Chapitre 38

331 22 15
                                    

« J'ouvre doucement les yeux, il fait noir et je suis attachée à un poteau je sens que je suis pas seule. »

J'entends des petits grognements, mais il fait tellement sombre que je n'arrive pas à savoir qui est dans la pièce.

Sandra: Qui est là?

La personne: Sandra, chérie c'est toi? - me répond la voix masculine faiblement

Sandra: Papa c'est toi?

La personne: oui chérie c'est moi! Tu vas bien, t'as mal quelque part?

Sandra: juste à la tête et toi?

Papa: je crois que j'ai le bras droit cassé mais ne t'inquiète pas.

Sandra: t'as une idée de comment nous sortir d'ici? T'es aussi attaché par des chaînes?

Papa: non je n'arrive à rien faire, je suis bloqué j'ai les poignets croisés serrés par les chaînes menottés. Je n'arrive pas à bouger je suis désolé ma puce.

Sandra: ne t'inquiète pas, écoute même si ça fait mal essaye de faire de la force avec ton bras cassé, l'effort va faire travailler tes muscles et tu t'as transpirer, n'oublie pas la transpiration est un bon lubrifiant, comme mamie le dit. Par contre si tu vois que ton poignet gonflé arrête de le bouger et bouge que l'autre, n'énerve moi pour que je transpire plus vite.

Papa- ok ma puce, je suis désolé pour ces mots. Sandra t'es une fille minable, j'ai honte d'être ton père. Si ton couple est en péril c'est de ta faute.

Sandra- ARGGGG PAPA JE VAIS TE TUER! m'énerver c'était sans toucher à mon couple. Je te hais, bon sang. - je suis plus qu'énervée mon père a touché à mon point faible, tellement faible que je pleure et transpire, j'ai déjà réussi à presque enlever ma main gauche, il faut juste un petit plus de force mais je ne la trouve pas. C'est foutu. - papa je n'arrive pas.

Papa- comme toujours Sandra tu finis par abandonner, comme Aurore tu vas l'abandonner et comme t'as abandonnée Alex. Je ne sais même pas comment Cassie est encore là pour toi. Si seulement... - a ce moment précis arrive à dégager ma main gauche suivie de la droite je cours vers mon père et sans réfléchir je le mets un coup de poing.

Sandra- omg papa je suis tellement désolée mais t'as réveillée le monstre je suis désolée mon père, c'était pas voulu.

Papa- c'est pas grave ma puce, je le mérite je suis allé fort cette fois-ci. Détache mes mains s'il te plaît.

J'exécute sans y réfléchir, le bras de mon père est ouvert et on voit son os dehors ce qui a provoqué une grave hémorragie, je dois la stopper j'enlève mon t-shirt pour lui serrer le bras pour stopper le sang, avec la cravate de mon père j'attache son bras pour le stabiliser. Il est très faible il va falloir faire vite. Tant que je réfléchis des voix au loin se font entendre j'ai donc une idée comme cette pièce est dans une totale obscurité je vais me mettre derrière la porte pour attaquer le gardien et m'échapper avec mon père.

Sandra- papa viens, tu te mets de ce côté et moi de l'autre je n'ai entendu qu'une voix, espérons que soit vraiment qu'un garde, quand il ouvre la porte tu mets ta jambe de façon à qu'il trébuche et tombe je m'occupe du reste. T'es d'accord?

Papa- ok t'aide moi juste à me rendre à la porte alors.

A nos postes, les pas ce font de plus en plus intenses. Le mec est juste de l'autre côté et il semble parler avec quelqu'un mais au portable. Comme prévu le gardien ouvre la porte et mets un pied dedans cependant, il ne rentre pas de suite, il est plutôt calme avec des gestes prudents, il rentre dans la chambre peu à peu, mais tellement lentement que mon père n'a pas pu lui faire le croche pattes. Il ferme la porte doucement quand je décide d'entrer en action.
Quand j'ai libéré mon père, j'ai gardé l'espèce de cadenas/ menottes qui le bloquaient. Je décide donc de la lancer à l'autre bout de la pièce, quand le bruit se fait entendre, le mec réagi de suite en prenant son talkie-walkie.

L'homme- code 21, je pense qu'un des otages est entrain de se réveiller, que dois-je faire patron?

Le patron- ne faites rien, attendais de mes nouvelles s'ils se réveillent vraiment donne leur un coup de pied entre les côtes. Mais laissez-les vivants.

L'homme- reçu patron.

Il remet son appareil dans sa ceinture par ces reflets il semble grand et musclé, allure d'un militaire. Je prends la chaînes qui j'ai récupéré tout à l'heure et je la mets au tour du coup de l'homme tout en serrant plus et plus jusqu'à l'homme arrive a peine à respirer.

L'homme- at- atten-dez s-s'il vous plaît!

Sandra- t'as 5 secondes. Que veux-tu?

L'homme- je veux vous aider. - je resserre pour l'étrangler.

Sandra- Pourquoi un homme tel comme vous nous aiderait?

L'homme- pas-parce q-que moi aussi j'ai u-ne fille et q-que c'est le s-seul mo-yen de la voir.
En écoutant cette phrase pleine d'efforts et à bout de souffle j'enlève les chaînes de son cou. L'homme essaye de reprendre son souffle mais cette tâche est plus compliquée qu'au qu'il paraît. Après deux minutes homme à une respiration plus humaine et je commence donc mon questionnaire.

Sandra- Qui est vous? Et comment comptez vous m'aider?

L'homme- je suis un homme qui n'a jamais prit soin de sa famille et qui l'a perdue, dont mon bien le plus précieux, ma fille. Je vais t'aider avec ton père, je t'ai ramené deux armes, chargées calibre 9, pistolet simple et automatique, t'as 12 balles dans chaque arme il faut pas se rater. On va essayer de faire le plus vite possible.

Sandra- on est ou exactement? Et qui est votre patron? Vous avez une pince e un briquet?

L'homme- on est dans un ancien lieu d'enfermement de l'entreprise de votre père. Crée à l'époque de votre grand père où il y avait souvent des police et agents malhonnêtes. Toujours j'ai mon kit de vie.

Je m'approche de mon père, sauf qu'il ne me répond pas, je regarde son poux et il est faible, il a du perdre connaissance il falloir faire super vite, plus vite que l'énergie supersonique. Je dois informer la police mais en vérité je ne sais pas si je peux me confier à cet homme ni aux policiers... Il va falloir le faire.

Sandra- Il va falloir agir vite, mon père a perdue connaissance, vous croyez que vous arrivez à le porter?

L'homme- sans problème je m'en charge, attention pour sortir de cette salle il va falloir les faite distraction avec la caméra juste devant. Je sors d'abord pour m'occuper d'elle.
Ensuite vous sortez et je prends votre père. On a 3 minutes même pas pour sortir d'ici sans avoir des ennuis, le cas de votre père va nous faire perdre du temps, soyez prête à tirer sans réfléchir mais une balle une personne voir plus.

Sandra- entendu!
Il sors et revient la seconde d'après je sors suivie par homme et mon père, on cours le plus vite possible, les couloirs sont tous pareils, blancs tel comme un hospital psychiatrique. On arrive devant une porte je la pousse et on se rends dehors quand une sonnerie se déclenche. On cherche la façon la plus rapide de passer la rue sauf que les snipers son partout. Je me suis cachée avec derrière les choses par terre avec l'homme et mon père à mes côtés.

Sandra- je vais faire diversion et tu passes jusqu'à la sorti. Je m'occupe d'eux.

Je commence à viser la tête des snipers, j'ai quand même réussie à me faire dégager la rue pour qu'ils puissent passer. Je m'éloigne de plus en plus au fil que les balles partent pour rejoindre l'homme et mon père.

*** le chapitre continue dans le prochain épisode***

L'étrange histoire des Willsbucks Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora