A travers les yeux du loup

Chapitre 11: Révélation

Après le dîner, nous nous dirigeons dans notre Salle Commune. Lucie a trop de questions dans sa tête et personne ne lui donne des réponses. Lucie pense au professeur Dumbledore, lui il doit savoir qui je suis, qui sont mes parents, pourquoi je suis comme sa. De cette idée, elle part de sa Salle Commune et ce dirige dans le bureau du directeur. En route elle ne croise que quelques étudiants qui là regardent mal. Arriver devant la gargouille, la Gryffondor s'aperçoit qu'elle n'a pas le mot de passe pour rentrée et comme par hasard le professeur Lupin arrive vers elle.

« - Bonsoir professeur. »

« -Bonsoir Miss Moon, pourquoi êtes vous ici ? »

« - Je dois voir le professeur Dumbledore mais je n'ai pas le mot de passe. »

« - Très bien, je dois moi aussi aller le voir. »

« - Je vous laisse alors, je repasserai plus tard. »

« - Non le professeur Dumbledore nous a convoqué tout les deux, je suis venu vous chercher dans votre salle commune mais monsieur Potter ma dit que vous étiez partis. »

« - D'accord, et savez vous pourquoi il veut nous voir ? »

« - J'ai ma petite idée. »

Le professeur Lupin prononce le mot de passe : Fizwizbiz et toque à la porte qui celle-ci s'ouvre toute seule. Nous entrons dans le bureau qui est magnifique. Lucie aperçoit et craque sur Fumseck qui est le phénix du directeur. Le directeur nous salue, et nous dit de nous s'asseoir. La rouge et or obéit tandis que le professeur Lupin reste debout contre la fenêtre.

« - Très bien vous êtes ici pour quelque chose de particulier. C'est toi Lucie qui est particulière. En effet, tu as du remarquer que tu faisais des choses que les autres ne font pas. »

« - Oui je peux utiliser des sortilèges sans baguette et je produis de la glace quand je suis en colère ou triste mais je n'arrive pas à le contrôler. »

« - D'accord, c'est pour cela que j'ai fait venir le professeur Lupin pour qu'il d'aide. »

« - Non, personne peut m'aider, personne à la même « capacité » que moi. Je ne suis qu'un monstre. »

« - Ne dit pas ça ! Personne n'est un monstre, vous êtes une bonne personne Miss Moon. Vous êtes une personne particulière et je vais vous aider. »

Dumbledore est surprit part la phrase du professeur Lupin.

« - Lucie pour te comprendre raconte nous ce qui c'est passé quand tu avais 9 ans ? » demande le directeur

« -Je ne peux pas, c'est trop difficile pour moi, j'ai trop de souffrance et cela a affecté mon cœur. »

« - Lucie tu peux le faire, c'est pour d'aider que je te le demande. Tu peux prendre tout ton temps. »

(Lucie à 9 ans)

A l'orphelinat de Wool, un petit nouveau est arrivé, il s'appelait James. Il était blond aux yeux vairons, un œil vert et l'autre bleu. Personne ne voulait jouer avec lui à cause de sa différence. Moi-même étant rejetée par les enfants de l'orphelinat, je me suis présentée à lui. Il était timide mais si mignon. Après quelques jours passé ensemble, on était devenu inséparable comme frère et sœur, plus personne n'oser l'embêter à présent. Un jour c'était même un jeudi après midi, on jouer dans les couloirs quand tout à coup un homme en noir est apparu, on ne savait pas qui c'était mais il n'avait pas l'air d'être gentil. Il nous a demandé ou était Black, on lui répondu qu'on ne savait pas mais il nous a pas cru apparemment puisqu'il sort sa baguette et me lance un doloris. Je criais de douleur tellement que ça me faisait mal, c'était comme si on recevait un puissant voltage d'électricité. Je me tordais dans tout les sens. Je pensais que mon heure était arrivé, que j'allais mourir seule à 9ans mais James c'est mit à hurler pour alerter les personnes de l'établissement et malheureusement pour lui c'était son tour. Lui aussi a eu la même réaction que moi, il c'était mit à hurler le martyre mais il ne tient pas longtemps et meurt. Je criais de souffrance car on avait tué mon frère de cœur devant mes yeux. J'avais de la tristesse et de la haine envers le sorcier, quand soudain le couloir est devenu glacer et des pics de glace sont apparut et on transpercer le sorcier. Plusieurs personnes de l'établissement sont venues et ils étaient tous chamboulés par la mort de James. J'étais bouleversée, je pleurais toutes mes larmes sur son corps. Elles sont venues me séparé de son corps mais je ne voulais pas, soudain une douleur se fait dans mon cœur. De la froideur fessait place dans mon cœur et je hurlais comme si on avait enlevé une partie de mon cœur. Depuis ce jour là je me suis renfermé sur moi-même.