La flamme de Din

414 20 2
                                    

Le lendemain (30 ème jour)

Pdv de Link

Bizarrement je ne ressens plus rien... Plus aucune douleur... Est-ce que je suis mort ? Est-ce que c'est ce qui nous attend après la mort ? Rien... Juste le néant... Pourtant... J'ai encore la sensation d'être vivant... Et (Tp) ? Est-ce qu'elle a réussi s'échapper de Ghirahim ? Est-ce qu'elle va bien au moins ? Alors que je me pose un nombre incalculable de questions, je sentis quelque chose de doux et d'apaisant me caresser le front et quelues mèches de mes cheveux. Si je suis mort... Comment se fait-il que je puisse encore ressentir ce genre de chose ?

(Tp) : ... Link... m'appela-t-elle.

......... (Tp)... C'est sa douce voix... Je la reconnaitrais entre mille...

(Tp) : ... Je sais que tu aimes bien passer tes matinées à dormir. ... Mais... me dit-elle, d'une voix qui semble triste et tremblante. Est-ce que tu pourrais te réveiller, maintenant ? me demanda-t-elle, alors que je sentis qu'elle me caressait le front et les cheveux. Je... Je commences vraiment à m'inquiéter de ne pas te voir te réveiller... m'avaoua-t-elle, alors que je peux entendre dans sa voix qu'elle se retient de pleurer. Alors si tu pouvais juste ouvrir les yeux... Ca me rassurerais... ajouta-t-elle, en ayant l'air d'avoir de plus en plus de mal à se retenir de pleurer.

Mon ange... Non... Je t'en prie... Ne pleure pas... Je ne peux pas supporter l'idée de te savoir entrain de pleurer à cause de moi... Sans vraiment m'en rendre compte, je commença à ouvir les yeux. La lumière fut en premier lieu aveuglante, ce qui m'empêcha de voir quoi que ce soit. Puis, mes yeux finirent par s'adapter à la luminosité. Je pu alors voir (Tp), qui est au-dessus de moi, les larmes aux yeux.

Moi : Mon ange... soufflais-je, d'un ton faible.

Elle me regarda pendant quelques instants avec surprise, avant de me sourire en ayant l'air soulagée.

(Tp) : Link... Enfin... Tu es réveillé. me dit-elle, d'une voix soulagée. Je suis tellement soulagée. ajouta-t-elle, alors que des larmes se mirent à couler sur son magnifique visage.

Je leva lentement ma main gauche vers sa joue droite, avant de la poser desus et de me mettre à la caresser doucement.

Moi : Ne pleure pas, mon ange... lui demandais-je, d'un ton doux, alors qu'elle prit ma main dans la sienne et la serra doucement. Je préfère quand tu souris... Tu es bien plus belle. ajoutais-je.

Elle arrêta de pleurer, puis elle me sourit, tandis que je commença à me redresser très doucement et très lentement.

(Tp) : Vas y doucement. me dit-elle, d'une voix inquiète, tandis que je finis de me redresser. Comment tu te sens ? me demanda-t-elle.

Moi : Beaucoup mieux. répondis-je. Et c'est grâce à toi, mon ange. ajoutais-je, d'un ton doux.

(Tp) : Tant mieux. souffla-t-elle, d'une voix soulagée.

Tout d'un coup, elle me frappa sur le haut de mon épaule gauche.

Moi : Aïe ! me plaignis-je, en me frottant l'épaule.

Qu'est-ce que qui lui prend de me frapper ?

(Tp) : Ne me refais plus jamais une peur pareille ! me cria-t-elle, avant de me prendre dans ses bras et de me serrer fort contre elle. J'ai... J'ai cru que... Que... Que je t'avais perdu... m'avoua-t-elle, d'une voix tremblante, avant de se remettre à pleurer.

Moi : Pardon, mon ange... m'excusais-je, en réalisant à quel point elle avait eu peur pour moi. Je ne voulais pas que tu ais peur pour moi... Tout ce que je voulais c'était te protéger de Ghirahim... Mais au final je n'ai pas pu... Tu as du te débrouiller toute seule pour le faire partir... ajoutais-je, d'un ton désolé et rempli de regrets, en la serrant contre moi à mon tour.

(Tp) : C-c'est pas grave... Le principal c'est que tu soit  en vie... répliqua-t-elle, en essayant ses larmes, avant de se détacher légèrement de moi et de poser son front contre le mien.

Nous nous regardâmes quelques instants, avant de nous embrasser tendrement et passionnément. Au bout d'un moment, nous arrêtâmes de nous embrasser, puis nous nous plongeâmes dans le regard de l'autre, avant de nous lever au bout de quelques  minutes. Puis, nous nous dirigeâmes vers la salle où se trouve la dernière flamme sacrée. Une fois dans la salle, j'utilisa l'éclat céleste sur le symbole de la Déesse, ce qui eu pour effet de faire apparaitre une flamme rouge. Puis, Fay apparut devant la flamme, avant de me regarder, de s'y engouffrer et de se mettre devant moi. Je hocha la tête, et lui tendit l'épée. Celle-ci y entra en plusieurs fois de manière assez forte, pour m'obliger une nouvelle fois de tenir l'épée avec les deux mains. Lorsqu'elle eut finit d'entrer dans l'épée, je pointa l'épée vers le haut. Puis, elle s'illumina, avant de changer de forme.

Je brassa alors quelques coups dans les airs, avant de ranger l'épée

Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.

Je brassa alors quelques coups dans les airs, avant de ranger l'épée. Puis, je sentis une douce chaleur émaner de ma main droite, je le regarda et vis qu'un triangle s'était ajouté à ceux de la dernière fois. Le symbole semble désormais complet. Je me tourna vers (Tp) et lui montra le dos de ma main. Elle prit ma main dans les siennes et observa le symbole quelques secondes, avant de se mettre à sourire et de verser quelques larmes. Ne comprenant pas pourquoi elle se mit à réagir ainsi, je la pris doucement dans mes bras pour la réconforter. Peut-être est-elle encore sous le choc, après ce qu'il s'est passé ? Je comprends qu'elle soit encore en état de choc. Mais ce que je ne supporte pas, c'est de la voir pleurer.

(Tp) : T-ton épée a obtenue sa véritable apparence, grâce aux flammes sacrées... Elle est désormais devenue l'épée de légende... Il t'ai maintenant possible de réveiller la porte du temps... me dit-elle, en essayant de calmer ses pleurs. Il nous faut à présent aller au temple du sceau. ajouta-t-elle.

... Je sais très bien ce qu'ell essaye de faire... Elle essaye de faire taire ses émotions pour se concentrer sur notre quête... Mais si je la laisse faire, elle va se renfermer sur elle-même... Et ça, il en est absolument hors de question...

Moi : On a le temps, pas besion de se presser. lui chuchotais-je à l'oreille.

(Tp) : M-mais... O-on doit... commença-t-elle, d'une voix étranglée.

Je me recula un peu et la regarda dans les yeux, tout en lui essuyant ses larmes, avant de l'embrasser tendrement. Elle poussa un petit gémissement, avant de répondre au baiser.

Moi : Ne t'en fais pas... On a bien le droit à un jour ou deux de repos. lui soufflais-je, en coupant le baiser.

Elle me regarda avec un peu d'hésitation, avant d'hocher la tête. Puis, une lumière blanche nous entoura. Lorsque la lumière fut moins forte, nous remarquâmes que nous sommes au pied du volcan.

Tome 1 : Le destin de toute une vieWhere stories live. Discover now