Chapitre 37

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                                          Où va le monde - LA FEMME

Pdv Lola

Je me lève et vais prendre mon petit-déjeuner puis je vais faire un tour sous la douche. Enfin je commence à travailler avant d'être interrompue par la sonnette de mon appartement. Je vais ouvrir la porte de mon appartement. Madame Bérangère se trouve devant.

- Bonjour Madame.

- Bonjour Lola. Comment vas-tu en ce moment ?

- Ca va moyennement. Je sais plus si je vous l'ai dis mais il y a cinq, six jours j'était tellement mal que mon frère est venue quelques jours à la maison. Il est reparti hier.

- Sa va mieux ?

- Pas vraiment.

- Venez, nous serons plus allaise pour en parler dans mon appartement.

Je vais prendre mes clés. Je ferme mon appartement et rentre dans celui de ma voisine de palier.

- Je claque la porte ou pas ?

- Claque la porte et vient dans le salon.

Je claque alors la porte et me dirige vers la salon comme elle me l'a demandé. Je m'assoie sur le canapé. Elle est déjà assise sur le canapé en face de moi.

- Si, je t'ai fait venir aujourd'hui, c'est pour que je t'apprenne a faire des biscuit si ça te convient ?

- Bien sur, on s'y met ?

- Allez, c'est parti.

Elle se lève et se dirige vers la cuisine. Je me lève à mon tour et la rejoins.

- Commence par te laver les mains pendant ce temps, je vais commencer à sortir les ingrédients.

J'exécute ses ordres. Pendant ce temps, elle exécute l'ordre qu'elle s'est auto-donner. Une fois, c'est deux actions réalisé, elle se lave les mains en sortant la recette. Comme je trouve très généreux de sa part de me donner une leçon de cuisine, je décide de lancer la conversation même si le seul sujet que je connais va ma paraitre soporifique.

- Je me demandais votre fils, il prend pas trop mal le faites d'être confinés ?

- Dans l'absolue, il le prend plutôt bien mais disons qu'il craint pour son commerce. Il commencé à faire plein de démarche pour avoir de l'argent de quasiment toutes les aides possibles de l'Etat mais pour l'instant ça ne sert à rien. Il n'a pas toucher un seul centime.

- Il est propriétaire du local ou il est locataire ?

- Malheureusement pour lui actuellement, il est seulement locataire donc en plus des salaires et des impôts, il doit payer le loyer. alors j'espère pour lui et pour tout les commerçants de France tenant des commerce qui ne sont pas considéré comme des produit de première nécessité qu'ils vont pouvoir rapidement ouvrir, le plus rapidement possible.

Elle relis rapidement la recette.

- Prend le saladier et met dedans 125 gramme de farine.

- Où sont ranger les saladiers ?

- Dans le tiroir a droite du four.

Pendant ce temps, elle va cherché la balance. Je cherche alors le saladier dans le tiroir a droite du four.

- Je ne la trouve pas.

Elle se dirige vers le placard.

- C'est bizarre pourtant je suis sur de l'avoir ranger hier.

- Ah si, il est là.

- Dedans tu met 125 gramme de farine.

- OK.

J'exécute à nouveau son ordre.

- Met trois œufs dedans.

- Avec le blanc et le jaune ou seulement un des deux ?

- La totalité de l'œuf sans la coquille.

Je casse mon premier œuf.

- Je me demandais vous vous allez bien ou le confinement c'est catastrophique pour vous que pour votre fils ?

Je casse le deuxième.

- Disons que je me fait du soucis pour les autres plus que pour moi donc pour ce confinement j'essaye de soutenir mon fils en l'aidant à entretenir la salon et en l'aidant un petit peu financièrement car le connaissant je sais qu'il va verser les salaires à ses employées mais à lui.

Je casse le troisième.

- Et sinon vous faisiez quoi avant que vous ne pouvez plus faire maintenant ?

Je vais me laver les mains.

- Le lundi, j'avais rendez-vous avec le club des retraités pour organiser les activités mensuel et semestriel. Le mardi matin, j'avais rendez-vous au salon de coiffure et l'après-midi je jouais à la belotte. Le mercredi, j'avais rendez-vous dans l'après-midi à l'association de l'aide au travail scolaire pour aider les élèves en difficultés. Moi je m'occupe principalement de l'anglais et e la physique. Le jeudi, c'était jours de marché au club des retraités tout le monde y allait et on se retrouvait à la fin du marché chez les ou chez les autres à manger des petits trucs qu'on avait achetés. Le vendredi, avec le club des retraités ont sortait prendre en organisant une course d'orientation de temps en temps des classes venait la faire avec nous. Puis, le week-end, je me reposais en faisait mes courses.

Je m'essuies les mains.

On continue a cuisiné comme ça tranquillement pendant plus d'une demi-heure avant de mettre les biscuits à cuire. 


°°°°°°

Je sais que ce chapitre n'est pas d'une utilité diabolique pour la suite de l'histoire mais il permet de voir le lien entre Lola et madame Bérangère se construire progressivement.

Il permet aussi d'en savoir plus sur madame Bérangère.

Qu'en avez-vous pensez ?

La voisineWo Geschichten leben. Entdecke jetzt