The Coronation... [Dabi x Fem!Oc]

Chapitre 25 : Dab-ourreau...

Titre alternatif : "Torture cachée..."

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Dabi, dans la salle des archives.
Humeur : JURE C'EST VRAI ?
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Je tourne la tête vers Shenzi en train d'agoniser sur la table pendant que le film se termine. Elle tremble, ses deux serpents lui servant de coussins et couvertures. Ils ont l'air inquiets et font tout pour la protéger de tout ce qui pourrait la blesser.

C'est mignon.

J'entends un geignement douloureux du côté de la danseuse. Je la regarde du coin de l'œil. Elle se redresse difficilement en tremblant. Elle se frotte les bras et souffle sur ses mains. Weiss se met à me fixer et avancer vers moi. Elle s'enroule autour de mon bras et me tire vers sa maîtresse, qui a clairement froid.

Elle a besoin de chaleur...

Je soupire et me lève. Je prends Shenzi contre moi pendant qu'elle s'accroche comme on s'accroche à la vie.

Il faut que je teste sa réactivité... Si elle répond bien, elle va mieux qu'avant.

— Eh gros, réveille-toi, lancé-je.

— Ici c'est les cités de France narvalo...

Elle souffle du nez en se blottissant contre moi.

Elle va un peu mieux.

— En vie ?

— À peine. Mais...merci de ton aide, Dabi.

Je hausse les épaules en la portant. Je m'assois et l'allonge contre moi. Sa tête tombe sur mes cuisses.

— T'es trop bonne pour mourir.

— C'était presque gentil...

— Mot clé : « presque. »

Je souris en coin et la regarde prendre la feuille où j'ai tout écrit. Malgré ses sueurs froides et ses tremblements, elle garde un léger sourire sur ses lèvres maquillées.

Est-ce un sourire nerveux où elle est vraiment heureuse...?

Je me mets à lui caresser la joue sans raison. Elle sursaute et lève les yeux vers moi avant de tendre sa main vers moi et toucher mon visage.

Elle use d'une douceur qui me surprend toujours autant.

Elle analyse mes blessures et mes différents piercings avant de prendre ma main sur son visage et s'appuyer contre celle-ci. Elle se repose en fermant les yeux.

— T'es chaud... C'est agréable, se réjouit-Elle calmement. T'es confortable en plus...

J'ouvre son corset sans rien dire de plus, son compliment me flattant. Elle finit par se redresser et s'assoir entre mes jambes, ses lèvres contre mon cou. Shenzi se mord l'intérieur de la joue, attristée par la situation.

— Gina a subi le courroux des mariages arrangés de l'aristocratie mondiale quand même... La pauvre, compatit-elle. Mais la chanson de Maria... C'était parfait.

— Donc tu vas l'attaquer avec cette chanson ? Demandé-je en sortant une cigarette.

— Je ? On va l'attaquer ! Tu vas m'aider à provoquer la folle. Le bal est dans deux jours, on a tout le temps de préparer un méchant plan contre elle.

— Et pourquoi je ferais ça ?

— Car tu es mon partenaire de crime...

Elle remet son corset et me prend les joues. Elle m'embrasse, ses douleurs ayant l'air d'être supportables.