L'ESCLAVE DU CHEIKH.

Chapitre 28: Tu es trop sérieux Kaleb...

Coucou les gars...❤❤❤
Vraiment désolé pour la première publication mais Wattpad fait les caprices. Voici la version corrigée.

La voiture franchit les grilles du palais, et s'engagea dans la grande allée principale, qui pour une fois depuis des années, était inondée de monde, tous des soldats. Pour mener à bien l'offensive contre les rebelles qui sévissaient toujours au nord du royaume, imposant un règne de terreur, Kaleb avait fait appel au corps d'élite. Lors du conseil de guerre qu'il avait présidé il avait veillé à ce que seuls les hommes les plus entrainés face parties de cette mission.

Ce corps d'homme en tenues étaient surnommés les mercenaires d'Idlib...

Kaleb sortit de la voiture, passa en revue les groupes suivit de près par son oncle...

Une fois qu'il eut adressé le salut militaire à tous ses hommes, qui s'étaient d'ailleurs rangés sur le côté en une ligne d'une perfection irréprochable. Il gagna le hall d'entrée, et pu se permettre loin des oreilles indiscrètes, de réfléchir de réfléchir sur ce sujet qui lui taraudait inlassablement le cerveau depuis son départ de l'hôpital.

La demande de mariage de cet espion britannique... qui était parvenu à mettre son oncle et peut être d'ailleurs sa sœur-chose étrange- dans sa poche.
Mais le coup de l'amoureux transit, tomber en adoration dès le premier regard, à lui, on ne le lui faisait pas !

Il connaissait ce qui attirait tant ce microbe d'anglais chez sa sœur... Ce n'était pas les douces saveurs de l'amour comme il le prétendait, oh ça non alors, c'était la jouissance que procure la vengeance.

Pour une raison qui l'échappait encore il l'accusait de l'assassinat de sa sœur... Pourtant Kaleb n'avait jamais eu affaire à elle. C'était une journaliste fougueuse et plein d'entrain qui avait tenté à mainte fois de l'interviewer mais qu'il avait toujours débouté...

Et pour cause il avait en aversion les hommes et femmes de média, surtout ceux travaillant pour les média étrangers... Ces derniers étaient de vrai charognard, qui instrumentalisait et déformait trop souvent la vérité pour déstabiliser des régimes politiques qui ne se soumettait au Diktat occidental.

Il soupira d'agacement, et se passa les deux mains dans les cheveux, en signe de fatigue... Ces derniers jours il n'avait pas suffisamment dormi... Trop de choses nécessitaient son attention.

La situation de Sadia, qui se posait en déesse de la vengeance, vraiment rien que ça, fit-il avec sarcasme ! Pourtant il était plus que jamais conscient de la menace qu'elle représentait désormais. En outre il y'avait la crise économico-sécuritaire qui frappait son pays.

Car la guerre, fut elle d'ampleur moyenne à toujours un coup économique énorme...

Et comme si ça ne suffisait pas, il fallait que ce docteur machin truc, vienne mettre son grain de sel, mais lui vivant, ce mariage n'aurait jamais lieu... D'ailleurs rien n'était encore joué, Sanae n'ayant pas encore accepté cette mascarade, tout était possible...

Un petit sourire satisfait éclaira son visage, tandis qu'il passait lentement la main sur sa barbe, songeur...

-Il y'a de l'amour dans l'air... te serais tu finalement laisser prendre au filet d'Aphrodite ? Questionna son oncle en actionnant les boutons de l'ascenseur, tout en lui jetant un clin d'œil par-dessus l'épaule.

-Moi, amoureux ? N'importe quoi ! je n'ai même pas de femme dans ma vie...

Son oncle se pinça l'arrête du nez, pour s'empêcher de rire, tellement ce mensonge était aussi gros que la Burj Khalifa.