Partie 13

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Précédemment...

Il dit alors de façon fière et menaçante: Je le savais .

Dans la peau de Leïla:

Salut, j'espère que vous vous portez bien depuis la temps. Pour ma part, écoutez tant que j'ai la santé c'est l'essentiel. Donc bon là je suis en train de me préparer pour aller à l'hôpital et je sens qu'aujourd'hui sera un beau jour, un bon jour pour moi. Pourquoi? Moi même je ne sais pas, je sais seulement que je vais être bien, peut être même heureuse après tout ce temps sans lui... J'espère que vous savez de qui je parle, Karim, l'homme de ma vie, celui qui a toujours été là pour moi et qui m'a toujours traitée comme un homme , un vrai doit se comporter avec celle qu'il est censé aimer, comme une reine.

Je sors donc enfin de chez moi avec une petite gamelle pour manger parce qu'après je file directement au travail. Je suis dans ma voiture et je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu envie de prendre des nouvelles de ma belle-mère, même si j'ai clairement fait sa connaissance en personne dans de très mauvaises circonstances mais bon. Elle m'a l'air d'être une femme très gentille et très affectueuse, que dieu la bénisse. Je l'appelle une première fois et elle ne me répond pas, je réessaie et cette fois ci elle ne me répond pas mais m'envoie un message qui m'a clairement glacé le sang: Viens vite à l'hôpital, c'est urgent, mais sois prudente c'est une bonne nouvelle. Alors là, sincèrement je n'espérais qu'une seule chose, c'est qu'il se soit réveillé parce qu'en soit au début j'ai eu peur mais quand j'ai lu que c'était une bonne nouvelle je me suis directement calmé et vraiment j'espère , non, je souhaite que se soit le fait qu'il se soit réveillé.

Une fois arrivée, je me précipite dans sa chambre mais une fois devant la porte, j'ai une boule au ventre inexplicable qui se forme. Elle est tellement forte que je e sais pourquoi mais j'ai soudainement lâché un cri puis la douleur deviens plus forte donc pour ne pas affoler les gens, je massois rapidement sur la première chaise que j'ai vu à proximité et j'ai rapidement pris un doliprane avant de me relever une dizaine de minutes plus tard et de ne plus ressentir cela. Donc je pose ma main sur la poignée et là, ma belle mère, enfin la mère de Karim et sa soeur sortent de la pièce , j'essaie de jeter un coup d'oeil derrière elles mais je n'arrive pas à voir le lit de mon bien aimé. Alors je salut ma belle mère ainsi que ma belle soeur et une fois cela fait, ma belle mère me dit de rapidement entrer et qu'elles n'allaient pas plus me retenir ici sachant ce qui m'attendais.

Je rentre alors, et là je vois Karim de dos, genre allongé de dos sur le côté. Sincèrement ce suspense va finir par me déclencher une crise. Je m'avance au niveau de son visage, enfin de façon à bien voir sa tête et là je croise son regard, choquée et heureuse je ne bouge plus, je suis comme tétanisée pendant qu'on ne se lâche pas du regard, un petit sourire se glisse sur ses lèvres et sur les miennes avant qu'il me prenne dans ses bras. Ce câlin m'a fait ressentir comme une décharge, j'ai enfin réussi a bouger et une fois terminé, je lève mes mains vers le ciel et je remercie le seigneur dans une euphorie immense.

Bon voilà, mon Homme, Karim, s'était enfin réveillé.

Dans la peau de Naïm:

Salut , bon je ne vais pas passer par quatre chemins, cette fille je la veut, je veux bien faire les choses donc ce n'est clairement pas le moment pour l'instant avec tout ce qu'il se passe dans sa vie comme dans la mienne. Mais un jour, si dieu le veut, on sera ensemble. Et ça je le sais autant qu'elle le sait parce que nous sommes quand même de grandes personnes et on a pu discuter de notre " relation" une fois, et on en a clairement conclu que nous ne sachions pas vraiment ce qu'il en était, mais que nous sommes clairement pas de simple amis mais pas non plus , plus que cela.

Enfin bon, là je viens de rentrer, mon tel est mort donc je le branche le temps d'aller me doucher vite fait, je vais passer chez ma mère dans la journée, elle habite à quelques minutes de chez moi donc c'est tout bénef. Je sors de ma douche et une fois avoir rallumé mon portable je vois que Cataleya m'a appelé sur snap, je rentre alors dans la conversation parce que du coup j'ai rappelé mais elle prend du temps à décrocher et là dès que je vois son message je ne réfléchi même pas un peu je cours mettre des chaussures, prendre mes clés de voitures ainsi qu'une veste et je fonce immédiatement à l'hôpital.

Pourvu qu'elle n'est rien...

Dans la peau de Cataleya:

Il s'avance vers moi avec son regard noir, avec ce regard , celui que j'avais aperçu qu'une seule fois dans ma vie et qui m'a clairement apporté le plus de problèmes en une si courte période. Là, croyez moi, j'ai cru que c'était ma fin, je me suis clairement dit que j'allais mourir et que la dernière chose, le dernier souvenir que j'aurai eu de cette vie c'est cet homme, celui que j'aime ou que j'aimais je ne sais plus vraiment, s'avançant vers moi avec une haine indescriptible mais lisible dans ses yeux, une haine tellement puissante que je pourrais même la qualifier de rage.

Une fois arrivé à ma hauteur, il lève sa main comme pour me gifler et prise de peur je me replie très rapidement histoire d'essayer de me protéger le plus possible mais avant même que j'ai commencé je sentais déjà ma joue chauffer, il m'avait giflée, et ensuite il m'avait murmuré à l'oreille une phrase qui m'a de nouvelle fois glacée le sang : Tu te marieras avec moi quoi qu'il en coûte, de gré ou de force, je te l'avais déjà dit, nous deux c'est à la vie à la mort.          Et il s'en alla.

Moi, je suis restée là, figée , tétanisée à fixer un point dans le vide en ayant les larmes qui coulent, seule, avec le coeur qui bat à la chamade, dans le silence le plus complet. J'étais comme déconnectée.

D'un coup la porte s'ouvre et prise de panique, je m'écris alors : " Non! S'il te plaît , laisse moi!" tout en me repliant une nouvelle fois sur moi même car j'ai cru que s'était lui. Quelques secondes plus tard je sens une personne me prendre dans ses bras , ce fut comme un soulagement et je craqua dans les bras de cette personne.

Je pleurais clairement à chaudes larmes et bien fort, comme une enfant, et je m'endormis dans les bras de cette personne, vous savez bien qui c'est: mon mannequin préféré

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Je pleurais clairement à chaudes larmes et bien fort, comme une enfant, et je m'endormis dans les bras de cette personne, vous savez bien qui c'est: mon mannequin préféré.

Dans la peau de Naïm:

Une fois qu'elle s'est endormie, je reste encore un peu dans la chambre avec Cataleya dans mes bras puis je décide de sortir et d'aller nous acheter à manger mais une fois dehors je préfère partir chez ma mère comme ça j'allais lui récupérer une assiette. Une fois arrivée , je salut ma famille , reste un peu avec eux avant de prendre l'assiette et d'y aller.

De retour à l'hôpital, une fois devant la porte de sa chambre , je prend une grande inspiration parce qu'en sois cette fille je l'aime vraiment bien et le fait de ne pas avoir été là alors qu'elle m'avait appelé me fait me sentir coupable et ça me dérange de la savoir aussi mal en point. Je rentre alors dans la chambre et là, pas de Cataleya, elle n'est plus là mais toutes ses affaires sont encore ici, je l'appelle et son portable sonne dans la chambre.

 Je rentre alors dans la chambre et là, pas de Cataleya, elle n'est plus là mais toutes ses affaires sont encore ici, je l'appelle et son portable sonne dans la chambre

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Où est-elle passée?

À suivre
Votez - à 5 votes je met la suite , désolé mais c'est la seule façon de voir que mon travail est un minimum reconnu
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Cataleya : Nos défunts nous ont réunisWhere stories live. Discover now