Oui, pour la vie.

21 - Chapitre.

- Dounia : C'est Adama... Adama il a débarqué chez nous. Il a frappé Shana, il l'a mit en sang parce qu'il croit qu'elle a ramener un... un mec pour le frapper et du coup je l'ai amener à l'hôpital.

- : Chut... Calme toi, arrêtes de pleuré... Elle va bien là ?

- Dounia : Je sais pas le médecin il ma dit que je pouvais la voir demain donc je pense qu'elle va bien.

- : Dis moi c'est qu'elle hôpital je viendrais la voir demain.

- Dounia : Le ******* c'est à partir de neuf heures les visites !

- : Ok toi tu vas dormir ou ?

- Dounia : Je vais à la maison t'inquiètes.

- : T'es sûre ma chérie ?

- Dounia : Ouais ouais t'inquiètes !

- : Vas-y bonne nuit, à demain in sha Allah.

- Dounia : In sha Allah Neyla.

Sous le choque, j'étais à cet instant même. Quel bordel. Shana s'est faite massacré par Adama à cause de Younes. Voilà comment me faire culpabiliser. Complètement dégoûtée, triste et furieuse je finis par m'endormir bercer par les bras de Morphée.

( ... )

J'ai enfin terminé de ranger la maison. Je sers un verre de café à Younes ainsi que ses pains aux chocolats. Je lui amène son verre de jus d'orange sur la table. Je vais ensuite m'habiller simplement puis vais voir Younes avant de le quitter.

- Younes : Tu vas ou ?

- : Euh voir ma shab a l'hôpital.

- Younes : Tu sais quoi hein ?

- : Quoi ?

- Younes : Fais attention dehors.

- : T'inquiètes.

- Younes : Je suis sérieux Neyla.

- : Ohh monsieur Younes ***** s'inquiète pour moi...

- Younes : Mdrr bahh ouais.

- : Non mais t'inquiètes pas.

- Younes : Ouais, ok.

J'accoure à ma chambre prendre mon sac à main, m'apprêtant à quitter les lieux.

- Younes : Genre tu pars sans me calculer ?

- : Tu vas me laisser tranquille non ?

- Younes :Qu'est-ce qu'il y a t'as un problème ?

- : C'est toi le problème sahbi.

- Younes : Tu vas ou déjà gitane ?

- : Je vais voir ma shab à l'hôpital j'te l'ai déjà dit.

- Younes : Je sais mais c'était pour être sûr.

- : Mais bien sûr...

- Younes : Bon alors t'attends quoi pour faire un bisou à ton ri-ma le beau gosse teh Marseille ?

- : Te sens pas pousser des ailes s'il te plait.

- Younes : Je me sens pas du tout poussé des ailes Neyla, Je vole déjà.

- : Mddrr t'es ouf en sah...

Je m'avançais vers lui encore méfiante, je lui dépose un léger bisou sur les lèvres. Mais il n'était pas du même avis, Younes m'avait bloqué la tête, je ne pouvais pas bouger, alors pour me sauver je lui tapait le torse mais rien. Il m'avait même baver dessus.