Océan [Taekook] SOUS CONTRAT D'ÉDITION

Chapitre ⑤① [FIN]

Bonsoir les amis ! ^-^

Et voilà, nous y sommes... Voici le tout dernier chapitre d'Océan (7000 mots, posez-vous bien avant de l'entamer hihi!)

Je vais éviter de parler maintenant pour vous laisser profiter. Tout sera dit dans les remerciements, qui arriveront dans la soirée... ♥

Les amis, je vous souhaite une bonne lecture et j'espère sincèrement qu'elle vous sera douce... ^-^ ♥ Par avance, je vous remercie pour tout.

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— Je suis vraiment sûr d'avoir foiré...

— Ouais, bien sûr. Allez, viens.

Namjoon saisit mon poignet et me tire à sa suite. Je me pince les lèvres, m'excusant dans un souffle lorsque je bouscule quelques corps. La chaleur commence à se faire écrasante en ce début juin, et le tumulte ambiant dans le hall de Seontaeg n'arrange rien.

— Je suis sûr que t'es premier.

— Non, vraiment pas..., je murmure, sans que mon ami n'entende mon inquiétude.

Quelques cris retentissent. Quelques sanglots aussi. Je suis persuadé que je vais, dans quelques instants, faire partie de la seconde catégorie. Mon ami se fraie un chemin jusqu'aux tableaux, puis me lâche pour chercher son propre nom. Je peux le voir déglutir à mesure que son regard descend le long des lignes.

— ...Alors ?

— Cherche le tien, me balance-t-il, trop paniqué pour s'occuper de moi.

L'adrénaline foudroie cependant mes veines lorsqu'il écarquille les yeux. J'ai peur. Rien ne naît sur son visage ; ni sourire, ni larmes.

— Namjoon... ?

Lentement, son doigt se lève, tremblant, et si je crois qu'il va le pointer sur l'une des vitres derrière lesquelles sont affichés les résultats de l'année, il se dirige finalement vers son propre torse.

— Je..., bégaie-t-il.

Je m'approche de lui pour l'inciter à parler.

— Je suis... Diplômé...

Une joie immense gronde de mon ventre à mes lèvres, qui s'étirent en un sourire que je n'arrive pas à tempérer. Namjoon recule d'un pas, sonné. Je jette un œil au tableau. Oui. Il est là, il est admis.

— Namjoon, bravo ! Tu vois que tu y arrives ! Je suis tellement fier de toi !

— Ouais... Je... Il f-faut que j'appelle ma mère...

Je hoche vigoureusement la tête.

— Je reviens... Cherche ton nom, rejoins-moi à la sortie. Je sais que t'es admis, de toute façon.

Il s'éclipse. Mes mains sont moites lorsque je fais volte-face vers les feuilles. Je fais mine de chercher, la vérité est que je ne recherche rien. Peut-être que mes yeux sont passés sur mon nom et que je ne me suis même pas vu. Je déglutis et m'apprête à prendre mon courage à deux mains mais, soudain, on me bouscule.

Je pivote la tête vers la source de violence involontaire, et mon cœur est serré d'un puissant étau lorsque le visage de Jimin entre dans mon champ de vision.