The Coronation... [Dabi x Fem!Oc]

Chapitre 17 : Da-tgum...

Titre alternatif : "The Red Fatgum..."

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Shenzi, dans le salon.
Humeur : Interro surprise type beat.
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Hawks fixe Big Mama et ses gardes du corps, assis dans mon canapé pendant que je leur amène de quoi boire et grignoter.

— Qu'est-ce qui vous amène ici, Boss ? Sourit-il sans stress.

— Quelque chose d'assez important concernant votre contrat avec Albert.

Elle goûte le bissap* que je lui ai fait et se met à sourire. Elle pose son verre sur la table et prend un air bien plus sérieux :

— Comme vous le savez, nous avons beaucoup d'ennemis, dans tous les domaines qu'on exerce. Que ce soit des saboteurs, des traitres ou des espions ennemis dans nos rangs.

— En effet. Vous voulez qu'on les localise ?

— Non, c'est déjà fait. Ce qu'on veut, c'est les détruire à la base : leur employeur.

L'un des gardes du corps sort une boite à cigarettes avec les initiales "TRF" gravées dans le métal. Je hausse un sourcil pendant que Hawks l'analyse de loin.

— Ces initiales sont notre ennemi. C'est ce groupe qui nous commence à nous pourrir. Et je veux que vous détruisiez toute leur direction.

— Qu'est-ce que ces initiales signifient ?

— "The Red Fatgum".

Dabi descend à ce moment-là, tenant la cigarette électronique dans la main. La Doña ainsi que les gardes le fixent, prêts à le réduire en bouillie. Le brun hausse un sourcil.

Tu parles d'un timing de merde.

— Vous voulez ? Introduit Dabi.

— Tu la sors d'où cette cigarette ?

— Je l'ai volé à des organisateurs de soirée bancals.

— Montre-nous.

— Pourquoi ?

— Dabi..., soupiré-je.

Le vilain me fixe, je lui fais signe de coopérer. Il lève les yeux et lance la cigarette à un des gardes, qui l'attrape et la tend à la dirigeante de troupe en face de nous. Elle a l'air en pleine réflexion, son foulard en wax contrastant avec son métier de baronne de la drogue, de la prostitution, de l'armement et autres domaines illégaux. Elle fait signe à Dabi de s'asseoir et commence à lui poser des questions :

— Ce vol a un lien avec l'incendie d'hier ?

— Oui. Ils avaient organisés cette soirée.

— Pourquoi tu l'as pris ?

— Comme ça. Pour voir.

— T'as fumé avec ?

— Oui. Shenzi aussi d'ailleurs.

Mais vas-y embarque-moi dans tes conneries ! Je dirai rien !

Je le toise du coin de l'oeil pendant qu'il tape dans mon verre, son bras sur le dossier du canapé.

— Je vois... Vous n'avez rien senti s'apparentant à de la drogue dedans ?

— Ça n'a pas interféré avec mes cachets en tout cas, précisé-je.

— Étrange. Dernière question avant que je vous donne la mission à tous..., prépare-t-elle en finissant son verre de bissap.