Chapitre 10

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Point de vue de Adam.

— Ça tombe bien. Moi aussi.

Sa phrase sonnait plus comme une provocation qu'un quelconque aveu caché. La cochonne était très sexy dans sa robe moulante qui remonte ses fesses biens rondes et galbées. Le plongeant de son vêtement me laissait entrevoir ses seins couleur café au lait. Je me demande bien ses tétons ont aussi le même goût. Si nous n'étions pas ici, je lui aurais attrapé la mâchoire avant de la coller au mur pour lui marquer le cou et bien d'autres parties de son corps qu'elle n'aurait pas pu croire aussi sensible.

En guise de réponse, je fais une démonstration de mon rire nerveux en laissant mes pensées être des pensées et non des actions. Je fis surprise de la voir sourire à son tour tout en se rapprochant lentement mais dangereusement de moi : Allumeuse.  Elle se rapproche encore et encore et détruit mon espace personnel pour que nos poitrines s'écrasent les uns aux autres. Elle se penche sur mon oreille gauche et me dis d'une voix affreusement sensuelle.

— Tu ne me crois pas ?

— Non.

— Tu voudrais une démonstration ?

Un violent frisson me parcouru le corps. A la base j'étais venu pour le faire des avances mais là j'ai l'impression que c'est l'inverse qui se produit. Et c'est bien loin de me déplaire. Au contraire cette situation m'excite plus qu'elle ne me surprend. Non seulement elle était sexy, mais aussi jolie, bandante et de sur quoi allumeuse. Qu'est-ce qu'il ne faut pas voir ici ? Je suis mort.

— J'habite à 15 minutes d'ici on y va ?

Son sourire au coin fût la seule réponse que je fini par avoir. Mais avant de s'en allé, elle a demandée à boire deux shoots de vodka. Je ne fus pas gêné, mais non...je comprends bien qu'elle ait besoin d'un petit peu d'alcools pour destresser. Elle en a même besoin parce que ce qu'elle va vivre tout à l'heure je ne suis pas sûre qu'elle aura la force nécessaire pour survivre à cela.

— On y va ?

— Ouais entre.

Je lui ouvre la portière et elle s'engouffre dans la cabine de avant de voiture. Plus précisément au siège passage et je la rejoins en m'installant au siège conducteur. Le long du trajet se fait dans le calme et cela est mieux ainsi, car j'ai besoin de calme pour canalisé la bête qui sommeil en moi. Avec ce qui s'est passé plus tôt dans la journée avec cet employé et ce crétin qui a voulu parlé "d'ELLE" la colère me nourrit entièrement. Et il y'a que du sexe hard-core qui réussi à me calmer. Et voilà que ce jolie signe, cet havre de paix viens me trouvé.

Avec son masque de lune argenté plaqué au visage, elle admire les paysages qui défilent sous ses yeux. Elle semble plongé dans ses pensées puisqu'elle a mis son coude sur un accoudoir pour maintenir sa tête posé sur la vitre en verre à l'aide de sa paume de main. La douceur qui émane d'elle saurait parfaitement transparaître sur une photo. En parlant de photo, je constate qu'elle a exactement la même posture qu'avait "Elle" sur une de ses poses qu'elle m'avait laissé faire.

ELLE...elle...

Elle...

— Elle ?

Je freine brusquement en constatant que la brune près de moi prononce ce sordide mot.

— Pourquoi as tu dis "Elle" ?

— Tout simplement parce que tu viens de le prononcé. 

Je pensais tellement fort à ce mot que j'ai fini par concrétiser mes pensées en le fessant sortir de mes lèvres. Pourquoi ? Pourquoi était-ce si difficile de passer à autre chose ? Je sert le volant de la voiture tellement fort que j'en ais des fourmis aux doigts. Je démarre la voiture lentement et nous reprenons la route toujours sans un mots. 

Je regarde l'heure sur ma montre et il est 01h45. Nous descendons du véhicule et nous nous dirigeons vers l'immense bâtiment. Elle est émerveillée par tant de luxure au hall d'entrée. Les murs recouvres d'une peinture or et le parquet noisette qui brillait de mil feux sous les rayons pétillants des lustres qui ornes la salle. Des fauteuils en cuirs noirs qui garnissent l'ensemble de la pièce. Et les pots de pleures qui enveloppent l'atmosphère d'un nuage de parfums fleuris qui font du bien.

— On monte. Dis-je en lui tendant la main.

Ici, les ascenseurs sont des portes principales d'un appartement. Cet à dire que chaque numéro sur les boutons d'ascenseurs représentent un appartement donc des que les battant s'ouvrent, ils s'ouvrent au salon.

Nous pénétrons dans la cabine je presse la touche N°10  et les portes se fermes. Le silence règne en maître appart nos respirations qui brisent le silence.

Puis, quand nous pénétrons dans mon appart, la première des choses que j'eu à faire était de la coincée au mur et de l'embrasser sauvagement : Encore cette même sensation.

Notre amour nous maintiendra en vie.Where stories live. Discover now