Le retour de la princesse

La Prophétie et la Sorcière

Herminia se leva tôt ce jour-là, arpentant sa chambre de haut en bas, impatiente de rencontrer Gandalf et essayant toujours d'enrouler sa tête autour de la prophétie complète de son père. Elle savait que le Witchking avait raison. Elle a dû mourir pour que la Terre du Milieu gagne. Il n'y avait pas d'autre moyen. Quand elle a finalement pris le courage, elle va trouver Gandalf qui, semble-t-il, l'attendait.

« Je crois que vous connaissez la prophétie complète ? », demande Herminia dès que la porte est verrouillée. Gandalf a l'air un peu mal à l'aise.

« J'avais un très bon raisonnement pour le faire », dit-il, essayant de justifier ses actions.

« Je ne suis pas contrarié, Gandalf. Je comprends qu'il était important de se cacher de moi, sinon je n'aurais probablement pas survécu aussi longtemps. J'ai besoin de savoir, cependant. Tout ce que vous savez sur moi, ma vie et mes parents. Je souhaite me lancer dans la dernière bataille, en sachant tout. »

« Bien sûr, ma Dame. Peut-être devrions-nous commencer par le début. J'étais un ami très proche de tes parents. Lorsque votre mère et votre père se sont installés à Valinor, votre père a eu une vision qui lui a montré l'attaque de Valinor par Melkor, également connu sous le nom de Morgoth. Vous le savez peut-être déjà, mais Melkor était le frère de Manwë, roi des Valar et roi d'Arda. Manwë était plus haut en autorité mais Melkor était plus haut en puissance. Ils sont tous les deux Ainur, deux des quinze constituant le Valar, les pouvoirs d'Arda. Après sa rébellion, Melkor fut retiré de l'Ordre. Il est devenu plus sombre que n'importe lequel d'entre eux auparavant et personne ne pouvait le rencontrer au pouvoir », explique Gandalf et Herminia se souvient avoir lu certaines de ces choses dans les livres qu'elle avait dans Rivendell.

« Mais n'était-ce pas avant l'existence des Elfes? »

« Oui, mais c'est une grande partie et pourquoi certaines choses se sont produites. »

Maintenant, quand ton père et ta mère se sont installés à Valinor, non loin de Manwë, ils ont vécu une vie heureuse jusqu'au jour où ton père a prononcé pour la première fois la prophétie à haute voix qui allait devenir ton destin. Sans le savoir comment, mais la nouvelle avait voyagé à Melkor et il l'a pris personnellement et a tout essayé pour éviter que cela ne devienne vrai. Votre mère et votre père ont découvert peu de temps après qu'ils attendaient un bébé. Ils étaient effrayés et effrayés, mais ils sont quand même allés aux Deux Arbres, Laurelin pour être exact. Vous savez tout sur les Deux Arbres, n'est-ce pas? »

« Oui, Gandalf. »

« Très bien, maintenant vous devez savoir que Laurelin n'avait jamais béni quelqu'un de toute son existence. Mais elle vous a quand même béni juste après votre naissance, vous donnant cette lueur dorée et votre affiliation avec le soleil et comment vos pouvoirs augmentent. Laurelin vous a rendu si puissant. La magie elle-même est venue du côté de votre mère car son père était un Maiar, mais la bénédiction de l'Arbre du Soleil, a fait de vous ce que vous êtes maintenant. Heureux que tu aies été bénis, mais aussi effrayé car cela signifierait que la prophétie s'accomplissait d'elle-même, tes parents ont demandé de l'aide à moi-même et à Barbe-Arbre. Avec notre aide, nous avons créé le portail qui vous emmène, vous et vous, dans un sorcier dans un autre royaume. Elle a expliqué à l'homme et il a modifié votre apparence, en plaçant un charme sur vous, qui vous ferait revenir ici quand on vous avait besoin et revenir à qui vous êtes. Les Valar ont créé l'autre partie du sort, liant votre destin aux deux mondes. Après vous avoir renvoyé, Melkor est venu attaquer Valinor et détruire les Deux Arbres, ne sachant pas qu'il était trop tard. Il avait été attrapé et enfermé, mais son lieutenant le plus digne de confiance continuait son chemin. Et c'est ainsi que nous avons maintenant Sauron. Sauron a appris du premier Seigneur des Ténèbres lui-même. Sauron était le lieutenant de Melkors. Maintenant, la prophétie semble en grande partie accomplie, à l'exception de la fin. »