vingt-quatre

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𝙹𝙰𝙳𝙴Paris, août 2018

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𝙹𝙰𝙳𝙴
Paris, août 2018



Je grognais quand mon téléphone sonnait, j'étais trop bien dans mon lit à dormir jusqu'à l'heure que je veux, mais apparemment ce n'était pas pour aujourd'hui. Je regardais l'appel que je recevais et je prenais mon téléphone entre mes mains pour répondre, c'était Hakim.

Appel :

- Oui Hakim Ornek ? Je grognais en répondant.

Hakim - Joyeux anniversaire ma vie ! Je reculais mon téléphone de mon oreille et je fronçais les sourcils.

- Bah merci, je rigolais, mais tu sais qu'il est genre huit heures ?

Hakim - Ouais mais tu taffes aujourd'hui. Je pouffais de rire.

- Je commence à quatorze heures.

Hakim - Ah merde ! Putain j'savais pas désolé.

- C'est pas grave. Je souriais.

Hakim - Vas-y bah je te laisse bella, travaille bien.

- Toi aussi. Je raccrochais et je posais mon téléphone sur ma table de nuit.

Je replongeais mon visage dans un des coussins de mon grand lit, je humais le parfum de mes draps, un mélange entre ma lessive et le parfum de Tarik qui était un peu rester dans la literie.

C'est environ trente minutes après que je décidais de me lever, la première chose que j'ai faite est d'ouvrir en grand la fenêtre de ma chambre pour aérer, je prenais un tee shirt que j'avais volé à mon copain et je l'enfilais par dessus mon top.

Je me sortais un grand verre et un jus de fruit pour prendre mon petit déjeuner, je prenais aussi des tartines et du Nutella. Je trainais sur mon téléphone en même temps, je répondais à des amis, ma famille, qui m'avaient envoyé pleins de petits messages, très mignon.


(...)


Je grognais quand Jules entrait dans nos bureaux avec un gâteau à la fraise avec pleins de bougies d'anniversaires dessus, je rigolais quand il faillit se péter la gueule à cause de la chaise de bureau que Stella envoyait sur les jambes du blond.

Jules - Toi ma cocote, il la menaçait avec un air méchant, t'as de la chance que c'est l'anniversaire de Jadou, sinon je t'aurais balancé le gâteau dans la gueule.

Stella - Je t'aime aussi ma vie. Elle lui envoyait un bisous avec sa main et je secouais la tête en les regardant.

Je souriais quand mon cousin posait le gâteau sur mon bureau, ils attendaient que je souffle les bougies, je me tenais les cheveux et je soufflais sur le fraisier. Ma meilleure amie hurlait de joie et je rigolais, je me posais bien dans ma chaise de bureau et je me prenais une part de gâteau.

à l'ammoniaqueWhere stories live. Discover now