vous avoue que quand j'étais petite j'étais celui qui se battais avec tout le monde et quand je voyais Ayman se battre j'entrais directe dans la bagarre même si je pouvais me faire niquer j'en avais rien à faire temps que je défendais mon frère.
Quand il est partie j'ai eu mal hein, quand ton repère, quand la personne qui ta tout appris disparaît du jour au lendemain je peux vous assurez que y'a rien de pire que ça !
On viens d'arrivé chez lui, là il est tout seul donc est entré comme si on était chez nos daronne, il dormais dans le salon, il me dégoûte ce gros porc, mon père tape sont arme contre sa tête histoire qu'il dorment un peut, on l'a porté jusqu'au coffre de mon père et on l'a ramené dans l'une des caves de mon frère.
Ayman : je propose qu'on le séquestre et qu'après on le tue.
Papa : tu veux que ta mère elle nous tue ou quoi ?
