Chapitre 11 «Scene sexuelle attention»

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Point de vue Adam.

Je l'embrasse avec fougue et cette sensation persiste je décide donc de l'ignorer. Je l'attrape par l'épaule et c'est à cet installé qu'elle réagit. Elle m'embrasse avec la même fougue. Et elle fini par me dominé encore une fois et m'attrape violemment par les cheveux et me jette au mur ou elle était positionnée. Putain cette meuf.

Elle quitte mes lèvres et me lèche le cou avant de me faire un suçon qui me fait grogner. Aïe je crois que j'aurai une marque.

— Maintenant c'est qui qui domine ?

— Rien n'est terminé.

Sans plus attendre, je l'attrape par les les fesses et la fait décollé du sol pour la positionné sur mon bassin sur lequel elle s'enroule avant de la plaqué au mur une nouvelle fois. Elle arrache son masque et le balance et j'en fais de même. Je n'allume pas la lumière c'est plus intense ainsi et je lui retire sa robe qui me fait bandé depuis déjà des heures. Elle essaye de retirer ma veste noir et ma chemise blanche. Elle réussit tout de même à le faire avec des difficultés. On recolle une nouvelle fois nos lèvres et mon excitation est à son comble, elle me fait vraiment de l'effet elle. Telle une drogue qu'on ne peut s'en séparé. Mon membre est tellement tendu pour elle qu'il me fait affreusement mal. Je frotte ce dernier sur le bout de tissu qui me sépare se sont intimité. Je frotte et elle frémi en me lançant un regard chaud bouillant, je la prendrais bien ici et maintenant mais ce serait bien trop facile. Beaucoup trop facile, je veux qu'elle se soumette à moi, qu'elle m'implore pour que je l'introduise en elle. Une lionne sauvage et téméraire est le plus beau trophée de tout maître qui exprime sa suprématie. N'ai-je pas raison ?

— Je vois bien que la bête est éveillée. Petit coquin.

— Je veux que tu te soumette à moi.

— Tu peux toujours courir. 

Je ne lui répond pas et me dirige vers le lit en la tenant toujours fermement entre mes mains. Je la jette sur le lit et bondit sur elle aussitôt. Je l'embrasse avec ferveur et elle gémi sur mes lèvres en sentant mon sexe contre son tangua. Je me décolle et lui mord le cou et son corps se recouvre automatique de spasmes. Je descend sur ses seins que je suce, tire, mord ce qui attisa ses gémissements sensuelles : oui c'est ça ! Craque.

— Implore moi.

— Non ! Rétorqua-t-elle en essayant de reprendre son souffle qui s'entre-coupe.

Je continue mes agissements en glissant mes doigts sur son bouton sensible, dessinant de petits cercles sur celui-ci. Elle gémi de plus en plus fort. J'augmente la cadence et je la sent vibré : Elle y est presque. Plus que quelque minutes au grille.

Je réduis mon rythme qui est maintenant très lent... Très très lent. La frustration s'installe en elle. Je le sais. Je le sent.

— Implore moi !

— Ja...

— Je ne t'écoute pas.

— hmm...Putain.

— Vas-y lâche tout.

Sur ces mots, elle me repoussa violemment pour se pencher au bord de mon lit. C'est à ce moment qu'elle vide complètement son estomac : Je crois que je n'aurais pas du lui laissé ingurgité autant d'alcool.

Elle se recouche sur le lit comme ci de rien ne n'étais et s'endort aussitôt. Je suis tellement choqué par les événements que je n'ai pas le cœur de lui demander de ramasser sa merde et de s'en aller. Ma bite a fini par se coucher, c'est maintenant moi qui souffre de la frustration. Je me dirige vers mon balcon habituel et me fume une clope sous la fraîche nuit d'été.

Notre amour nous maintiendra en vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant