Chapitre 6

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Point de vue de Julces

J'avais finalement laissé Frédéric a son garage avant d'aller au boulot. Il m'avait remercier par un petit signe furtif avant de partir. La journée était calme, les chargés de l'animation et de la surveillance du magasin enchaînaient des chansons entraînantes. Je range les produits et pour le moment Carine est à la caisse. Elle trouvait ce poste bien trop lourd pour sa personnalité bien trop faible. A-ha ! Elle a peur de tomber sur des clients de la catégorie '' hostile ''. La dernière fois elle avait pleurer devant un client et celui-ci avait tellement rit qu'il avait laissé ses achats. J'avais tellement la rage le jour qu'elle m'a fait part de cela. Car ce jour j'étais malade et on lui a donné mon poste.

Afin bref je sais qu'elle n'a rien à craindre afin je crois. Vue sa tête de stressée, on dirait pas. J'entends un chahut au niveau de l'entrée du point de vente. Je n'y prête vraiment pas attention, je sais que Carine gère. Afin je crois.

Le brouhaha se rapprochait de plus en plus vers mon emplacement. Et le cafouillage s'eclaircissait aussi tout au long de son avancée. Je pouvais percevoir les quelques bribes de leurs discussions.

- Hey Adam matte ça ! Ce jolie p'tit cul à disposition. Dis l'un d'eux.

- Observe ! Rétorqua une autre voix

Je n'ai pas très envie de savoir à qui ils font allusion, car de mon côté j'ai un boulot qui m'attends. Ils discutaient à haute voix et riaient à gorge déployer comme des porcs. Puis il long moment de silence. C'est un petit peu étrange. Pourquoi l'atmosphère était-il si lourd ?

Je ressens une main chaude s'abattre violamment sur mon postérieure droit. Une vive douleur parcours mon corps, puis les frissons viennent faire un tour avant de laisser la place à de la rage. De la colère. Ce goujat se prenait donc pour qui ? Venir faire des gestes indécents et vulgaire auprès de ceux qui gagnent leurs vies honnêtement. Et cet idiot a le toupet de rire encore avec ses copains ! Tous des gamins je vous jure. Y'a n'a pas un pour rattraper l'autre.

Je sors mon poignard que je garde toujours dans la poche arrière gauche de mon Jean et le lui place au cou. Il ne bouge plus et il est rempli d'effroi instinctivement. Les rires avaient cessé et la peur avait habité leurs regards. C'est beaucoup mieux ainsi.

- Écoute moi p'tit fils de pute ! Si tu me retouche une dernière, fois je te jure sur tout ce que j'ai de plus cher. Que tu vas le regretter. Lui avais-je balancée en pleine face avec toute la rage du monde.

Il s'est juste contenter de reculer de quelques pas en arrière avec les mains en l'air avant de disparaître. Même un simple '' je te demande pardon '' aurai suffit. Pauvre tâche. Et puis merde. Toujours ses fils de bourges qui se croient tout permis. Imbéciles va. Heureusement pour eux ils font le reste de leurs courses dans le silence des plus total et ont dégagés les lieux.

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Le chapitre bonus de ce soir. Merci encore de votre aimable compréhension. Je vous aimes 😍

Gis💋

Notre amour nous maintiendra en vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant