chapitre 12

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         ALLEZ JETER UN COUP D'OEIL A "The black death" de fizwizbiz, ça en vaut la peine ;)

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                         12. Quand le passé s'acharne


J'aurais voulu que le sol m'engloutisse, et qu'il engloutisse celui qui se tient devant moi, avec son air supérieur. Il n'a pas changé, toujours cette coupe, toujours ce beau visage trompeur et ce sourire de despote qui signifie : " Je suis bien dans ma peau et je vous emmerde". C'était Nolan. Avec tout ces récents évenements, J'ai totalement oublié qu'il sortait de la maison de correction aujourd'hui.

Je serre les poing si fort que j'en ai mal, j'ai une envie incontrolable, urgente de le trucider pour ce qu'il m'a fait subir, j'aurai voulu lui tordre le bras jusqu'a ce qu'il me suplie d'arrêter.

- Que veux-tu dire  par elle n'est pas humaine ? demanda une voix.

Nolan sourit, un sourire vicieux, tordu, figé. dieu du ciel, faites que je ne me jette pas sur lui et que je ne lui arrache pas ses dents une par une .

- Elle n'est pas humaine, veut dire  qu'elle n'est pas humaine, c'est tout.

- Tu n'as pas changé en deux ans, toujours aussi philosophe à ce que je vois. je déclare en croisant les bras.

- Et toi, petit oiseau, toujours aussi charmante.

- Tu m'apelle encore comme ça, je te jure que je ne donnerai pas cher de ta peau.

Son visage se décompose ce qui me procure une satisfaction infinie.

- Tu le connais ? Me demande allie, visiblement partagée entre le jetter dehors et attendre que je finisse ma discussion avec lui. je ne répond pas à sa question, ce qui lui fait fronçer les sourcils.

- Tu veux peut-être lui parler en privé ? Elle me suggére en jettant un coup d'oeil à la meute qui semble fascinée par le spectacle que nous donnons Nolan et moi. Seigneur! même prononcer son nom me dégoute, je le regarde sans ciller, si mes yeux étaient des armes à feux, je l'aurais probablement tué dés que je l'ai reconnu.

- Non, je n'ai rien à lui dire et je ne veux rien entendre qui vienne de lui.

à peine ai-je prononcé ces mots que deux loups-garou musclés comme pas deux prennent nolan par les bras. déconcerté, celui-ci gesticule, frappe (où plutôt essaie de frapper) les deux hommes qui n'ont pas l'air de ressentir quoi que ce soit. avant de dépasser le seuil de la porte, Nolan me jette un regard mauvais puis crie:

- Tu es une élue, tu as la lumière en toi ! Prend garde à ne pas te la faire voler!

Et il éclate de rire, comme un dégénéré mental.

- complétement taré, je murmure.

Evan apparait, la mine déconcerté, les sourcils fronçés. je lui sourit.

La dernière chose que je vois et le visage de mon loup devenu soudainement pâle puis, qui s'entrouvre. Je sombre dans un sommeil qui fut loin d'être réparateur.

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re tout le monde, je sais que je suis tréééééés en retard, mais bon, j'avais un exam de philo et de maths, donc je suis désolé, et pour me rattrapper, je vous écrit ce chapitre et un extrait du prochain:

extrait:

Mon sommeil est peuplé de rêves horriffiants, de souvenirs se mêlant à la réalité, mais c'est cette scène qui se rejoue encore et encore comme un signe : Un homme entre dans une maison de campagne qui appartient à mon père, je dois avoir cinq où six ans, dehors, un tempête d'une violence inouie s'abbat sur le paysage,  des éclairs zébrent le ciel, je regarde avec une fascination propre aux enfants les lumières qui se juxtaposent  aux nuages et j'écoute attentivement le grondement du tonerre, ma mère prépare le diner  en chotonnant , à l'époque elle était encore sobre ,mais elle s'interromps en voyant l'homme inconnu qui me fixe, je soutiens son regard d'une couleur qui me parut irréelle, une sorte de bleu vaguement mauve, jusqu'a ce que mon cerveau d'enfant s'en désintéresse . Ma mère plaque sa main sur sa bouche, une expression tout sauf calme sur le visage. Mon père quand à lui, se contente de saluer poliment le nouveau venu qui me désigne du doigt:

- Defrisa ni tana mia, pitrofica magica. demonica fortia magica.

Je me demande vaguement quelle est cette langue qui bien qu'étrange à un certain sens une certaine musicalité familière.


Ma mère tombe à genoux, ses épaules tremblent à cause ses sanglots. l'inconnu pose ses mains sur les épaules de ma mère et murmure :

- C'est son destin, elle a la lumière en elle .

OMEGAWhere stories live. Discover now