Backfire (Niall Horan) French version

Chapitre 25 : Sombre

Je me réveillais avec une boule dans la gorge. Le rêve se rejouait s'en cesse dans ma tête et mon cœur était douloureux parce que je savais que ce n'était pas un simple rêve, c'était le futur. Je le savais depuis le commencement. Je savais que Niall et moi n'avions pas beaucoup de temps devant nous, que notre histoire état éphémère, mais s'était vraiment douloureux de le voir. Mon cœur allait être brisé, mais pas parce qu'il ne se préoccupait plus de moi, ou qu'il m'avait trompé, ou encore qu'il ne m'aimait plus, ce serait parce que nous ne pouvions plus être ensemble.

Ethan se réveillait, aussi et il avait du voir ma tête parce qu'il prit rapidement ma main "Est ce que sa va ?" demande t'il concerné alors que j'avalais difficilement.

"Ouep, juste un mauvais rêve" répondis-je mais mon coeur était toujours douloureux, redoutant de voir apparaitre en réalité ce rêve, parce que je savais que ce serait inévitable.

"Peu importe ce que c'était, tu peux m'en parler, tu sais, n'est ce pas ?" dit il et j'hochais la tête en me penchant vers lui.

Nous restâmes ainsi pendant un certain moment, j'essayais de repousser loin de ma mémoire le cauchemar de cette nuit, mais c'était vraiment difficile. Mes sentiments pour Niall étaient si forts qu'ils me surprirent et envisager rien qu'une second être séparer de Niall me blessait profondément. Je savais pertinemment que je le connaissais seulement depuis quelques semaines, mais notre connexion était quelque chose que je n'avais jamais vécu auparavant, c'était ... bon, je me sentais si unique et si précieuse. Je savais que j'étais entrain de tomber amoureuse de Niall... maintenant je savais que je l'étais déjà et ce n'était pas une bonne nouvelle parce que cela voulait aussi dire que j'allais être détruite au final.

J'étais triste toute la matinée et mes amies ainsi que mon frère s'inquiétaient, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Mon cauchemar se rejouait encore et encore, je n'arrêtais pas de voir le visage de Niall quand il disait que c'était fini entre nous. Ils essayaient de me faire parler, mais j'étais juste partagé entre l'envie de courir dans les bras de Niall ou courir aussi loin que je le pouvais. Je n'étais pas sûr que je doive arrêter tout maintenant ou attendre - et apprécier chaque moment - jusqu'à la fin en espérant que j'y survive.

Je devenais probablement dramatique et j'en faisais trop, je rirais de n'importe quelle autre personne dans cette situation avant, mais je me sentais complètement différente maintenant que c'était moi dans cette situation. C'était différent quand c'était ton cœur qui allait être celui brisé.

"Alex, sa va ?" demande Phebs s'asseyant près de moi. Je n'avais même pas remarqué qu'elle s'était approchée jusqu'à ce qu'elle s'asseye et caressa ma jambe, j’étais vraiment perdu dans mes pensées. Je levais les yeux vers elle et mordit ma joue essayant de trouver quoi dire. J'avais tellement l'habitude de dire 'sa va, parfait même si je me sens complètement déchirée à l'intérieur, mais j'étais fatigué. Pour le moment je voulais penser à moi et à ce que je ressentais, je voulais que les autres m’écoutent, et me donne des conseils. Je voulais du soutien, le même soutien que j'avais toujours refusé parce que j'étais toujours plus préoccupé par le fait de ne pas les inquiéter plutôt que ce que je ressentais.

"Je ne pense pas" répondis-je d'une voix brisée. Phebs ouvrit les yeux de surprise avant de me serrer dans les bras. J'enfouissais mon visage contre sa poitrine et je la serrais aussi. "Je ne veux pas perdre Niall" chuchotas-je presque à bout de souffle. "Je crois que je l'aime et je ne veux pas le perdre"

"Qu'est ce qui te fais penser que tu vas le perdre ?" demanda mon amie me frottant doucement le dos.

"Je suis réaliste Phebs, je te l'ai déjà à dit: nos vies ne s'accordent pas. Comment une relation entre nous pourrait elle marcher ?  C'est une pop star et je suis simplement une fille comme les autres. Il a des tournées et moi des examens. Il a des milliers de fans et moi des milliers de devoirs. Nous ne pouvons pas..." je m'interrompais.