Chapitre 48

434 19 3
                                    

                                            Si bien du mal - Hervé

Pdv Lola

Je quitte ma voiture en prenant deux sacs de course que je te montre à l'appartement. Je les met dans l'entrée et redescend. Je procède de la manière deux autres fois. La troisième fois que je me retrouve en bas. Je récupère le courrier et le monte à l'appartement. 

Une fois arrivé encore une fois à mon étage, je rentre chez moi. Je me dirige vers la cuisine avec les sacs de course et commence à les ranger.

- Jean, j'étais faire des courses mais y avait plus nutégras.

Je laisse un blanc pendant lequel je continue mon rangement.

- Tu m'en veux pas.

Je fini de ranger les courses puis je replis les sacs de course.

- Jean, tu es où ? Jean, je m'inquiète.

Je me dirige vers la chambre mais il n'y est pas. Je prend ensuite la direction du salon et le trouve assis sur le canapé et complètement perdu dans ses pensées. Je m'assois alors à côté de lui et le prend dans mes bras.

- Jean, dis-moi ce que ce passe, je suis vraiment inquiète là.

Je sens qu'à l'entente de mes mots il se décale un peu de moi.

- Tu me demande vraiment ce qu'il ne va pas. Toi. Il faut vraiment que tu artères de faire semblant.

Je réfléchis à ce qui pourrait ne pas bien allé mais ne trouve pas.

- Mon amour, j'ai réfléchi mais je trouve pas.

Je vois les traits de sont visage qui exprime sa colère s'accentuer d'avantage. Il se lève et commence à me crier dessus.

- Tu ne trouve pas. Ah, oui, c'est sur que j'ai été super content d'apprendre que tu me laissait une dernière chance et que si je ne la saisissait pas tu me quittais.

Je ne comprends pas comment il a fait pour savoir ça. Je ne l'ai qu'à Lola. A moins qu'il est fouillé dans mon téléphone.

- Comment tu as fait pour savoir ça ? Tu as fouillé dans mon téléphone ?

- Parce qu'en plus tu reconnais que tu l'as fait. Tu vas voir moi je te passé l'envie de le désobéir.

Il commence à me frappé. Je sens alors les larmes couler le long de mes joues. Naïvement, je pensais qu'il pouvait changer mais non il ne changera pas. Il ne changera jamais. Il continue de me donner des coups de poing un peu partout. Puis il prend me jette par terre et commence à me donner des coups de pieds.

- Arrête Jean. Arrête.

Mais malgré mes duplication, il continue à me frapper encore et encore. Puis il me prend me porte et m'emmène dans la chambre.- Voilà, ce qu'on fait aux femmes qui ne sont pas fidèle à leur mari.

Il prend les menottes et m'attache une main au barreau du lit et fait de même avec la deuxième. Je ne me débat car si je le fait il me le fera payer. Il commence alors à me violée une fois. Puis une deuxième. Puis une troisième...  A un moment donné je ne compte même plus de combien de fois il me viol. Il me détache et m'ordonne de changer les draps. Je me lève tant bien que mal et commence à m'atteler à cette tâche. Il part dans la cuisine et reviens avec une bière et me regarde changer les draps en sirotant sa bière. Une fois les draps changé, il vient me maintenir contre le mur. Il met fait mal à me maintenir comme ça.

- J'espère que maintenant que tu as vu ce que tu aurais si tu désobéissait, tu accompliras le rôle d'une femme. C'est-à-dire veiller sur son mari.

Il me lâche et pars regarder sa rediffusion de football.


°°°°°°

Petit chapitre surprise car j'ai plein de chapitre d'avance.

Je ne sais mais ce début de semaine j'ai fait du tris et fusionner quelques chapitre. 

Je peux aussi vous annoncer que normalement il me reste une vingtaine de chapitre avant la fin de l'histoire. Je vous redirais avec pressions plus tard.

Ce chapitre n'a pas été facile à écrire mais il marque un tournant dans l'histoire.

Que pensez de ce chapitre ?

A votre avis, il va se passer quoi après ?

La voisineWhere stories live. Discover now