Chapitre 40 : Taylor

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Tandis que le soleil balayait de ses somptueux rayons, le champ avoisinant la maison. Des centaines de pas qui résonnaient me réveilla. Je jette un œil rapide au réveil près de mon lit. Ce dernier indiquait l'heure matinale de 7 h 54. Je commence à doucement refermer les yeux quand je me souvins.

"Oh non" dis-Je simplement avant que Martha viennent taper à ma porte de manière pas très sympathique.

"Debout chérie ! Il faut que tu prépare tout et que tu dise au revoir à tout le monde"
Je sentait sa voix se nouer à ses derniers mots, j'avais oublier que je devais déjà partir.

Il y avais tant de choses que j'aurai aimer faire... et des choses auxquels je m'étais engager. Comme par exemple le fait de dresser Deam. J'aurais aimer être fixer sur le point Taylor.

Je m'habille une dernière fois dans la salle de bain de la maison. Je retrourne à ma chambre quand je fut surprise de voir Taylor sur mon lit assis.

"Qu'est ce que tu fais la ?" Demandais-je surprise.

"Pour être honnête j'ai appris par Jenna que tu partait dans moins d'une heure... je dois le prendre comment ? Tu serais sûrement partis sans me dire au revoir" Dit-im déçus.

" Écoute, Taylor, je l'ai appris hier, je ne savais pas comment te le dire, j'ai su le dire à Jenna parce que je savais que il n'y avais rien en jeux tandis que je ne savais pas comment te le dire parce que toi, c'est différent, je ... je savais pas comment te le dire, j'ai pas forcément envie d'abandonner ce que j'ai construit ici, ni les relations que j'ai avec vous tous.. » dis-je en sentant une larme qui se fraye un chemins sur ma joue.

Taylor se releva et vint vers moi, il passa ses mains autour de mes hanche et colla son front au miens.

« Pleure pas Princesse » dit il en faisant allusion à la première fois que je l'avais renconcontré.

J'esquissa un léger rire et un sourire tout en essuyant les larmes qui coulaient.

« Tu sais des comme toi on en a pas vu depuis un bon moment ! Mais tu t'es corriger et au final t'es une fille incroyable qui laisse pas paraître ses émotions qui préfère tout refoule et enfouir au plus profond mais un moment donne il faut extérioriser et tu l'a fait ici, au Texas. Je t'oublierais pas mais si le destin veut que tu parte maitenant c'est qu'entre nous cela se devait d'être seulement de l'amitié. Malgré le fait que j'aurai aimer avoir plus avec toi. »

A ses mots je ne trouva pas d'autre réponses que de l'embrasser durant de longues secondes. Des secondes qui semblais être merveilleuse mais au final n'allais -Je pas regretter ?

« C'était donc un baiser d'adieu ? » demanda Taylor en face de moi.
« Non un baiser de à bientôt » rectifiais-Je.

Taylor partis et je terminais les dernière petites choses à récupérer de ma chambre. Lorsque se fût le moment de la quitter, je la regarda pour la dernière fois. Je referma la porte en reniflant légèrement.

Je descendis accompagné de mes multiples sacs à mains, qui à l'heure actuel ne signifiais plus rien pour moi ou du moins il ne reflétait pas exactement la personne qui j'étais réellement !

Lorsque je leva le regard en bas des escaliers tous les monde étais là à m'attendre.

Il me serra chaqun une fois dans leur bras. Ils semblaient tous émues. Et moi qui pensait que lorsque j'allais partir cela leur ferais le plus grand bien. Les deux hommes en costumes étaient également présent mais il n'étais pas dans le meme états d'esprit que la famille de Bob et Martha. Ils étaient seulement là pour faire le travail pour lequel mes parents les avaient payés.

Lorsque les au revoir furent finit, je me dirigea, avec mes escarpins, vers l'écurie sur ou demeurait Deam.

Tandis que mes talons se firent entendre se qui me value l'attention de tous les cheveux exemptée celle de Deam qui comme d'habitude ne se laissait distraire par rien du tout. Elle étaient un peu comme moi au début, insensible. Peut être qu'elle trouvera un dresseur capable de lui faire comprendre que se sentir aimer et protéger fait du bien. Je décida d'entrer dans son box.

Les oreilles en arrière signifiais que elle n'était pas d'accord mais en me voyant elle redressa ses oreilles lentement en venant renifler ma main.

Je lui tandis une carotte et je lui caressa le chanfrein ce qu'elle aimait beaucoup.

« A bientôt ma belle, je te promet de revenir et que l'on se reverra très prochainement, j'ai pas eu l'occasion de tenir ma promesse, je voulais avancer avec toi, mais j'espère que quelqu'un de bien arrivera prochainement dans ta vie. »

La porte de l'écurie s'ouvrît et ce sont des pas réguliers qui avançaient.

« Je te laisse ma belle, y'a les men in black qui rapplique » lui dis -je.

Je referma la porte et je suivi dans faire d'histoire les deux hommes. Je savais ce qu'ils allaient me dire alors j'ai préférer partir de moi même.

Je me dirige vers la berline noir ou les hommes m'ouvrit la porte. Mes bagage dans le coffre, les graviers de l'allée qui conduisait à la maison crispèrent une dernière fois sous les pneus de la voiture.

Les nuages se reflète dans les vitres de la voiture. C'était long et triste. Je me remémore tous les moments passé avec cette famille qui as été ma famille pendant plus de 2 mois. Tous les voyages en voitures que j'ai pu faire avec chaqun d'autre eux..

« Nous arrivons à l'aéroport Mademoiselle » dis le conducteur dans son air toujours aimable et stricte.

La voiture s'arrêta l'une des hommes m'oivrit la porte tandis que l'autre s'occupait de décharger mes bagages dans le coffre.

« Votre vol est le 3790, vous êtes en première classe, pas d'escale. » dit l'un des hommes. Je me dirige doucement vers le hall.

« Bonjour » dis- je en tendant mon billet afin que l'hôtesse me dirige vers mon avion.

« Votre avion est prêt à décoller, veuillez me suivre. » dit-elle en quittant son bureau.

Je suivi l'hôtesse quand soudain,

« Olivia... »

Une voix familière m'appelle derrière je me retourne machinalement et la c'est une surprise.

« Je pouvais pas partir, pas sans te dire que je t'aime, oui je t'aime, je sais pas pourquoi je te l'ai pas montrer avant et qu'il a fallu que tu reparte pour te le dire mais j'ai jamais rien ressenti de tel... »

Je couru vers Taylor pour l'embrasser.

« Tais-toi et embrasse moi » dis-je avant que nos deux bouche commence un long et fougueux baiser d'adieu.

« Je reviendrais. Je te le promet. » dis-je.

Je repris ma valise et je me dirigea vers l'embarquement. C'est en passant mon pied dans l'avion que je décida de repartir plus forte que jamais et surtout de ne jamais oublier cette expérience et Taylor.

Olivia, 17 ans, de la Californie au TexasWhere stories live. Discover now