Amor mio - Fabio Quartararo

Le début.

4 août 2018.

« Chaque histoire d'amour est belle mais la nôtre est ma préférée. »

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C'était une soirée banale, j'avais été invité par Eloïse à un anniversaire dont je ne connaissait même pas la personne. N'ayant rien de prévu ce soir là, malgré mes révisions que je ne cessait de retarder, j'avais accepté de venir pour essayer de me sortir de mes cahiers. Bien sûr, Eloïse m'avais tanné pour que j'y aille et c'est avec sa motivation sans faille qu'elle avais réussi à me faire accepter.
Elle était passer me récupérer après avoir rapidement enfiler une robe que j'avais trouver en premier dans mon dressing. J'avais soigneusement attachée mes cheveux que j'avais fraîchement boucler de la vieille.
C'est dans sa célèbre fiat 500, que je retrouve Eloïse enjouée d'aller à cette soirée au contraire de moi. La jeune femme m'explique que la soirée est une des plus grosses de toute la côte d'Azur, c'est l'anniversaire de Diego un ami d'enfance à elle qui est terriblement connu dans le coin. Elle m'a d'ailleurs confié qu'il ne ce souvient même plus d'elle mais qu'elle tenais tellement à être à cette soirée qu'elle avais réussi à nous ligoter des entrées, quel joie.
Après une bonne vingtaine de minutes, nous arrivons devant une somptueuse villa, ma maison à côté ressemble à rien face à ça.
De nombreuses voitures étaient déjà stationnées et comme à son habitude, ne voulant pas ce prendre la tête, Eloïse ce gare en plein milieu de la rue. Celle-ci prétexte que personne ne viendra ce garer à côté de sa magnifique titine.
Je n'étais même plus choqué de ses agissements beaucoup trop habituer a tout ça.
Évidement, à l'entrée une sorte de videur nous attendais. Après dix minutes a fouiller son sac, Eloïse trouve les fameuses invitations.

On entre dans la soirée où des centaines de nana en maillot de bain ce trémoussais le long de la piscine appâtant le moindre mec présent, répugnant. Eloïse me tire par le bras pour m'emmener vers un groupe qui je pense être des amies.

- Hello les filles, s'exclame t'elle face à un groupe d'au moins cinq nana plus pétasse les unes des autres.

Ces dernières la saluent et commence leurs commérages habituel, mon dieu que c'était ennuyant. La soirée commençait à peine que je m'ennuyais fortement.
Je m'éclipse de leurs discussions inutiles, le buffet me faisant des appels de phares.
Néanmoins, dans ma lancée je reçoit en plein sur ma robe blanche un verre de bière dont je me souvient encore de l'horrible odeur.
J'ai à peine le temps de réaliser la chose que j'étais trempée de la tête aux pieds.
C'était un mec qui n'avais sûrement pas fait attention à ce qu'il faisait, comme d'habitude vous me direz, qui m'a envoyer sa pinte de pression en plein sur ma robe blanche. Heureusement, je l'avais acheter dans une friperie pour le mariage de ma tante et je la détestais fortement. Mais je n'avais que sa sous la main ce soir.

Celui-ci semblait gêner alors que deux groupies avec lui et un autre mec semblait être mort de rire de la scène.

- Je suis désoler, je ne vous avais pas vu.

J'attrape des serviettes poser sur le fameux buffet qui finalement ne me donnais plus envie avant de pester en direction des toilettes.
Je fait longuement le tour de la villa essayant tant bien que mal de trouver un miroir et surtout un robinet pour essayer d'atténuer cette horrible tâche. Chaque portes que j'ouvrais, je tombais toujours sur un mec et une fille entrain de ce tripoter.

J'avais enfin trouver une pièce à l'écart du monde pour détacher ma robe en vin. Malgré des dizaines de coup d'éponge, la tâche ne partais toujours pas.
Je suis surprise lorsque j'entends le grincement de porte pour tombez nez à nez avec l'idiot qui m'avais balancer son verre.