Chapitre 13: Un charme unique

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Nous étions, quelques jours après que l'ont ai renversés ce pauvre cheval, qui grâce au ciel mais surtout au vétérinaire, allait bien. Il ce trouvait que ce dernier était un cheval sauvage. Le vétérinaire avait du l'endormir pour pratiquer des soins. Il avait été relâcher hier matin à l'aube.

John et Jenna étaient rentrer de leur fabuleux voyage, hier tard ou plutôt aujourd'hui très tôt.

Les disputes avaient recommencés, John et Jenna étaient de mêmes caractères, il était donc normal que ça explose souvent ! Ils étaient jumeaux et croyais moi ça s'entendait.

Je prie l'oreiller qui se trouvait être à ma droite et je le mis sur ma tête avec l'espoir que ce dernier étouffe les hurlements de Jenna et John.

La porte de ma chambre se mit soudainement à grincer, quelques craquement de pas sur le parquet usé vint s'ajouter aux bruits incessant des jumeaux.

"Debout la marmotte, c'est un jour spéciale aujourd'hui "

"Je rentre chez moi ?" Dis-je avec une lueur d'espoir. Je devina bien évidement à la voix que la personne qui me parlais était Taylor.

"Non pas encore, mais j'ai une idée" dit-il.

Je poussa l'oreiller de ma tête, sans pour autant bouger mon corps et lui dit,

"La dernière fois que tu as prononcé cette phrase j'ai fait un malaise et en plus de sa je me suis transformée en réalisatrice de films pseudo dramatique en vous racontant ma vie."

Taylor pouffa et baissa les yeux vers le sol, il était adossé au montant de la porte, il était beau, son sourire pouvait faire tomber n'importe quelle fille. Mais attendez, je ne suis pas n'importe quelle fille, je suis complètement paumée, à croire que c'est lui qui me perdais.

"J'ai une bonne idée cette fois" en appuyant plus fortement sur le "bonne" de bonne idée. Je le regarda, il me regarda, nous étions plantés dans les yeux, l'un de l'autre, c'était inévitable, je ne pouvais m'empêcher de le regarder. Je pense qu'il avait aussi du mal à se détacher de mon regard, cet instant que je décris n'a duré que quelques secondes, mais il aurait pu duré une éternité.

"Rejoins moi en bas dans 20 minutes" Il partit quand je me souvins,

"Mais on est pas censés allez au lycée ?" en criai pour être sur qu'il m'entendent.

"Depuis quand est-ce-que tu suis les règles ?" Me cria-t-il des escaliers.

Alors là, je dois dire qu'il avait toucher une corde sensible, lorsque l'on me rappelle que je suis une populaire aussi belle que rebelle, je peux vous dire que plus motivée, ça n'existe pas. Ni une, ni deux je me leva et enfila une tenue. Un short en jean délavé en déchirer, qui laissé apparaitre une partit de mes fesses et un body kaki, je mis une paire de basket parce que avec Taylor, on ne sait jamais. Je me maquilla et attrapa une veste au passage.

"Prete à l'heure, on progresses !"

"Où on va ?" demandais-je impatiemment.

" Tu vas voir"

Taylor me tira hors de la maison, je me dirigea machinalement vers la voiture, quand ce dernier, me regarda d'un oeil surpris.

"Je peux savoir ce que tu fait Princesse Rebelle ?" Avec un air moqueur.

"Bein ca ce vois non, allez ouvre c'est pas drôle." Dis-je.

"Tu crois vraiment que nous allons prendre la voiture ? Non tu vas marcher et découvrir ce magnifique monde qui est le Texas. Nous ne gâcherons pas ce moment enfermer dans une voiture tout en étant assourdi par le bruit du moteur. La seule chose que tu entendra ce sera tes pas."

Je le regarda avec mépris et je commença à le rejoindre avec les bras croisés sur ma poitrine. Il engagea la discussion en me posant des questions sur moi, ma famille, ma maison, ma vie. Evidemment, maintenant vous commencez à me connaitre, je n'ai pas pu m'empêcher de l'envoyer sur les roses à plusieurs reprises.

Après environ, deux heures de marche, oui vous avez bien entendu, deux heures, nous arrivons à proximité d'un rocher, sur lequel nous faisons une pause. En temps normal, je n'aurais jamais marcher autant de temps, appart si la récompense était une pair de Louboutin. Ici, tout semblaient différent, et cela semblait me changer aussi.

"Qu'est ce que ton dessin est devenu" me demanda Taylor en regardant le paysage.

"Tu n'as toujours pas décrocher ? Qu'es-ce-qui t'obsède à la fin, si tu l'aime tant, il aurai fallu me le dire, je te l'aurai donner, tu en aurait fait des photocopies pour les placarder dans tout le lycée et pourquoi pas dans toute la ville." M'énervai-je.

"Tu t'es dessiner" Me dit-il sans décrocher un mot plus haut que l'autre.

"Pardon?" demandais-je.

"Liv, tu t'exprime en dessinant, tu parle sans même le vouloir, le coup avec Blame, par exemple." Dit-il plein d'assurance.

"Je suis pas sur de comprendre là ?" Complètement décrocher de la situation.

"Tu est une personne divisée en deux, avec une partie qui visiblement va bien, tu es pleine de joie, pleine d'envie. Mais de l'autre, c'est tout le contraire, tu as l'air vide, dégarnie, tu es triste, si je puisse dire. Les gens regarde uniquement d'un coté et ne regarde pas de l'autre, c'est ça qui te rend triste. Donc pour compenser tu essaie de leur procurer un immense spectacle en donnant le meilleur de toi même sur ce qui est visible de leur point de vue. Mais tu te rend pas compte qu'a force de vouloir embellir un coté, tu es en train de ternir l'autre."

Je ne savais pas quoi répondre, comment faisait-il pour voir tout cela à travers un dessin. Il trouvait un sens à chacun de mes faits et gestes, et, le pire dans tous ça, c'est que il avait raison. Sur absolument toute la ligne. Je ne me posais pas souvent de question, j'étais plutôt quelqu'un qui fonçais tête baisser. Les gens aimais ce que je faisait, alors bêtement je continué aveuglement.

"Je...mmh comment t'arrive à lire tout ça dans un dessin ?" Lui demandai-je avec un air choquée et perdue à la fois.

"Je ne sais pas, tu t'exprime pas avec des mots, tu essaie de le cacher, mais tu reste humaine. Un humain à besoin d'extérioriser un moment ou un autre, toi tu as choisis le dessin et parfois même en répondant à des question toute simple, comme je fais avec Blame." Dit-il toujours en fixant le paysage.

Je ne savais que lui répondre, ce mec était un beau goss mais en plus intelligent ! Super intelligent, le mec lit un dessin quoi ! En Californie tu trouves que des Beau goss, oui, mais que des cons. Lui il était authentique, cela lui donnait un charme unique.


Et voilà le chapitre 14, j'espère qu'il vous plaira ! Demain j'essaie de poster un nouveau chapitre ! N'oubliez pas, votez et laissez un petit commentaire ça fait plaisir ! Je vous aimes !

Olivia, 17 ans, de la Californie au TexasWhere stories live. Discover now