Oui, pour la vie.

32 - Chapitre.

- : POURQUOI ?

- mère : Je sais pas benthi...

- : Attends je te rappelle, calme toi.

Je me lève brutalement du canapé. J'étais énervée mais à la fois inquiète. Un sentiment de mécontentement me traversa l'esprit. Younes, lui, était perdu.

- Younes : Qu'est-ce que t'as ?

- : C'est Nesrine.

J'essayais plusieurs fois de joindre Nesrine. Mais elle ne répondait pas. C'était sur la messagerie. 

- : Putain ah je vais la défoncé !

Je rappelle ma mère.

- : Allo maman ?

- Bilel : C'est moi.

- : Oh wow pourquoi elle est partie t'as fais quoi encore ?

- Bilel : Pourquoi moi ? C'est Youssef wesh il l'a frappé.

- : Putain comment ont va faire maintenant ?

- Bilel : Je sais pas je l'ai cherché partout dans le quartier elle y est pas.

- : Elle répond pas sur son téléphone.

A travers le téléphone j'entendais ma mère crier. Ça me brisé le cœur, j'étais mal pour elle. Ma pauvre mère, subit tant de choses. 

- mère : YA RABBI IMAGINE ELLE SE FAIT VIOLER OU AGRESSER !!

- Bilel : Putain maman elle devient folle là.

- : Attends attends j'ai un appel d'elle.

Je raccroche pour répondre à Nesrine.

- : T'es ou ?

Elle pleurait comme une madeleine.

- Nesrine : Vas-y cris pas zeubi !

- : Pourquoi tu pleures même ?

- Nesrine : Neyla j'en ai marre de Youssef, je vais finir à l'hôpital.

- : Ok t'es ou ?

- Nesrine : Je suis avec Azzedine t'inquiète pas.

- : C'est qui lui ?

- Nesrine : C'est Azzedine mon mec wesh.

Quoi ?

- : Vas-y arrête tes conneries tu fou quoi avec ce pédé ?

Elle se met a pleuré.

- : Passe moi Azzedine.

- Azzedine : Allo ?

- : Ouais c'est quoi cette histoire ? T'as ramené ma reuss ou toi ?

- Azzedine : Je l'ai ramené nulle part cousine, c'est elle. Elle voulait partir elle m'a pas dis pourquoi.

- : Mhmm. Et vous êtes ou la ?

- Azzedine : On est à Vitrolles.

- : Putain c'est une blague j'espère ?

Il ne répond pas.

- : Bon écoutes, j'arrive et t'as pas intérêt à la touché la putain de ta race.

- Azzedine : Vas-y tu crois t'es ma mère ou quoi ?

- : Tu la touche hak rabbi je t'éclate.

- Azzedine : Je la respecte trop ta sœur.

- : Saha, bon ont arrivent. Je t'appelle après passe lui pas le phone.

- Azzedine : T'es ou la ?

- : Je suis sur Marseille là, tu peux pas bougé plus près ?

- Azzedine : As-y je vais jusqu'à l'autoroute des *******.

- : Ok.

Je raccroche rapidement en me passant les mains sur le visage.

: Younes, faut qu'ont aillent à Vitrolles.

- Younes : Hein ?

- : Vas-y s'il te plaît c'est urgent.

- Younes : Raconte.

Je me mit à tout lui raconté. Il était choqué.

- Younes : Vas-y hein mais c'est pas maintenant qu'ont va arrivé.

- : C'est pas grave, faut qu'ont y va quand même.

J'enfile une petite veste puisqu'il fait encore chaud et des chaussures. Younes de même et nous quittons la maison. L'ascenseur ne marchait pas, nous prirent les escaliers, les teneurs de murs étaient au rendez-vous. Nous les saluons rapidement pour prendre la voiture de Younes. J'appelle Bilel.

- : Allo ?

- Bilel : Ouais ?

- : C'est bon je vais la chercher.

- Bilel : Ah ouai sah ?

- : Oui.

- Bilel : Vas-y bon je te rappelle après c'est bon ?

- : Ouais et dis à mama que je l'ai trouvé.

- Bilel : T'inquiète sœurette.

Il raccroche et nous prirent la route.

( ... )

Le trajet s'était fait en silence, seul la musique était audible. Nous sommes enfin arrivé à l'autoroute. Et là, j'étais énervée. Il n'y avait personne. Mais ils sont sérieux ?

- Younes : Mais y a dégun.

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Selem selem mes Harisettes. Comment ça va ?

Voilà un chapitre un peu court, mais c'était pour laissé une petite note de suspens. Bref, donnez vos avis, votez, et partagez la chronique. Ce sera gentille.

Je vous fait de gros bisous mes douces ♥