Chapitre 35 : Il vivait, vie et vivra pour lui

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Le ciel de la Californie avait changer. Les gouttes de pluie se faisaient de plus en plus nombreuses. Nous avions regagner un petit abris dans le cimetière. Oui c'étais un peu glauque, mais c'était le mieux que nous avions trouver et surtout le plus prêt. Je regardais les centaines de tombes, là où reposais des personnes. La où des familles venaient se recueillir le jour comme la nuit. La pluie arrosait les fleurs des tombes, elle nettoyais également la pierre de ces dernière. 

Taylor me regardais alors que je lorgnais l'horizon avec des yeux humide et des larmes encore coulante qui dessinaient une route le long de mes joues rosées. Je venais de revenir 2 ans en arrière et cela faisait mal. 

Taylor me surpris en venant me prendre dans ses bras. Pour être honnête avec vous, je lui en voulais toujours, mais qui refuserait un câlin lors d'une visite d'un défunt proche. 

"Je suis là pour toi" me chuchote t-il dans l'oreille.

La manière dont il avait appris pour la mort de ma cousine était pas l'une des plus simples, mais il avais évoquer ce souvenir tragique en moi comme si de rien n'étais et je voulais lui faire payer ce qu'il avait fait. Alors oui, peut-être qu'il ne savait pas qu'elle était décéder, mais ce n'est pas une raison valable.

"Tu comprend pas ce que ça fait Taylor. J'ai humiliée ma cousine, et le pire c'est que je me sentais puissante en le faisant. Le jour où ma tante à retroué sa fille pendue au bout d'une corde, ma maman était au téléphone avec elle. Quand nous sommes arrivées sur place, un brancard recouvert d'une plastique noir où se trouvais en dessous ma cousine sortait de la maison. Peu de temps après ma tante n'a plus voulu m'adresser la parole, mais elle continuais de parler avec sa meilleur amie, c'est-à dire ma mère. Après un an, où ma tante fut tomber dans une dépression profonde, son psychologue lui conseilla de couper les ponts avec ce qui lui rappeler la mort de sa fille. Chose qu'elle n'a pas perdue de temps à faire car à l'heure actuelle ma tante et ma mère ne se parle plus" Dis-je en essuyant les quelques larmes restantes sur mon visage.

"Evidement que je ne peux pas savoir ce que ça fait, et je ne demande pas à le savoir mais je veux que tu sache que meme si j'ai été bête, je veux être là pour toi maintenant." Me dit-il.

Nous marchions sous le ciel gris afin de regagner l'hotel que l'ont avaient réservés plus tot dans la journée. Je dois dire que dire ce que j'avais sur le coeur m'a fait énormément de bien et que c'était très important pour moi.

Le hall de l'hotel était grand, la chaleur de ce dernier nous réchauffa. A midi, nous avions manger dans un petit restaurant italien qui faisait le coin de la rue.

"Bonjour, nous avons réserver une chambre double pour une nuit." Dit Taylor pendant que je m'attardais sur les détail de la décoration l'hotel.

L'hôtesse pianota sur son clavier afin de retrouver notre reservation mais après plusieurs manipulation celle ci vint nous dire, 

"Monsieur, nous sommes désolés que notre ordinateur ai rencontrer un problème, il y'a bien écrit que vous ayez réserver mais une chambre avec un lit deux places et non deux lits séparés. Notre devise est de toujours croire les dires du clients. Nous n'avons plus de chambre disponible selon vos critères. Je pense donc que nous avons eu un bug informatique. Je pourrais vous proposez la chambre 309 avec lit double ou bien la 289 et 290 chambre avec un lit simple." Dit la jeune femme de l'accueil. Elle avait l'air impeccablement tiré à quattre épingle. 

"A combien s'élève le prix si nous prenons deux chambres séparées ?" Demandais-je.

"Eh bien à 145 euros contre 85 si vous prenez la chambre 309 " DIt-elle sur le même ton que depuis le début.

Olivia, 17 ans, de la Californie au TexasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant