Chapitre 19 : Suicidés ...

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Je venais de me réveiller, et j'étais couchée dans les bras de Harry. Mon corps était étendu sur son torse musclé, ses bras étaient tout autour de mes hanches. Je me retournais pour admirer sur son beau visage endormis, et je restais dans cette position jusqu'à se qu'il se réveille.

Ses paupières se soulevaient doucement, et ses lèvres ont vite formées un large sourire.

"Alors là c'est clair, si j'ai droit à ce magnifique sourire tous les matins, je suis ravis qu'on habite ensemble. Bonjour bébé.

-D'accord à la seule condition que chaque matin, j'ai ce beau visage au dessus de moi en me réveillant. Bonjour mon ange."

Je souris et l'embrassa délicatement.

Nous nous levons après quelques minutes et nous remballons nos affaires pour aller déjeuner en ville. Harry tenait ma main jusqu'à la voiture, il mit nos affaires dans le coffre et s'installa derrière le volant. Il était presque 10h, et le présentateur radio hurlait le titre de la prochaine chanson qu'Harry et moi aimions beaucoup, alors il montait le son et on commençait à chanter cette douce mais magnifique chanson.

Une fois arrivé en ville, Harry se gara sur une place de parking libre, et nous nous dirigions vers le salon de thé au coin de la rue.

La serveuse s'avançait vers nous et nous demanda notre commande. Harry avait pris un chocolat chaud, un gâteau à la fraise et un jus de pomme, et moi j'avais pris un café noir un croissant et un verre de jus d'orange. Nous avons vite terminé de manger, et j'ai insisté pour payer le petit déjeuner.

Nous sommes sortis et nous nous sommes baladé dans la ville, main dans la main, parlant et riant comme un couple unis et ... Normal.

Notre balade fut interrompu, et je m'arrêta en plein milieu du chemin,se qui me valait quelques remarques négative des passants. Harry s'arrêta et me fixais, attendant que je lui dise qu'est ce qui n'allait pas.

"Harry regarde là-bas !"

Je désigna un vieil homme à la terrasse d'un café, en train de faire des ronds avec sa cuillères dans sa tasse.

"Oh non, c'est pas vrai ..."

-FLASH BACK-

"Qu'est ce que je fais ici ? Pourquoi je suis attachée, lâchez moi ! Ou est Inconnu ?

-Arrête de parler de ce garçon jeune fille ! C'est uniquement ton imagination qui te joue des tours maintenant prend ta dose.

-Non pas de médicament, je suis pas malade ! Arrêtez vous me faite mal !

-Arrêtez de faire mal à cet enfant immédiatement !"

-FIN DU FLASH BACK-

"Attend Callie dis moi que je rêve, ou alors c'est bien ...

-Le directeur de l'asile !

-Je vais le tuer ... Maintenant que j'en ai l'occasion !

-NON HARRY !"

Il avait lâché ma main, et commençait à se diriger vers le vieil homme qui nous était malheureusement familier. Je lui courais après, avant qu'il ne fasse une bêtise. Nous arrivions à sa hauteur presque en même temps et Harry commençait à parler.

"Monsieur Johnson ?

-Oui ?

-Docteur Johnson ?

-Je suis désolé je suis à la retraite.

-C'est pas pour ça que je suis là.

-Harry ! Excusez nous docteur Johnson, je pense que mon ami Harry ne voulait pas se présenter à vous de cette façon. Excu ...

-Harry Styles ?

-Oui ?

-Et Calliope Mayson ?

-Alors vous vous souvenez de nous ?

-Je n'étais pas sur que se sois vous, mais maintenant c'est vrai que la ressemblance est frappante. Je l'avais bien dis que c'était impossible de vous séparer ...

-Vous avez dis ça à qui Docteur ?

-Les scientifiques de l'asile à l'époque où j'étais encore le directeur.

-Qu'est ce que le bâtiment est devenu ?"

Le vieil homme nous fit signe à Harry et à moi de nous asseoir à table avec lui, nous avons commandé un café, avant que le docteur ne continue.

"L'établissement à vite commencer à décliner, je n'étais pas un mauvais homme.

-Croyez moi ... On a une tout autre version des faits ..."

Je donnais un coup de coude dans les côtes de Harry pour qu'il se taise.

"Je sais que vous avez tout pour m'en vouloir, mais croyez moi, les infirmiers, ceux qui vous faisaient mal et ne vous traitaient pas bien, ils le faisaient sans que j'en sois informé ... Ma philosophie à moi c'était la paix, je voulais d'un asile où les enfants se sentiraient en sécurité, pas d'un endroit où ils seraient torturé physiquement et psychologiquement. Croyez moi, je n'en savais rien, et après votre départ, j'ai démissionné. C'est l'infirmier Carlson, qui est devenu le directeur et c'est devenu l'anarchie total ...

-L'infirmier Carlson ? Je me souviens de lui, il était le pire de tous les infirmiers, nous étions terrorisé chaque fois qu'on le voyait.

-Oui ... A l'époque il y avait des études qui ont étaient faite pour vous deux, et vos comportements.

-Oui j'ai vu certains dossiers, mais disons qu'après un léger incident, les dossiers ont été introuvable. Vous croyez que les scientifiques qui ont fait ses recherches à l'époque ont encore ces dossiers ?

-Alors vous ne savez vraiment pas ?

-Savoir quoi ?

-Tous les infirmiers, scientifiques excepté moi et Carlson, se sont suicidés à l'époque de votre internat ou dans les mois à venir de votre départ.

-Suicidés ? Mais comment ?

-Et bien nous n'avons jamais trouvé la cause, mais les faits sont là. Peut être étais-ce encore un de vos "don", que les choses à l'intérieur de vous, on eu un effet négatif sur la santé mental de nos scientifiques.

-Mais docteur ...

-Je vous en pris, appelez moi Gérard, en m'appelant docteur vous me rappelez de mauvais souvenir ...

-Gérard je ... Enfin quel genre d'études avez-vous fait sur nous ?

-Chacun des cas dans notre établissement nous semblait provenir que de la folie, mais vous deux, vous étiez convaincu que tout était vrai, même après avoir pris vos médicament,vous étiez les enfants les plus étranges. Nous avons décidé de vous mettre "ensemble", si nous avions su quels allaient être les dégâts de nos expérience croyez moi, jamais nous n'aurions fais cela. Au fil des semaines, les scientifiques ont remarqué des changements dans votre comportement, et des choses inexplicables ont commencé à survenir. Votre peau qui cicatrisait, vos blessures qui apparaissaient sur le corps de l'autre, les crises ... Et à partir de là, des infirmiers et scientifiques ont été retrouvé pendus, ou avec ne balle dans le crâne ...

-Gérard vous pensez que les dossiers sont encore dans les archives de l'asile ?

-Oui c'est possible, mais malheureusement, ils ne vous les donneront pas comme ça, il vous faut la clé.

-Quelle genre de clé ?

-Un pass, c'est une petite carte bleu, tous les infirmiers en ont une, si vous portez un uniforme d'infirmier et que vous avez le badge, vous n'aurait aucun problème pour passer ... Enfin ...

-Enfin quoi ?

-Enfin si rien a changé depuis la dernière fois où j'y suis aller ..."


Demons : Tome 1Donde viven las historias. Descúbrelo ahora