The Hockey Player

𝐗𝐗𝐈𝐗 / 𝐌 𝐎 𝐋 𝐋 𝐘

CHAPITRE 29

Molly Posko

Québec, 08 : 00

        Je regarde Vitaly qui serre les dents lorsque j'attrape la bande de cire posée sur sa jambe.

  - Molly, tu sais que tu es la meilleure, la femme la plus belle, il commence avant que je tire la bande sous son cris étouffé.

   Vitaly ouvre les yeux et déglutit en me voyant déjà chauffer deux autres bandes entre elles.

  - Je n'ai fait que les chevilles, je lui informe.

  - Tu ne peux pas faire juste une bande comme Athéna, il me demande en attrapant une partie de la couette dans sa main droite lorsque je pose une des deux bandes sur son mollet et l'autre sur le tibia.

  - Tu ne trouves pas d'ailleurs que cela fait moche juste un trou, je dis en touchant du bout des doigts l'endroit sans poil de sa jambe droite épilée par Athéna.

   - Non c'est parfait, il me répond en se remplaçant sur la tête de lit.

   J'attrape le bout de la bande de cire et tire sans prévenir, je le regarde serrer ses abdos sans lâcher de cris.

  Je n'ai jamais vu Vitaly autant dévêtu que maintenant, juste un caleçon le cache de son entière nudité.

  C'est une vision totalement érotique, sa tête en arrière avec sa pomme d'Adam qui monte et descend à force de tirer les bandes, ses abdos qui se contractent à chaque fois que je tire.

  Je ne montre rien mais je suis sûre que mon intimité doit être autant chaude, m'enfin bref vaut mieux éviter d'en parler maintenant alors que Vitaly est à moitié nu devant mes yeux.

   - Comment les filles vous arrivez à faire cela souvent ? Il chuchote.

   - Tu es juste faible, je réponds en posant ma deuxième bande.

   J'enchaine les bandes, sans manquer de me moquer à chaque réaction de Vitaly, puis je pose la dernière au milieu de sa cuisse, j'avoue avoir dit que je ferai que la jambe, mais je ne veux pas manquer l'opportunité de pouvoir faire une bande sur la cuisse.

- Non Molly, il n'y a même pas de poils sur mes cuisses, il me dit.

   J'avoue aussi être étonnée du peu de pilosité du Vitaly, autant dire que ses bras ne sont pas du tout poilus fin très peu pour ce que j'imaginais.

  - C'est pour m'avoir enfermé dehors, je dis en tirant la bande, cette fois Vitaly grogne en posant une main sur sa cuisse douloureuse.

   Je regarde les nombreuses bandes de cire utilisées sur notre lit.

   Je prends mon huile hydratante que j'avais posée sur ma table de nuit.

  - Ce n'est pas fini, se plaint Vitaly. 

  - Non, c'est juste de l'huile, je dis en ouvrant l'huile et j'en verse dans la paume de ma main.

   Je l'étale sur mes mains avant de poser mes mains sur sa jambe gauche et de faire des mouvements circulaires sur toute sa jambe.

   - Si j'avais su qu'il y a plusieurs jours avant de me mettre en couple avec toi que je devrais passer l'étape épilation, je crois que j'y aurais réfléchi un peu plus.

   - On vous l'avez dit, si vous ne nous aidiez pas à faire à manger, ce serait l'épilation, je lui réponds en posant ma main sur la partie épilée de sa cuisse.