Tome 1 : Le destin de toute une vie

Nos destins liés à jamais

Le lendemain

Pdv de Link

(Tp) et moi, nous sommes entrain de prendre notre petit déjeuner tranquilement, en nous dévorant du regard. Le regard rempli de désir de refaire ce que nous avions fait hier soir, et on se le faisait bien comprendre, en nous collant l'un contre l'autre. Moi, en caresant les cuisses et l'entre-jambe de (Tp). Elle, elle me caressant le torse. Oui. On sait... On ne devrait pas faire ça quand des gens mangent autour de nous, cependant personne ne le remarquait. Alors, on en profite pour le faire aussi longtemps qu'on le voulait. Puis, Zelda arriva devant nous, et s'installa face à nous. Malgré le fait qu'elle soit là, nous n'avons pas arrêté ce que nous faisions.

Zelda : Alors ? Comment s'est passé le bal ? nous demanda-t-elle, d'une voix malicieuse.

(Tp) / moi : Très bien. répondit-on du tac au tac, en ne faisant pas attention au ton de sa voix, trop concentrés sur nos caresses, sur le plaisir de titiller l'autre et de voir sa réaction.

Zelda : J'ai trouvé tes chaussures, (Tp). Elles étaient délaissées près d'un banc. lui dit-elle, d'une voix toujours aussi malicieuse.

(Tp) : A-ah... O-oui... gémissa-t-elle à moitié, en faisant mine de se rappeler pour rattraper son erreur, parce que je venais de glisser ma main dans une partie assez sensible pour elle. J-je les avait retirées, parce que j'avais mal aux pieds... J-j'ai du les oublier lorsque nous sommes parti. lui expliqua-t-elle, en rougissant jusqu'aux oreilles et en me fusillant du regard.

Suite à son regard, je ne pu m'empêcher d'afficher un sourire innocent et légèrement pervers, tout en continuant mon petit manège.

Zelda : Mmh... Mmh... souffla-t-elle, en n'ayant pas l'air convaincue. Vous aller sûrement me dire que ça n'a rien avoir avec vous... Mais... Lorsque hier soir, je suis passée dans les couloirs de l'école, j'ai entendue des gémissements et des grognements de plaisir provenant de ta chambre (Tp). Et plus étranges dans tout ça c'est que les gémissements étaient semblables à celui que tu viens d'émettre. nous dit-elle, d'une voix calme et d'un sourire extrêmement malicieux sur les lèvres.

Suite à ce quelle venait de nous dire, nous nous mîmes à rougir comme c'était pas permis à l'idée d'avoir été prit sur le fait dès le premier soir, ce qui nous fit également arrêter notre petit jeu, et retirâmes nos mains du corps de l'autre. Nous posâmes alors nos mains qui étaient jusqu'à lors occupée sur la table, et nous baissâmes la tête tellement nous étions gênés. Zelda fixa la main que venait de poser (Tp).

Zelda : (Tp)... l'appela-t-elle, en continuant de fixer sa main.

Celle-ci leva son regard vers elle, et attendit qu'elle lui dise quelque chose, au lieu de la fixer ainsi.

Zelda : C'est bien une bague que je vois sur ton annulaire gauche ? lui demanda-t-elle, d'une voix étonnée.

A l'entente de sa question, je leva la tête et regarda la main de (Tp).

Moi : Tu l'as laissée... soufflais-je, d'un air touché, en prenant sa main et en regardant la bague à son doigt.

(Tp) : Evidemment... confirma-t-elle, d'un ton tendre et doux, en me souriant et en posant son front contre le mien.

Zelda nous regarde, en ayant l'air complétement perdue.

(Tp) : Hier soir avant le moment où nous nous sommes unsi, Link m'a demandée en mariage. Et j'ai dit oui. lui expliqua-t-elle, en étant toute souriante.

Zelda nous regarda d'un air choqué, avant que son regard ne se mette à pétiller de bonheur et se mettre à pousser un petit cri de joie.

Zelda : Toutes mes féliciations ! nous félicita-t-elle, en se levant. Je suis trop contente pour vous. nous dit-elle, en nous prenant dans ses bras.