La voisine

Chapitre 50

                                          Né pour mourir - EUPHONIK

Pdv Lola

Après le coups de fils de la marraine de Ginette, je prépare mon prochain sujet d'évaluation pour les cinquième. Lorsque je suis interrompus par des bruits de détresse de la voisine du dessous. Je me laisse alors allez à toutes la tristesse que je ressens depuis quelques temps. Je craque. Je pleure. Je laisse ma tristesse me prendre le contrôle de mes pensées.

Puis, Marion pousse à nouveau un cris de détresse. Je prend alors conscience que c'est elle qui devrait pleurer et non moi. Moi qui suis sensé être fortes pour deux. Je me calme. L'espace d'un instant mes larmes arrêtent de couler le long de mes joues.

Et il reprenne de plus belle à l'entente d'autre cris de détresse. Mes larmes roulent de plus belle le long de mes joues suivant l'augmentation de ma peine. J'ai envie de hurler mon désespoir. Mais aucun son ne sort de ma bouche. J'entends alors mon téléphone vibré. Je ne prend même pas la peine d'y jeter un seul coup d'œil. Le fait que mon portable vibre me rappelle la conversation téléphonique que nous avons eu avec Marion qui me promettait que si son mari lui faisait à nouveau du mal. Elle le quitterait. Mon chagrin ne fait qu'augmenter quand je me rends compte qu'elle n'a pas tenus son engagement. La situation que je craignais vient de ce produire. Marion ne quittera jamais son mari.

Je ne sais pas combien de temps, je reste à pleurer par terre dans mon salon à deux mètres de mon canapé. Mais je sais que lorsque je me lève, j'entends de nouveau des cris de détresse provenant de l'étage inférieur. Je perds à nouveau le contrôle de mes émotions, de ma conscience, de moi-même. Je ne sais comment je fait mais je finis par m'endormir dans mes larmes par terre.

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Que pensez-vous de la réaction de Lola ?

Auriez-vous eu la même ?

Ce chapitre est vraiment très court, mais pensez-vous que j'ai besoin de la développer plus ?