Chapitre 42

306 21 0
                                    

On s'installe sur le canapé et on se regarde droit dans les yeux et nerveusement je rigole. On discute de tout et de rien tout en mangeant et arrive enfin le dessert.

-J'ai quelque chose d'important à te dire...

-Je t'écoute, qu'est ce qui se passe ?

-Et bien..., commence-t-il en se mettant à genoux devant.

-Non mais tu vas pas me demander en mariage là quand même ? Dis-je ironiquement.

-Non non, je voulais juste me mettre à la même hauteur que toi, ou presque parce que maintenant tu es plus grande plus que moi.

-Alors qu'est ce qui t'arrive ?

-Et bien, je tenais à te dire à quel je t'aime. Tu es ce qui m'est arrivé de mieux dans ma vie, tu es le rayon de soleil qui illumine ma vie et je ne tiens pas à te perdre. Si tu savais à quel point je t'aime, tellement que c'est impossible à expliquer et il y aurait trop de choses à dire. Je veux qu'on passe le reste de notre vie ensemble, qu'on vieillisse ensemble en regardant nos enfants et nos petits enfants grandir. Même si ça ne fait que deux mois officiellement que notre histoire à commencé je veux que tu prennes ça en guise de promesse, dit-il en me donnant un écrin.

-Oh mon dieu Tony, dis-je à deux doigts de pleurer et en le prenant dans mes bras. Tu n'es pas obligé de me faire de cadeaux, ce que tu m'as dis me suffit, et même de t'avoir avec moi est largement suffisant. Tu sais je ressens exactement la même chose pour toi, dis-je en l'embrassant et laissant mes larmes couler et il me les essuie du bout des doigts.

J'ouvre l'écrin et je vois une bague. Elle est magnifique et je suis sure qu'elle a du lui couter une fortune.

-Je croyais que tu ne me demandais pas en mariage.

-Je ne t'ai pas demandé de m'épouser. J'ai dis prends ça en guise de promesse, ça sera pour plus tard mais je voulais te l'offrir maintenant.

-T'es trop adorable, dis-je en souriant. Mais il faut que je la porte maintenant ?

-Comme tu veux, tu n'es pas obligé de la mettre à l'annulaire.

-C'est ce que je vais faire je pense, je ne suis pas encore prête à la mettre à ce doigt. Elle à du te couter une fortune ! Dis-je alors qu'il me met la bague à l'index et je l'admire.

-Elle appartenait à ma mère.

-Tu es sure de vouloir me l'offrir ? C'est quand même la bague de ta mère...

-Si je t'ai l'offerte ce n'est pas pour rien. Je te prouve à quel point je t'aime.

-Mais tu n'as pas besoin de me prouver quoi que ce soit, je le sais déjà, dis-je en l'embrassant.

-Tu sais que tu es vraiment irrésistible dans cette tenue, dit-il sensuellement en se mordant la lèvre inférieure au bout d'un moment.

-Et toi quand tu te mords la lèvre inférieure, dis-je ne me rapprochant de lui de façon à ce qu'il n'y ait que quelques centimètre qui nous sépare.

-Et toi quand tu me regardes comme ça j'ai envie de t'embrasser, dit-il en diminuant la distance qui nous sépare.

-Et toi quand tu me parles comme ça, dis-je en lui faisant un bisou sur la joue.

Je crois que je viens de faire le geste de trop il me prend dans ses bras et me porte en mode princesse tout en m'embrassant et en montant à l'étage. On continue de s'embrasser et sur le chemin je lui défais quelques boutons de sa chemise et il sourit. Il me pose par terre et on continue de s'embrasser plus passionnément. Je mets mes mains sur son torse une fois que je lui ais enlevé sa chemise et je sens que son cœur s'accélère. Tout en me regardant il commence à défaire la fermeture éclair de ma robe et la laisse tomber par terre, c'est pas juste il lui reste son pantalon pensais-je, et je lui défais les boutons de son pantalon. On se rapproche du lit et il se met sur moi en s'appuyant sur ses bras pour pas que tout son poids repose sur moi.

-Tu es sure ? Demande-t-il les yeux pétillants.

-Je crois, oui, dis-je.

-Certaine ? Demande-t-il alors qu'il me fait plein de bisous partout sur mon corps.

-Aller, dépêches toi ! Dis-je en riant.

On s'embrasse de nouveau tout en regardant le corps de l'autre et quand il doit défaire mon soutif, bah il galère et je rigole tellement fort que je lui crie dans l'oreille et du coup il rigole aussi.

-Euh, c'est pas drôle ok ? Dit-il rouge tomate.

-Pour moi si, dis-je en me calmant un peu.

-Non mais sérieusement comment tu fais tout les jours ? Demande-t-il en regardant de plus près comment il se détache.

-J'ai des années d'expérience dans ce domaine, dis-je en le dégrafant pour lui faciliter la tache.

S'ensuit ensuite un moment magique, merveilleux et indescriptible.

RenaissanceWhere stories live. Discover now