L'ESCLAVE DU CHEIKH.

Chapitre 32: Nie le autant que tu le veux...

Coucou les gars vraiment désolée... ce n'est pas moi le problème mais mon 💻... je pries de tout cœur ❣ pour résoudre ce pb rapidement... car ça me fend le 💔...

Vous n'imaginez même pas à quel point...

Sinon cmt allez vous ?

En passant la collecte des fonds pour les réfugiés c'est très bien passée grâce à Dieu...
merci 🙏 a celle qui m'ont encouragé. Zou😘

Sadia avait l'impression que son corps refusait d'obéir à son esprit qui lui ordonnait de bouger, son esprit était perdu dans une sorte de torpeur... Soudain son regard se voila, elle vit trouble, ses pieds se mirent à chanceler...

Une envie soudain de vomir, lui vrilla les entrailles... Kaleb avait le regard posé vers l'horizon, mais ses traits tirés trahissaient la tension qui l'habitait, il semblait être à l'affut du moindre danger...

Prêt à réduire en poussière quiconque oserait s'en prendre à elle.

Tirant sur le tee-shirt d'un noir aussi profond que l'était l'humeur du roi, elle captura son attention...

-As-tu prix tes vitamines ? S'enquit-il, les sourcils froncés en remarquant la blancheur de ses yeux.

Sadia se mordit nerveusement la lèvre, hésitante à lui dire la vérité...

-Je...En fait... Je crois que je devrais monter.
Fit-elle précipitamment en fuyant le regard incisif du roi.

Elle avait souvent la désagréable impression qu'il pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert. En outre le connaissant, il allait encore se mettre en colère si elle lui avouait avoir oublié.

-Sadia ! Gronda-t-il sans trop élevé la voix, alors que ses hommes attendaient toujours ses instructions...

Les femmes, en majorité des servantes retournaient en petit groupe, continué à vaquer à leur occupation.

-J'ai oublié de les prendre, admit-elle, de mauvaises grâce, en évitant soigneusement de croisé son regard.

Kaleb  passa une main rageuse sur ses cheveux, avant de la soulever de terre.

-Vraiment, tu es impossible.  Grommela-t-il sombrement en l'emportant avec lui. Tandis que ses hommes s'amusaient  discrètement de la scène. Car il fallait être un insensé, pour oser se rire du roi.

-Lâchez -moi, bon sang... s'énerva Sadia en gesticulant dans tous les sens.

Ce qui n'eut pour seul conséquence, que l'homme resserre davantage son étau autour de son corps.

-Voulez vous vraiment que je vous lâche ? Fit-il d'une voix sombre... Alors qu'ils étaient déjà à l'entrée de l'ascenseur.

Sadia ouvrit la bouche pour mieux la refermé, en frémissant légèrement devant ses traits ciselés de colère.

-Bon sang, vous et vos sautes d'humeurs alors, j'en ai plus qu'assez !

-Et moi donc, je ne souffrais de ces sautes d'humeurs avant de vous connaitre, articula-t-il toujours fermé.

Bon sang il était en colère parce qu'elle n'avait pas prit ses médicaments, sérieusement ?

C'était le monde à l'envers, que lui importait au fond si elle meurt, songea Sadia, en nouant ses bras autours de son cou, lorsque l'ascenseur se mit à monter.

-Buvez ! ordonna-t-il, impérieusement, en lui tendant un verre d'eau et ses cachets...

Sadia ne se fit pas prier pour les prendre, tant il semblait intimidant, dressé comme il l'était devant elle. Ses yeux s'éclairèrent légèrement de satisfaction, lorsqu'il vit qu'elle les avait tous pris.