24 - Chapitre.

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Médina et moi cherchions qui criait mon nom quand j'aperçut au loin Farah au bord de sa fenêtre. Je m'approche de celle-ci.

- : OUAIS !

- Farah : MONTES A LA MAISON !

- : T'HABITE A QUEL ÉTAGE DÉJÀ ?

- Farah : Je suis au dessus de toi, la porte droite.

- : D'accord j'arrive.

Je me dirige vers Médina pour la saluer.

- : Bon Médina, on m'appelle. En tout cas je suis contente de t'avoir connu.

- Médina: Moi aussi t'inquiètes pas ma belle.

- : Selem aleykûm.

- Médina : Aleykûm selem.

Je lui fais la bise avant de rejoindre Farah.

( ... )

J'arrive enfin devant sa porte, je toque. Farah m'ouvre sa porte l'air toute souriante.

- : T'es folle t'affiches mon nom comme ça toi !

- Farah : Mdrr ils s'en foutent les gens c'est bon, allez rentre ma sœur et arrêtes de faire tes chichis.

Elle se pousse pour me laisser entré, nous nous installons dans son salon qui est très jolie d'ailleurs. Très finement décoré et ornée de diverses bougies qui lui donnait son charme. Elle quitte le salon quelques instants pour revenir avec un plateau garnis de nourritures. J'en avait mal au yeux à la vue de toute cette nourriture.

- : Oh là là... Fallait pas w'Allah.

- Farah : Rohh c'est rien tu sais.

- : Quand même hein !

- Farah : Alors ça va toi ?

- : El hamdûlillah et toi ?

- Farah: El hamdûlillah zehma tu viens jamais me voir !

- : Mddrr et toi peut être ?

- Farah : Je suis la plus grande. ET BIM DANS TES DENTS NEYLA !

- : Mddr j'avais zapper smeh mddr...

Un homme à la barbe parfaitement taillé et vêtu d'un beau qâmis sort d'une pièce. Il était grand, et mate de peau. 

- ... : Selem Aleykûm wah rahmatallahû wah barakatûhû.

- : Aleykoum selem.

- Farah : Ahh Neyla je te présente mon mari, Moussa. Moussa je te présente Neyla mon amie.

- Moussa : Tu vas bien ?

- : El hamdûlillah et vous ?

- Moussa : Ça va el hamdûlillah tu peux me tutoyer hein mdrr...

Je ris.

- Moussa : Bon je vais voir Momo j'te laisse avec ta shab.

- Farah : A ta'leur in sha Allah.

- Moussa : In sha Allah.

Moussa quitte aussitôt l'appartement.

- Farah : Zehma tu vouvoie mon mari hein !

- : Je sais pas je le connais pas je le vouvoie.

Elle explose de rire.

- : Arrêtes Farah.

- Farah: Mddr t'inquiètes, aufaîte toi j'ai jamais vu ton homme.

- : Ouais c'est vrai, faut trop que tu viennes à la maison.

Oui, pour la vie.Where stories live. Discover now